Roland Goigoux : quels savoirs utiles aux formateurs. Roland Goigoux résume ici en une heure les quatorze heures de cours qu’il assure dans le master de formation de formateurs de Clermont. (ESPE Clermont Auvergne et laboratoire ACTé), conférence faite devant les candidats au CAFIPEMF et CAFFA (diplômes formateurs premier et second degré). Le texte ci-dessous résume son propos, selon le découpage présenté. player1 commande et raisonnement La demande adressée aux enseignants par l’institution s’est progressivement déplacée d’une obligation de moyens à une obligation de résultats. La question du « professionnalisme enseignant » requiert du professeur non seulement de maitriser ce qu’il a à enseigner, mais aussi de devenir un spécialiste des apprentissages. Le rôle des enseignants-formateurs En conséquence, le travail du formateur consiste à apporter des connaissances sur les apprentissages et les conditions qui facilitent ces apprentissages.
Un modèle de recherche de plus en plus prégnant : « évidence-based-policy » Selon R. 1. POWERPOINT fonctions. Techniques de communication: l'écoute active, le questionnement et la reformulation. Comme nous l'avons vu dans l'article "Techniques de communication: la définition de l'écoute active selon Carl Rogers", l'écoute active est une technique de communication qui permet de s'assurer que l'on a bien compris le message de son interlocuteur et le lui démontrer.
Le mécanisme de l'écoute active suit un cycle de 4 étapes (illustration), que l'on répète jusqu'à ce que la compréhension du message ait été validée par l'interlocuteur: I. Le temps de l'écoute: Lors de l'écoute, on peut afficher un "silence positif", tout en intervenant brièvement par des "oui, je comprends", pour montrer à l'interlocuteur que l'on est à l'écoute à la fois de ses arguments (le problème) et de ses sentiments (la personne).
II. Le temps de la clarification: Clarifier signifie ici "comprendre le sens des mots". "Que voulez-vous dire par…" ou " Que signifie pour vous ce terme? "" III. 1. Exemple: Comment se présente cette situation? La collaboration, premier pilier de l’entreprise de demain. Quels que soient les produits et/ou les services que les nouvelles entreprises développent et proposent, elles ne peuvent plus faire l’impasse – au niveau organisation – sur la mise en oeuvre de pratiques collaboratives et d’outils ad-hoc.
Au delà de l’innovation technique ou commerciale, la collaboration est un des facteurs de réussite des petites et moyennes entreprises. Nécessaire, mais pas suffisante, elle contribue à créer la performance économique et c’est pourquoi la collaboration est le premier pilier de l’entreprise de demain. Ce n’est pas un besoin, ni même une exigence nouvelle, mais tout le monde s’accorde à reconnaître que l’évolution technologique de ce début de siècle rend la pratique collaborative plus facile, donc très certainement plus efficace.
La collaboration est d’abord une attitude, un état d’esprit, qui consiste à travailler ensemble sur des projets, des dossiers, des idées. Hors, il n’en est rien. En effet, pourquoi collaborer ? Voici une liste non exhaustive : Groupes et comm# Dynamique de groupe A/ L’étymologie et les définitions : De l’italien « groppo » ou « gruppo » (1668), le terme est porteur d’une signification en tension.
Du sens premier « nœud », « assemblage », nous pouvons entendre, d’une part, ce qui réunit, relie entre plusieurs éléments et, d’autre part ce qui retient, qui emprisonne. Ce qui relie et/ou ce qui immobilise met en jeu la nature des rapports entre les parties d’un ensemble selon que ces rapports seront directs ou indirects. » Alain Aymard : Vocabulaire de Psychosociologie édition ERES. On va nommer « groupe », un ensemble de personnes orienté vers un but commun. « C’est dans l’interdépendance qu’un groupe se forge. B/ Les différentes catégories de groupe D’après Anzieu et Martin (1968), on distingue 5 grandes catégories de groupes. C/ L’apport de Freud, Moreno, Mayo et Kurt Lewin Sigmund Freud (1856-1939). Le test sociométrique permet de mettre en évidence : Dominique Oberlé Sciences humaines n°94.
Voir aussi → Wikipedia Les conflits.