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Philosophie des sciences

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Philosophie des mathématiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Philosophie des mathématiques

La philosophie des mathématiques est la branche de la philosophie qui tente de répondre aux interrogations sur les fondements des mathématiques ainsi que sur leur usage. On y croise des questions telles que : « les mathématiques sont-elles nécessaires ? », « pourquoi les mathématiques sont-elles utiles ou efficaces pour décrire la nature ? », « dans quel(s) sens, peut-on dire que les entités mathématiques existent ? Alain Badiou : «Le philosophe ne peut pas rivaliser avec le mathématicien dans le cheminement vers la vérité»

En mathématiques, il faut admettre le regard des autres qui cherchent les failles, les trous dans une démonstration.

Alain Badiou : «Le philosophe ne peut pas rivaliser avec le mathématicien dans le cheminement vers la vérité»

Nous avons donc demandé à Pierre Cartier, longtemps collaborateur de Bourbaki, le mathématicien polycéphale qui a refondé les mathématiques modernes, de lire Eloge des mathématiques, qui vient d’être publié par Alain Badiou. Le philosophe marxiste se fait ainsi rappeler à l’ordre sur cinq points : le rôle de l’histoire, le dépassement de la vérité mathématique, l’aristocratie cultivée par les matheux, la diffusion des maths et le cheminement de la pensée. Mais comment un mathématicien peut-il réfuter l’idée que les maths deviennent autre chose «qu’un opérateur ennuyeux de sélection sociale» et réintègre la culture au même titre que l’Odyssée de Homère ? Entretien avec Alain Badiou. Eloge des mathématiques d'Alain Badiou avec Gilles Haéri - Inclass@blεs Mathématiqu€s. Eloge des mathématiques Badiou, Alain et Haeri, Gilles. La « mathématique universelle » entre mathématique et philosophie, d'Aristote à Proclus. Notes Ce travail n’aurait pu voir le jour sans l’aide du Groupe de lecture sur l’In Euclidem de Proclus, dirigé par Bernard Vitrac et Alain Lernould à l’Ecole Normale Supérieure.

La « mathématique universelle » entre mathématique et philosophie, d'Aristote à Proclus

Que ses participants en soient remerciés, notamment Bernard Vitrac, Gerald Bechtle, Thomas Bénatouïl, Alain Bernard et Arnaud Macé, dont la lecture critique a beaucoup contribué à l’amélioration de ce texte. Platonisme mathématique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Platonisme mathématique

Le platonisme mathématique ou « réalisme en mathématiques » est une théorie épistémologique selon laquelle les entités mathématiques (nombres, figures géométriques, etc.) ont une existence indépendante. Ce ne sont pas de vulgaires abstractions tirées du monde sensible (connu par les sens), ni de pures conventions, ni de simples instruments, mais des êtres jouissant d'une vie propre, comme les Idées de Platon ou même comme les êtres physiques. Alain, sur les mathématiciens et les biologistes. Lors de la préparation d'un exposé (*), j'ai voulu me rappeler les propos du philosophe Alain opposant pensée contemplative et technique.

Alain, sur les mathématiciens et les biologistes

J'ai relevé quelques extraits de son livre Les Idées et les Âges (1927), à destination notamment de mes collègues biologistes et mathématiciens : Jean-Michel SALANSKIS - Modes du continu dans les sciences. Introduction à la philosophie de la logique - Denis Vernant. Philosophie des sciences. Philosophie des sciences. Vérité scientifique. Une vérité scientifique est une proposition construite par un raisonnement rigoureux, et vérifiée par l'expérience.

Vérité scientifique

Méthode scientifique. Pour les articles homonymes, voir Méthode.

Méthode scientifique

Ce constat ne doit cependant pas être entendu comme une forme d'anarchisme épistémologique. Si la question de l'unité de la méthode est problématique (et ce problème sera abordé plus en détail ci-dessous), cela ne remet pas en question l'existence d'une pluralité de canons méthodologiques qui s'imposent aux chercheurs dans leurs pratiques scientifiques. Découverte et théorie[modifier | modifier le code] Cette brève introduction situe le processus de base de la méthode scientifique au cours du passage d'une théorie vers une autre[1]. Six questions clés de philosophie des sciences.

Formalisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Formalisme

Le formalisme, du latin forma, « forme », est un concept esthétique. Il désigne : Virtuel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Virtuel

Sur les autres projets Wikimedia : virtuel, sur le Wiktionnaire Virtuel est un adjectif (qui peut être substantivé : le virtuel) utilisé pour désigner ce qui est seulement en puissance, sans effet actuel. Aujourd'hui, on utilise souvent cet adjectif pour désigner ce qui se passe dans un ordinateur ou sur Internet, c'est-à-dire dans un « monde numérique » par opposition au « monde physique ». Modèle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Modèle

Le terme modèle synthétise les deux sens symétriques et opposés de la notion de ressemblance, d’imitation, de représentation. En effet, il est utilisé pour désigner : Modélisation de l'« animal théorique », par le zoologistePaul Bert (1833-1886), qui l'utilisait au XIXe siècle comme modèle fictif et pédagogique pour présenter les systèmes associés qui caractérisent selon lui l'organisme animal[1]. D : appareil digestif ; R : appareil respiratoire ; E : appareil excréteur ; C : appareil circulatoire ; N : appareil nerveux. Les flèches désignent les flux de nutriments, d'oxygène, d'excréments et/ou d'excrétas. Épistémologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'épistémologie (du grec ancien ἐπιστήμη / epistếmê « connaissance, science » et λόγος / lógos « discours ») désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général.

