Hector Berlioz "La mort d'Ophélie" Berlioz, Rêveries-Passions, Symphonie fantastique mvt 1, analyse par Claude Abromont. Berlioz, Songe d'une nuit du sabbat, Symphonie fantastique mvt 5, analyse par Claude Abromont. Berlioz - La mort d'Ophélie - Cecilia Bartoli. H. Berlioz Sinfonía fantástica Op.14. III- Scène Aux Champs. Partitura. Audición. H. Berlioz Sinfonía fantástica Op.14. I-Rêveries – Passions. Partitura. Audición. H. Berlioz: Sinfonía fantástica V - Songe d'une Nuit du Sabbat. Partitura. Berlioz, Marche au supplice, Symphonie fantastique mvt 4, analyse par Claude Abromont. Berlioz, Un bal, Symphonie fantastique mvt 2, analyse par Claude Abromont. Berlioz - Symphonie fantastique (Mariss Jansons conducts, Proms 2013) FILM " LA SYMPHONIE FANTASTIQUE " ( HECTOR BERLIOZ )( 1941 ) Berlioz - La mort d'Ophélie - Anne Sofie von Otter. Berlioz - La mort d'Ophélie - Cecilia Bartoli. Bibliothèque nationale de France - Berlioz - La voix du romantisme.
Louis Hector Berlioz: Requiem (Lyon 2012) La gloire à 20 ans, Hector Berlioz. Hector Berlioz : Symphonie fantastique. Music Composition Lessons with Adam Edison. H. Berlioz - Symphonie fantastique - 1er mouvement - Analyse. Marche au supplice, Hector Berlioz. Berlioz: The Score - Symphonie fantastique, The Idée Fixe. Hector Berlioz - Symphonie Fantastique. Hector Berlioz - Grande Messe des Morts {Requiem} Berlioz: Symphonie fantastique (complete performance) Youtube. Berlioz: "Symphonie Fantastique" - 5th Mvt. - Leonard Bernstein. Hector Berlioz - Songe d'une nuit de sabbat. L'Idée-fixe de la Symphonie Fantastique de Berlioz. Hector Berlioz – Requiem – Lacrymosa. Hector Berlioz – Rêverie et Caprice. Morceau peu connu de Berlioz, Rêverie et Caprice est pourtant un morceau remarquable dans la mesure où il met en valeur un instrument solo (le violon, ici) fait assez rare dans la musique du compositeur (en cela, ce morceau se rapproche un peu de Harold en Italie).
Je laisse la parole à Berlioz, qui écrit ces mots dans une note au début de la partition : Une lumière douce enveloppe la Terre de transparences. Des brumes frissonnent avec les senteurs du soir parmi les bouffées de brise. Un homme regarde ces pâles clartés, écoute ces bruissements vagues. Mais il ne voit pas, il n’entend pas… Il rêve! (Vous l’aurez compris si vous l’ignoriez encore, Berlioz est un grand romantique!) Hector Berlioz – Les Nuits d’Été – Villanelle. Même si le titre de l’opus est « les Nuits d’Eté », je trouve que cette jolie chanson va beaucoup mieux avec le printemps qu’avec la période estivale… Ça tombe bien, aujourd’hui, 21 mars, c’est le début de la nouvelle saison, après un hiver (plutôt) vigoureux !
Cette jolie chanson a été composée par Berlioz, que vous commencez déjà à bien connaître (La Symphonie Fantastique, Harold en Italie… c’est lui !) , sur le poème éponyme de Théophile Gautier – grand romancier, poète et critique littéraire du XIXe siècle. Bien sûr, en lisant les paroles de ce poème, on tombe nécessairement dans une certaine mièvrerie qui peut vite insupporter… Mais Berlioz l’évite assez habilement, avec une orchestration bien pensée : les vents et les cordes se répondent dans une structure en canon, évitant ainsi toute monotonie. Et cette mélodie… étonnamment belle, que dire de plus? Les paroles sont ici. Et puis souriez, c’est le printemps ! Hector Berlioz – Requiem dirigé par Sir Colin Davis. La musique classique est en deuil aujourd’hui, après la mort hier d’un des grands chefs d’orchestre du XX° siècle, Sir Colin Davis, né en 1927.
Le chef d’orchestre britannique était notamment un grand spécialiste d’Hector Berlioz, dont il avait enregistré l’intégralité de l’oeuvre. Nous vous proposons donc aujourd’hui d’écouter le Requiem de Berlioz, dirigé par Sir Colin Davis, qui a rejoint hier celui qu’il admirait tant… Cette entrée a été publiée dans Requiem, avec comme mot(s)-clef(s) Berlioz, période romantique, Sir Colin Davis. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien. Hector Berlioz – Grande symphonie funèbre et triomphale. Par Pauline S. – Audituri Te Salutant!
18 juillet 1840, Paris, la Bastille. Malgré la brume naissante d’une journée estivale, des corbeaux par dizaines coassent dans le ciel ombragé de la capitale, pareil à un soir de l’Halloween où un bruit anodin glacerait jusqu’à la moelle n’importe quel Mesrin et autres criminel de la sorte. L’heure est grave. Le cœur, pas à la fête. Le silence pesant, assourdissant. Pour le savoir, retournons dix ans auparavant, en juillet 1830. Revenons donc 10 ans après. Hector Berlioz - Roman Carnival Overture.