Les plages du Maroc vont-elles survivre aux "mafias du sable" ? "La moitié du sable utilisé au Maroc, soit 10 millions de m³ par an, provient de l’extraction illégale de sable sur les côtes", avertit un rapport de l’ONU, relayant les inquiétudes du Parlement à Rabat.
Un phénomène qui risque d'avoir des conséquences redoutables pour l’environnement. Le sable est souvent utilisé pour la production de béton, indispensable "pour la construction d'hôtels, de routes et d'autres infrastructures touristiques", précise le rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement. Il est tellement utilisé que "dans certains endroits, la poursuite de travaux de construction pourrait (…) détruire ce qui attire en premier lieu les visiteurs : les plages elles-mêmes", poursuit le document onusien. Et de citer le cas d'"une grande plage" (dont le nom n’est pas donné) "entre Safi et Essaouira" (ouest) transformée par les trafiquants "en un paysage rocheux".
Au Maroc, la difficile quête du « zéro plastique » Plus de 7.000 récupérateurs dans les décharges au Maroc. Un guide d’enquêtes socio-économiques sur ces personnes vient d’être réalisé Au Maroc, la récupération des déchets solides reste essentiellement informelle.
Selon les chiffres du secrétariat d’Etat chargé du développement durable (SEDD), le nombre de récupérateurs au Maroc se chiffre à 7.123 dont 5.308 en ville et 1.815 au niveau des décharges. Entre 40 et 60 % des récupérateurs à la décharge sont âgés de moins de 20 ans dont 14% des femmes. Ces personnes travaillent dans des conditions sanitaires de travail dangereuses, en plus des conditions socio-économiques précaires dans lesquelles ce métier informel est exercé. Au Maroc, les marchands de sable dépouillent les plages. Des filières légales et clandestines se disputent le sable nécessaire à la confection du béton.
Le trafic est tel que des plages entières sont menacées de disparition. Du haut de ses 11 ans, Karim fait mine de ne rien sentir. Ni le poids des charges qui épuisent son corps frêle ni les brûlures du soleil sur sa peau. Six jours par semaine, le petit garçon se rend au bord de la mer, à une vingtaine de kilomètres de Larache, dans le nord du Maroc. Autour de lui, face à l’Atlantique, la plage a disparu : il n’y a plus un grain de sable sur le rivage.
Le long du littoral marocain, les « marchands de sable », maîtres-d’œuvre d’un business semi-mafieux, recrutent ainsi des centaines d’enfants. « Des fourmis face aux filières organisées qui disposent de gros moyens et du soutien des autorités pour dépouiller les plages », explique un fin connaisseur de ce milieu. D’après les habitants des villages alentours, le trafic ne cesse jamais. Parc national d'Ifran - Ecologie.ma. Le parc national d’Ifrane a été crée en 2004 sur une superficie de 51.800 ha.
Il s’étend sur la portion occidentale du Moyen Atlas central, sur les territoires des provinces d’Ifrane et de Boulmane. Il se distingue par ses valeurs biologiques et écologiques, sa richesse forestière et la beauté exceptionnelle de ses paysages. Le PN d’Ifrane s’étend sur la plus grande portion du Moyen-Atlas Central. Le massif se présente comme une moyenne montagne au relief aéré à l’Ouest et assez accidenté vers l’Est. Clearing House Mechanism on Biodiversity of Morocco - Convention on Biological Diversity. VIDÉOTHÈQUE - Secrétariat d'Etat auprès du Ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, chargée du développement durable.
Eau - Secrétariat d'Etat auprès du Ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, chargée du développement durable. Le contexte hydrologique du Maroc reste principalement influencé par une irrégularité annuelle et une variabilité inter-annuelle très marquées des précipitations et une hétérogénéité de leur distribution.L’alternance de séquences de forte hydraulicité et de séquences de sécheresse d'intensité et de durée variables est également un trait dominant des régimes hydrologiques.