Définition[modifier | modifier le code] L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »[1].

Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l'épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique. ARISTOTE, DESCARTES, KORZYBSKI. Isabelle Baudron - 26 Juin 1998 Pour pouvoir comprendre l'évolution des modes de pensée dans la civilisation occidentale, il importe de la replacer dans son contexte aux niveaux scientifique et sémantique, d'Aristote à nos jours. En effet, l'évolution sémantique ne s'est pas faite indépendamment de l'évolution scientifique, mais elle en est la conséquence, découlant des cartes dressées par les mathématiciens des différentes époques en fonction des données dont ils disposaient. A partir de là des philosophes ont élaboré des systèmes de pensée basés sur les cartes dressées par les scientifiques de leur temps, systèmes qui ont structuré la vision de l'homme et du monde.

Le temps. Kairos. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] Dans le langage courant, on parlerait de point de basculement décisif, avec une notion d'un avant et d'un après au sens de Jankélévitch (voir plus bas). In fine, l'expression « instant d'inflexion » semble convenir : « Maintenant est le bon moment pour agir. » Pour le pseudo-Aristote, « Le mélancolique est l’homme du kairos, de la circonstance[1]. »

Reel-1 de MMS. Que n’a-t-on pas glosé, réfléchi, causé, écrit, pensé, établi, rêvé à propos des étranges découvertes de la mécanique quantique, acquises dans les années 1930. Pourtant, le mystère persiste et la plupart des physiciens reconnaissent que la mécanique quantique est un instrument remarquable pour décrire la dynamique des particules mais que son formalisme reste opaque.

Car on ne peut donner une image ordinaire du monde microphysique et nul ne comprend pourquoi ça marche si bien. Une supercherie disait Feynman, constatant les prouesses de l’électrodynamique quantique. Ce même Feynman ajoutant : « Je crois pouvoir dire sans me tromper que personne ne comprend la mécanique quantique. » Scientisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le scientisme est une vision du monde apparue au XIXe siècle selon laquelle la science expérimentale a priorité pour interpréter le monde sur les formes plus anciennes de référence : révélation religieuse, tradition, coutume et idées reçues. Le scientisme veut, selon la formule d'Ernest Renan (1823-1892), « organiser scientifiquement l'humanité »[1]. Il s'agit donc d'une confiance (le terme de foi ne s'applique pas dans le domaine expérimental) dans l'application des principes et méthodes de la science expérimentale dans tous les domaines. Le scientisme entendu comme l'idéologie d'après laquelle tous les problèmes qui concernent l'humanité pourraient être réglés d’après le paradigme des sciences expérimentales est l'objet de critiques venant de divers horizons.

Principe[modifier | modifier le code] Les dangers du scientisme. Positivisme. De Descartes à Heidegger : science, techno-science et technique - Aphorismes. Claudine Tiercelin - Le ciment des choses, petit traité de métaphysique scientifique réaliste. Affaire Sokal. De Descartes à Heidegger : science, techno-science et technique - Aphorismes. Etienne Klein - Cours introductif de Philosophie des Sciences 1/9. L'économie est-elle une science ? Le prix nobel de l'économie vient d'être décerné au français Jean Tirole L'occasion pour moi de vous parler d'économie. Parler d'économie sur un blog de philosophie des sciences ? Antipositivism. In social science, antipositivism (also interpretivism and negativism) is a theoretical stance that proposes that the social realm cannot be studied with the scientific method of investigation applied to Nature and that investigation of the social realm requires a different epistemology.

Fundamental to that antipositivist epistemology is the belief that the concepts and language that researchers use in their researches shape their perceptions of the social world they are investigating, studying, and defining.[1] Concept[edit] History[edit] Beginning with Giambattista Vico, in the early eighteenth century, and later with Montesquieu, the study of natural history and human history were separate fields of intellectual enquiry.

Natural history is not under human control, whereas human history is a human creation. In the early nineteenth century, intellectuals, led by the Hegelians, questioned the prospect of empirical social analysis. Frankfurt School[edit] See also[edit] Philosophie et Physique Quantique. MATÉRIAUX. Réfutabilité. Induction (logique) Corroboration. The Baloney Detection Kit: Carl Sagan’s Rules for Bullshit-Busting and Critical Thinking.