DroneDefender, un fusil anti-drone qui brouille les ondes - Sciences - Numerama. Aux États-Unis, un fusil d'un nouveau genre a été mis au point.
Celui-ci envoie des ondes pour brouiller les fréquences entre l'opérateur et son drone, pour obliger ce dernier à se poser. Souvenez-vous : à l’automne 2014 et pendant l’hiver 2015, l’actualité a été marquée par de nombreux incidents impliquant des drones. Ces petits aéronefs ont en effet été aperçus en train de survoler tout un tas de sites sensibles, allant des centrales nucléaires au palais de l’Élysée, en passant par l’ambassade des États-Unis à Paris, l’Assemblée nationale et certains lieux très fréquentés par les touristes. Mais la riposte s’organise. Face à ces survols illicites, des entreprises réfléchissent au meilleur moyen de neutraliser les drones. Un fusil brouilleur d’ondes C’est cette dernière approche qui a été retenue par Dan Stamm.
Le Battelle DroneDefender « fait en quelque sorte croire au drone qu’il est hors de portée. Vidéo > Un robot guidé par un drone en terrain accidenté. Armes nouvelles : priorité à la transparence ! Par Yves Pozzo di Borgo.
Drone credits Ministry of defence (licence creative commons) Qu’est-ce qu’être européen aujourd’hui ? Et si c’était, par exemple, s’inquiéter du développement des drones militaires et des nouvelles armes de combat robotisées et vouloir en réglementer l’usage ? Sur ce sujet, le droit est en retard et la démocratie aussi, en dépit de quelques initiatives institutionnelles ou associatives récentes. Ainsi, c’est dans un vide juridique quasi absolu que les Américains ont pu, au cours des dernières années, exécuter par drones plusieurs milliers de djihadistes. Les drones survolent un désert juridique Face aux questions nombreuses que suscitent ces nouvelles armes et sous la pression de plusieurs ONG, les lignes politiques ont commencé à bouger au sein des institutions internationales ou régionales pour obtenir une réglementation des usages. UGS, le salon de tous les drones. Quand on dit drone, on pense tout de suite à un petit engin sans pilote dirigé à distance.
Un gros joujou en quelque sorte. Mais Aymar de Blomac , le PDG de Territoires&Co organisateur d’UGS, le Salon international des drones et systèmes autonomes qui ouvre aujourd’hui à Bordeaux, veut tout de suite tordre le cou aux idées reçues : Le drone n’est pas seulement aérien mais « multi-milieux ». Autrement dit, il existe des drones terrestres maritimes, et même sous-marins.
Ce sont des systèmes autonomes, capables de se piloter seuls. Un rendez-vous internationalLe symposium UGS pour Unmanned Global Systems, le nom anglais des drones, entend bien montrer toute l’étendue de cette filière en plein développement, au cours de ce salon. Un marché militaireLe marché des drones ne concerne pas le grand public ou très peu. Photo © G. Les citoyens doivent avoir les drones à l'œil. Drone en action (PhOtOnQuAnTiQuE/flickr/CC) Les publics bordelais peuvent-ils participer aux choix scientifiques et techniques qui façonneront la société de demain ?
Alors que s’ouvre le salon UGS à Bordeaux, les élus écologistes de la métropole demandent une mission de réflexion sur les drones, afin de sensibiliser les citoyens aux enjeux (sécurité, respect de la vie privée et des libertés publiques…) d’une technologie en plein boom en Aquitaine. Un « plaidoyer pour une démocratie technique » par Clément Rossignol-Puech, ex vice-président de la CUB et physicien au CNRS. Les drones soissonnais pourraient contrer les survols interdits. Qualcomm : SnapDragon Flight veut faire voler les drones beaucoup plus longtemps.
Parrot rachète MicaSense & Iconem dans les drones professionnels. En complément de la montée en puissance dans sa division Drones grand-public, Parrot poursuit sa politique de croissance externe en investissant dans MicaSense et Iconem.
Le français Parrot mise gros sur les drones, et ils le lui rendent bien. Sa stratégie de croissance externe a déjà conduit Parrot à investir dans Airinov, spécialisé dans l’agriculture de précision et ce n’est pas fini. La semaine dernière, Parrot a annoncé de nouvelles prises de participation dont l’américain MicaSense à hauteur de 51%. Google va tester deux drones de livraison aux USA. Le fabricant de drones CyPhy lève 22 millions de dollars. Et une levée de fonds supplémentaires.
C’est aujourd’hui l’entreprise américaine CyPhy, bien connue pour ses drones à applications militaires, qui boucle une levée de fonds de 22 millions de dollars. Son objectif est de partir à l’assaut du marché grand public. Cholet. Au Greta, on apprend à piloter des drones [vidéo]