C’est un trou perdu en Bretagne et vous allez avoir envie d’y vivre. A Trémargat (Côtes-d’Armor), 24 février 2014 - Clément Guillou/Rue89 (De Trémargat, Côtes-d’Armor) A Trémargat, on dit qu’on est « ravitaillés par les corbeaux » et que lorsqu’ils survolent le bourg, c’est sur le dos pour ne pas voir la misère.
Le centre Bretagne – le « Kreiz Breizh » – est le pays le plus pauvre de la péninsule. Il a échappé aux remembrements et conservé ses fossés, ses landes, ses bois. Une zone rurale au possible, où la terre n’est pas bonne à cultiver. Dans ce beau pays de cailloux, il y a 50 ans, on conseillait aux enfants de ne pas rater le train de l’exode rural. Une seule liste aux municipales Depuis que la liste des « néo-ruraux » a battu celle de la dynastie locale en 1995, il n'y a plus de liste concurrente aux municipales. Un village voisin, Peumerit-Quintin, pourrait prendre le même chemin : une liste inspirée par l'expérience de Trémargat est candidate face au conseil municipal sortant.
Quatre couples de soixante-huitards ont présidé à ce petit miracle. Alain Dorange - créer un éco-hameau - La Seiche.net. Alain Dorange a participé à la création du Moulin de Busseix, dans le sud du Limousin.
Il s’agit d’un éco-hameau où l’on trouve de splendides maisons écologiques, une maison commune, une cabane, une ancienne maison de pierres, un potager sans pesticides, du solaire et plein de projets ! >> Par votre éducation et votre milieu étiez-vous familiarisé avec l’écologie ? Né en 1940, mon éducation s’est faite pendant la période des Trente Glorieuses au cours de laquelle triomphait l’idéologie du progrès scientifique, technique et économique que seules quelques personnes contestaient.
Issu d’un milieu de petits commerçants le sujet de l’écologie était ignoré. La prise de conscience s’est faite vers 1968 et s’est concrétisée plus tard par mon adhésion au parti des Verts en 1989. >> Par quelle porte êtes vous entré dans la vie active ? >> Qu’est-ce qui vous a décidé à vous lancer dans un éco-hameau ? >> J’imagine qu’il y a eu des difficultés sur le chemin, qu’est-ce qui vous a fait tenir ?
Sans titre. Communautés intentionnelles, éco villages, habitats groupés… des solutions pour vivre autrement! Auroville Pondichéry Indie idéologie : spiritualité, écologie. revenu : partagé et indépendant.
Partant d’un rêve, le projet de cet immence éco village à commencer en 1968 et est toujours en expension. . « le rêve » : « Il devrait y avoir quelque part sur la terre un lieu dont aucune nation n’aurait le droit de dire : « il est à moi » ; où tout homme de bonne volonté ayant une aspiration sincère pourrait vivre librement comme un citoyen du monde et n’obéir qu’à une seule autorité, celle de la suprême vérité ; un lieu de paix, de concorde, d’harmonie, où tous les instincts guerriers de l’homme seraient utilisés exclusivement pour vaincre les causes de ses souffrances et de ses misères, pour surmonter ses faiblesses et ses ignorances, pour triompher de ses limitations et de ses incapacités ; un lieu où les besoins de l’esprit et le souci du progrès primeraient la satisfaction des désirs et des passions, la recherche des plaisirs et de la jouissance matérielle.
Ungersheim, un village où la transition écologique ne convainc pas tous les habitants. Ungersheim (Haut-Rhin), reportage C’était le bassin de la potasse.
Nord-Ouest de Mulhouse. À la découverte d'Ungersheim, un village alsacien laboratoire d'idées. Ungersheim, dans le Haut-Rhin, est en apparence un village alsacien comme les autres, mais il suffit d'arpenter ses rues à l'heure de l'école pour comprendre qu'ici, on pense la vie communale différemment.
Sébastien, employé municipal, n'a pas de minibus. Le ramassage scolaire se fait ici au rythme du cheval de trait. Le chemin de l'école devient alors une aventure. Ne plus dépendre du pétrole est l'objectif d'Ungersheim, village en transition. Pour y parvenir, on favorise les énergies renouvelables, les circuits courts et le lien social. Dans ce village de 2 200 habitants, grâce aux énergies renouvelables, certains bâtiments sont autonomes en énergie. Ils vivent autrement depuis 40 ans sur un terrain en zone expérimentale! 21 Sep Nous avons profité d’un passage dans la région de Louvain-la-neuve pour visiter les habitats alternatifs du quartier de la Baraque.
Le quartier de la Baraque, dit aujourd’hui “ le vieux quartier” fête cette année ses 40 ans. C’est à la base d’un mouvement de contestation qu’à vu le jour ce quartier. Essentiellement des étudiants en architecture qui décidèrent de construire des habitats alternatifs et vivre une expérience communautaire. Il y a 3 zones différentes: Les Bulles, le Jardin et le Talus. Dans un premier temps, le quartier était composé de roulotes, bus et camions. Les Bulles semble plus communautaire que les autres zones. Malheureusement nous n’avons pas pu rencontrer beaucoup de personnes car nous étions un dimanche (lendemain d’une bonne soirée) et que une majorité des habitants étaient en réunion.
Nous y retournerons très certainement un jour ou plutôt un soir afin de s’imprégner de l’esprit communautaire et conviviale de ce lieu J'aime : J'aime chargement… Eco-village de Sainte-Camelle : quand le rêve devient réalité - 01/11/2016 - ladepeche.fr.