Les corridors de développement en Amérique latine : un outil d’intégration et de désenclavement, Tle. Diaporama de la leçon (dossier documentaire) - PDF Fond de carte de l'Amérique latine - - PDF SVG Texte pour la réalisation du croquis - PDF - Un logiciel de dessin vectoriel 1re heure.
Observation et analyse de cartes et de photographies de paysages La séquence commence par l'étude du canal de Panama. Il s'agit de faire émerger la problématique en reliant la question du canal au développement économique du pays. La région du canal s’articule autour de la Zone libre de Colón sur l’Atlantique (plateforme commerciale de réexportation située sur l’Atlantique) et du centre financier international de Panama City (banques, assurances, navigation). Les corridors de développement en Amérique latine : un outil d’intégration et de désenclavement ? À partir d’une série de cartes et de photographies, il s’agit de répondre à la problématique et de mettre en exergue les trois points suivants : 1.
L’Amérique latine a connu des progrès considérables depuis une vingtaine d’année. 2. 3. 2e heure. 1. 2. A voir, un film : Made in Bangladesh, 2019. A lire, une BD : Bangalore, S. Lamouret (2017) L'histoire : Simon se rend en Inde, à Bangalore plus précisément, avec la ferme intention d'en dessiner des moments aussi banals que réalistes.
Parmi les personnes qu'il apprécie observer, il y a ce marchand qui passe son temps à nettoyer le côté de son petit commerce. L'endroit sent souvent mauvais parce que des hommes viennent régulièrement y uriner. Un jour, alors qu'il vient de laver une fois de plus, une idée lui vient à l'esprit... Simon scrute également Kumar, un employé du Raj Hotel qui, après cinq jours, prend les draps d'un lit pour les faire laver. Ce qu'on en pense sur la planète BD : Depuis une dizaine d'années, les BD-reportages se sont multipliées. A voir, un reportage : Chine, sur les nouvelles routes de la soie, ARTE, 2019. A écouter, un podcast : Les ONG peuvent-elles pallier les déficiences des États ? 2018, 39 min. A écouter, un podcast : BRICS : les champions des émergents en quête d'un second souffle, 2019, 4 minutes.
Ce onzième sommet est d'abord celui de l’affichage d'un front commun face aux tensions commerciales.
Les dirigeants des 5 pays - Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud critiquent explicitement « le protectionnisme et les intimidations à contre courant », comme déclarait hier Xi Jinping. Cette affichage d'unité est déjà une réussite pour la cohérence interne des BRICS, alors que le président brésilien nouvellement élu déclarait il y a quelques mois encore : « La Chine n’achète pas au Brésil, la Chine achète le Brésil ».
Cependant les BRICS comme bloc change peu à peu de sens. Le groupe autrefois nommé ainsi par un analyste de Goldman Sachs en 2001 pour désigner des pays à forte croissance et fort rendement pour les investisseurs fait face au ralentissement mondial, et les difficultés particulières de la Russie, le Brésil et l'Afrique du Sud en font un groupe plus hétérogène qu'auparavant. Thierry Breton passe son examen final devant le Parlement européen. A écouter, podcast : La guerre commerciale Chine/Etats-Unis : menace mondiale ! (France Inter, 2019) A la une de Courrier International, cette semaine, : "Etats-Unis / Chine, le combat du siècle".
Retour sur la guerre commerciale qui oppose les deux premières économies mondiales. Et puis, cap sur Nigéria : Chimamanda Ngozi Adichie raconte Lagos. Le Wall Street Journal, à New York, annonce que "les liens si forts entre les économies américaines et chinoises semblent voués à se défaire". Plusieurs signes. Le commerce, par exemple : les fabricants américains de chaussures, d’appareils photos ou encore d’Iphone, cherchent aujourd’hui à implanter leur production en Chine.
Pour le Financial Times, à Londres : Le conflit contre la Chine est la mauvaise guerre, livrée de la mauvaise manière et sur le mauvais terrain De l’autre côté du monde A Hong-Kong, on juge que cette confrontation n’aura pas de vainqueur. Avec Courrier International, mettons les voiles sur Lagos, la capitale économique et culturelle du Nigéria.
Tout le monde se plaint de Lagos, mais personne ne veut en partir.