Les valeurs de la République. Voici comment les étrangers voient les Français... C'est drôle ! « Se prendre un râteau », « jeter un œil », « tomber sur quelqu’un »… Ces expressions peuvent paraître difficiles à saisir… si on les prend au premier degré.
Vous ne trouvez pas ? En effet, nos expressions peuvent être parfois difficiles à comprendre pour quelqu’un dont le français n’est pas la langue natale. C’est pourquoi les Youtubeurs Mat&Swann (Matthieu Corno et Swann Périssé de leurs vrais noms) ont décidé de prendre du recul face à notre langue et de parler des expressions typiquement françaises dans une vidéo Youtube humoristique appelée « Comment les étrangers voient le français ? ». Résultat : ils ont réussi à saisir l’étrange façon dont nous parlons avec beaucoup d’humour. On retrouve notamment dans ce sketch Thibaut Gonzalez, qu’on a déjà vu dans la web série « Le Meufisme » sur Youtube. Affiche_Chartelaicite. À la découverte des différences entre Français et Américains. Culture explicite et culture implicite La culture américaine est explicite tandis que la culture française est implicite.
Aux États-Unis, la carte, c’est le territoire. Ce qu’on dit est ce que l’on veut dire. En outre, c’est une culture binaire qui oppose le oui et le non, ce que l’on connaît et ce que l’on ne connaît pas. Ce que l’on connaît s’incarne par exemple dans des processus et des modules éprouvés ici ou ailleurs sans qu’ils soient associés à des personnes particulières. En France, le décalage entre ce qui est dit et ce qui est signifié n’est pas dû à des erreurs ou à un problème d’approximation.
Culture groupale, culture de l’individu Observons des mères et leurs enfants sur un terrain de jeux. La mère française commence par établir des limitations : « Ne va pas là-bas, tu vas te salir »… Lorsque l’enfant a un problème, elle fait des attributions : « C’est toujours pareil avec toi », « Tu n’écoutes jamais ce qu’on te dit », etc. Chaque scénario a ses limites. I. Edward T. Hall ->four distinguishing features (dimensions):
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Monochrone ou polychrone - les fondamentaux (1/3) Edward T Hall. Il est intéressant de constater combien les différences culturelles se traduisent également par des différences dans la perception du temps et la façon de le concevoir, de l'utiliser et de le gérer.
Il est facile intuitivement de percevoir des différences un peu caricaturales : par exemple, on ne gère pas le temps dans le Sud de l'Espagne comme on le gère dans la Rhénanie allemande... L'un des précurseurs de la recherche sur la perception du temps suivant les cultures est Edward T. Hall, auteur d'un best-seller sans cesse réédité : Le langage silencieux (paru en 1959, mais que l'on ne s'y trompe pas, il est toujours d'actualité). Hall présuppose que les individus ont suivant les cas une conception monochrone ou polychrone du temps.
Caractéristiques des monochrones Les personnes monochrones voient le temps comme étant divisés en éléments fixes qui peuvent être organisés et programmés. Les cultures monochrones se retrouvent majoritairement en Occident. Caractéristiques des polychrones. Les dimensions culturelles de Geert Hofstede — Institut für Romanistik. Si on parle de l’interculturel, on parle aussi d’échange, de rencontre, de partage, d’apprentissage et d’enrichissement mutuels entre cultures différentes.
L’interculturel signifie de créer des liens entre les cultures et caractérise «un processus dynamique d’échanges entre les différentes cultures». Mais en général, comment peut-on définir le terme « culture » ? Le terme «culture» vient du mot latin cultura et décrit au sens figuré, selon Cicerón, la «culture de l’âme, soit la formation de l’esprit par l’enseignement». Pour compléter la définition, on doit ajouter que la culture ne se limite pas qu’à la littérature et aux arts. Il faut prendre en considération aussi les perspectives sociologiques et anthropologiques qui ajoutent à la définition de la culture une dimension importante. Le psychologue néerlandais Geert Hofstede a lui élaboré un modèle comparable à ceux de l’iceberg, le célèbre «modèle de l’oignon» : Dans la couche intérieure, au cœur de l’oignon, G.