Danone : un siège mondial aux inspirations variées. A l’occasion d’un réengagement locatif pour une durée de 10 ans, Danone et le bailleur de l’immeuble ont réfléchi ensemble à l’avenir du bâtiment. « Ce fût l’occasion de se projeter, et d’envisager un plan de réhabilitation en site occupé s’étalant de mi 2015 à mi 2016 », se souvient Philippe Amiotte, directeur de l’immobilier de Danone.
La rénovation a concerné la façade, le hall d’accueil repensé avec l’architecte Denis Vasset, les installations techniques, le parking… et bien sûr les espaces de travail. « Nous souhaitions proposer à nos collaborateurs un environnement de travail plus qualitatif encore, disposant d’aménagements davantage adaptés à nos attentes pour les années à venir et aux nouvelles façons de travailler », souligne Philippe Amiotte. Et puis avec 600 collaborateurs travaillant sur place et 200 visiteurs par jour, Danone a aussi saisi cette opportunité pour afficher un siège social mondial reflétant une image positive de la société. Sanofi Pasteur va dénoncer ses accords sur le temps de travail. Paris (AFP) - Sanofi Pasteur va dénoncer l'ensemble des accords sur l'organisation du travail en vigueur pour ses 6.400 salariés français, qui bénéficient actuellement de 21 jours de RTT, pour améliorer sa productivité, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.
Confirmant une information de l'Usine nouvelle, la division vaccins du géant pharmaceutique a indiqué à l'AFP avoir annoncé cette semaine aux salariés son intention de dénoncer "les accords collectifs relatifs à l'organisation du travail", soit plus d'une quarantaine d'accords, dans l'objectif de négocier un nouveau cadre social. "Sanofi prône le dialogue social mais commence par mettre un poing dans la gueule de ses salariés en dénonçant les accords", s'est indigné Thierry Bodin, coordinateur CGT du groupe.
Selon des comparaisons établies par l'entreprise, les salariés français travailleraient autour de 1.500 heures par an, contre environ 1.700 heures pour leurs collègues américains et canadiens, qui n'ont eux pas de RTT. Laisser ses salariés « prendre du temps » pour favoriser l'innovation dans les organisations. Ce texte est publié dans le cadre du Concours Étudiants et Jeunes Chercheurs de La Fabrique de l'Industrie.
L'auteure, Lucie Puech, en était finaliste dans la catégorie « thèses ». Dans le cadre du management des activités innovantes, certaines grandes organisations font le choix d’allouer du temps libre à leurs collaborateurs. C’est par exemple le cas de Google, organisation pour laquelle la « règle des 20 % de temps libre » constitue l’une des facettes d’un dispositif de promotion de l’innovation plus étendu. Le « modèle » Google Inspirée de ce que 3M ou Hewlett-Packard pratiquaient déjà, Google a étendu cette mesure à l’ensemble de ses ingénieurs (hors personnels administratifs).
Pour cela, le salarié initiateur du projet peut mobiliser d’autres salariés, qui eux aussi, pourront dédier jusqu’à 20 % de leur temps à l’aider à développer ce projet. Aménagement du temps de travail : ce que dit le code du travail. Publié le18.09.15 mise à jour18.03.20 D’une semaine à l’autre, l’activité de l’entreprise peut être irrégulière, du fait de son caractère saisonnier, de la fluctuation des commandes… Pour adapter le rythme de travail des salariés à celui de l’activité - et éviter les heures supplémentaires en période de haute activité ou l’activité partielle (ex.
-chômage partiel) en période de basse activité - l’entreprise peut répartir la durée du travail sur une période supérieure à la semaine. Une condition : un accord d’entreprise ou d’établissement ou, à défaut, une convention ou un accord de branche doit l’y autoriser et en prévoir les modalités. En principe par accord collectif Un accord collectif d’entreprise ou d’établissement ou, à défaut, une convention ou un accord de branche peut définir les modalités d’aménagement du temps de travail et organiser la répartition de la durée du travail sur une période supérieure à la semaine. Le « VSD » chamboule les horaires chez Peugeot. «Vous me parlez de mes VSD (vendredi-samedi-dimanche), moi, ce sont mes L2MJ (lundi-mardi-mercredi-jeudi) qui m'intéressent. » Dans la bouche de Martin, jeune intérimaire chez Peugeot, ce langage codé résume la principale motivation de 1 600 salariés de l'usine de Sochaux-Montbéliard (Doubs) pour travailler dorénavant le week-end : ils ont tout leur temps libre le reste de la semaine.
Salariée permanente, Cathy précise : « Mon mari et moi travaillions jusque-là l'un dans l'équipe du matin (5 h 21-13 h 12), l'autre dans celle du soir (13 h 12- 21 h 21), ou vice versa. Dorénavant, nous aurons les mêmes horaires, et notre vie de couple s'y retrouvera », poursuit la syndicaliste CFTC. La première motivation des salariés est financière La création du « VSD » est due à la réussite commerciale de la 307.