Les moyennes annuelles des précipitations atteignent plus de 1000 mm (1 million de m3 par km²) dans les zones montagneuses du Nord (Rif, Tangérois et Côtiers Méditerranéens Ouest) et moins de 300 mm (300.000 m3 par km²) dans les bassins de la Moulouya, du Tensift, du Souss-Massa, des zones sud-atlasiques et de la zone saharienne, soit pratiquement près de 85% de la superficie du Royaume. Ces précipitations se produisent généralement en deux périodes pluviales, la première en automne et la seconde en hiver. Site web officiel de l'ONEE - Branche Electricité. Au Maroc, des mosquées vertes pour la COP22 et après. Le royaume, qui accueille en novembre la COP22, lance un programme pour réduire la consommation électrique dans ses mosquées.
Après les villes vertes, les voitures électriques, la campagne « Zéro mika » pour éradiquer les sacs plastiques, le Maroc dévoile un nouveau programme de « mosquées vertes », dernier avatar de l’engagement du royaume pour les énergies propres à deux mois de la conférence sur le climat COP22 de Marrakech qui doit se tenir du 7 au 18 novembre à Marrakech. Vidéo: La plus grande centrale solaire du monde vient d'allumer son premier réacteur - Science-et-vie.com. Noor.
Ainsi se nomme la centrale solaire qui vient d'être officiellement mise en service au Maroc, dans la province de Ouarzazate, à 10 km de la ville éponyme. Noor, cela veut dire "lumière". Et s'il ne s'agit que du démarrage effectif de la phase I - une centrale d'une capacité de 160 MW - le projet, une fois achevé en 2020, portera bien son nom : ce sera la plus grande centrale solaire du monde, d'une capacité de 580 MW. Pour l'heure, Noor I ne produit donc "que" 160MW de puissance, soit l'équivalent de la puissance nécessaire pour faire voler un Boeing 747 en vol (passagers inclus) ou pour donner de l'électricité à 1 millions de Marocains (selon les sources officielles), du moins tant que le Soleil est au rendez-vous... et quelques heures après son coucher.
Une centrale solaire thermodynamique Bientôt rejointe par Noor II, Noor III et Noor IV L'équivalent d'un réacteur nucléaire... étalé sur 2500 hectares 11% de l'électricité mondiale à l'horizon 2050 –Román Ikonicoff > Lire aussi: Cop 22 : le Maroc vend son initiative « Triple A » en faveur de l’agriculture en Afrique. Chantre d’un nouveau modèle agricole, l'initiative Triple A (Adaptation de l'Agriculture Africaine) fait du bruit à la Cop 22.
Les Marocains veulent la mettre au centre des actions sur le climat. Un stand de 900 mètres carrés, des projections 3D sur l’état de la planète en 2040, une agora réservée aux débats sur l’agriculture et la sécurité alimentaire….Pour cette Cop 22, le ministère de l’Agriculture marocain a vu grand. Le Maroc, royaume du soleil et du vent. Hôte de la COP22 du 7 au 18 novembre, où les représentants de 195 Etats sont attendus, le pays mise sur des parcs renouvelables géants pour réduire ses importations de combustibles fossiles LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir (Ouarzazate (Maroc) -envoyé spécial) Noor.
La « lumière » en arabe. Elle jaillit devant nous, comme surgie de terre, au milieu d’un aride plateau rocailleux. Il ne s’agit pas d’un mirage. En cette journée d’octobre, l’ensoleillement est généreux et l’installation fonctionne à plein régime. Dans la salle de contrôle, les voyants sont au beau fixe. Un complexe solaire sur 3000 hectares Inaugurée en février par le roi Mohammed VI, Noor 1 est aujourd’hui l’une des plus grandes centrales solaires au monde dans cette technologie à concentration. Ce n’est qu’un début. Solaire : le Maroc à la pointe. Tamezghitane, 4 février 2016.
Cette bourgade située en plein désert, à quelques kilomètres d’Ouarzazate, scène de décor des grosses productions hollywoodiennes, accueillait cette fois des personnalités d’un tout autre ordre. La ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal, le ministre espagnol des A¦aires étrangères José Manuel García-Margallo, Luc Chatel, président du groupe d’amitié France-Maroc à l’Assemblée nationale, David Assouline, vice-président du groupe d’amitié France-Maroc au Sénat, ainsi que le roi du Maroc, Mohammed VI, accompagné de l’ensemble des membres du gouvernement Benkiran. L'écoconstruction dans les oasis du Sud du Maroc - Histoire-géographie - Éduscol.