Dualite. Dualité (A) Généralités.
(a) Définition. La dualité est le caractère de ce qui est double en soi. Cette notion ne doit pas être confondue avec l'opposition paradigmatique dans laquelle, au sein d'un couple linguistique, un mot est le contraire d'un autre. (b) Usage. . - <<La dualité fait référence au nombre 2. En mathématiques, la dualité est une notion qui a de nombreuses significations ; en physique : en physique quantique, la dualité onde-particule exprime le fait que la lumière et la matière présentent simultanément des propriétés d'ondes et de particules. en électrocinétique, dipôle dual ou circuit dual ; en philosophie, la dualité de Descartes et Dualisme (philosophie de l'esprit) en religion et spiritualité, la dualité se rapporte à diverses distinctions relativement valides, mais ultimement indifférenciées.
Dans l'Égypte antique, le concept de dualité est primordial En économie : On peut parler de "dualisme croissant du marché du travail". Vocabulaire de la Psychanalyse. = D. : Todestriebe. – En. : death instincts. – Es. : instintos de muerte. – I. : istinti ou pulsioni di morte. – P. : impulsos ou pulsões de morte. ● Dans le cadre de la dernière théorie freudienne des pulsions, désigne une catégorie fondamentale de pulsions qui s’opposent aux pulsions de vie et qui tendent à la réduction complète des tensions, c’est-à-dire à ramener l’être vivant à l’état anorganique.
Tournées d’abord vers l’intérieur et tendant à l’autodestruction, les pulsions de mort seraient secondairement dirigées vers l’extérieur, se manifestant alors sous la forme de la pulsion d’agression ou de destruction. ◼ La notion de pulsion de mort introduite par Freud dans Au-delà du principe de plaisir (Jenseits des Lustprinzips, 1920), et constamment réaffirmée par lui jusqu’à la fin de son œuvre, n’a pas réussi à s’imposer aux disciples et à la postérité de Freud au même titre que la plupart de ses apports conceptuels ; elle reste une des notions les plus controversées.
. (1) Freud (S.). Dualisme (philosophie de l'esprit) Pour les articles homonymes, voir Dualisme.
En philosophie, le dualisme est un point de vue strict affirmant que l’univers est constitué d'un constituant physique et d'un constituant mental. Le dualisme se réfère à une vision de la relation matière-esprit fondée sur l'affirmation que les phénomènes mentaux possèdent des caractéristiques qui sortent du champ de la physique[1]. La version la plus connue du dualisme a été formalisée en 1641 par René Descartes qui a soutenu que l'esprit était une substance immatérielle. L’approche cartésienne. Par Eve Suzanne.
Descartes, à la fois en tant que philosophe et homme de science, se situe à deux niveaux de compréhension du réel : il fait rentrer la nature dans un cadre mécaniste auquel le corps est soumis, et en même temps, il soutient un dualisme de l’âme et du corps dans lequel l’âme échappe aux déterminations du corps.
L’auteur décrit méthodiquement les caractères qui sont propres à l’âme puis au corps et lèvent les contradictions qui résultent de leur union. De plus, celle-ci joue un rôle fondamental dans le jeu des passions qui fonde l’ensemble de sa théorie morale. Regards philosophiques - Le blog d'Amélie Pinset. Septembre 19, 2009 at 4:10 Nature du devoir : dissertationCours : L1, Philosophie généraleNote : 13/20 Nombre d’expressions courantes telles “mon corps ne suit pas”, “j’ai la tête ailleurs” confèrent le reflet d’une image divisée de nous-même.
Notre vie se jouerait donc sur deux scènes différentes : la “vie psychique” et la “vie corporelle”, il y aurait dès lors deux “réalités” séparées : d’un côté l’esprit, substance immatérielle et invisible, et de l’autre le corps, substance charnelle et visible. Étant donné que le corps et l’esprit appartiennent à deux dimensions absolument distinctes, il semblerait évident que l’on ait la capacité intellectuelle de concevoir, d’établir deux concepts étanches de ces deux notions.
Pour autant, si en tant qu’homme je me définie comme étant à la fois corps et esprit, ai-je vraiment l’opportunité de raisonner séparément sur les deux réalités qui me composent et auxquelles je ne peux m’abstraire ? Corps et esprit : l’identité humaine selon Spinoza. 1.1 Coup d’œil sur la substance 1Les difficultés de la théorie cartésienne de la substance tiennent à ce qu’il existe non pas un, mais plusieurs concepts cartésiens de la substance.
Ce concept varie selon le genre d’être auquel il s’applique, être infini ou fini, être fini étendu (corps) ou être fini pensant (âme). Même si l’on conteste que les corps singuliers soient de véritables substances, reste que l’étendue en général est une substance, aussi bien que Dieu et les esprits, qu’il faut donc affronter la question de l’unité de la notion de substance, aussi bien entre l’étendue et la pensée qu’entre le fini et l’infini : analogie ou équivocité1, on ne peut échapper à cette alternative. 2Chez Spinoza, il semble qu’au moins une partie de ces difficultés doit disparaître.
Problème corps-esprit. Y a-t-il un esprit dans la machine ?
Le problème corps-esprit pose la question des relations entre le corps humain, le cerveau en particulier, et l'esprit. Bien que ce problème existe quasiment depuis l'origine de la philosophie (cf. Platon), il est reconnu depuis le XXe siècle comme une question fondamentale, voire comme la question centrale de la philosophie de l'esprit sous l'expression anglaise de Mind-body problem. On parle aussi de dichotomie corps-esprit. La question de l'interaction entre le corps et l'esprit est l'une des principales questions auxquelles se sont confrontés les philosophes de l'esprit, depuis Descartes.
Dualisme[modifier | modifier le code] Thalès est parfois tenu pour un physicaliste intégralement moniste[réf. nécessaire], mais l'opposition entre matière et esprit n'existe pas dans cette pensée. Typologie du dualisme[modifier | modifier le code] Descartes[modifier | modifier le code] Malebranche et l'occasionalisme[modifier | modifier le code]