background preloader

Sémiotique, sémiologie

Facebook Twitter

Groupe µ. Né de libres échanges menés à l’Université de Liège (Belgique), le Groupe µ poursuit depuis plus de quarante ans des travaux interdisciplinaires en rhétorique, en théorie de la communication linguistique ou visuelle, en philosophie des sciences du langage, travaux qu’il signe collectivement — tel Bourbaki en mathématiques — de l’initiale grecque du mot « métaphore ».

Groupe µ

Outre les membres titulaires actuels — Francis Édeline et Jean-Marie Klinkenberg —, le Groupe µ a compté Jacques Dubois, Philippe Minguet (†), Francis Pire et Hadelin Trinon (†). Groupe µ. Le Groupe µ en 1970, de gauche à droite : F.

Groupe µ

Pire, J. -M. Klinkenberg, H. Regard sur l'image, un essai illustré à propos de l'image, de sa. SIGNE LINGUISTIQUE. Variabilité ou invariabilité du signifié ?

SIGNE LINGUISTIQUE

L’invariabilité du signifié d’une langue à l’autre n’est-elle pas discutable ? Le signifié désigne normalement le concept, la représentation mentale d'un objet. Contre la motivation de la langue dont les mots refléteraient les choses ou les concepts, le linguiste, retranché dans son monde virtuel, loin des réalités biologiques de la vie (et de la survie) et de la physiologie neurosensorielle et émotive de l'organisme humain, avance que si cette motivation existait, les mots d'une langue auraient toujours leur correspondant exact dans une autre. Raisonnement bien simpliste ! Mais les exceptions à cette observation conduit Saussure à distinguer signification et valeur : le bois (la forêt) et le bois (la matière ligneuse) portent le même nom par métonymie en français, mais n'ont pas la même valeur, puisque l'anglais pour sa part distingue wood, la forêt de timber la matière bois.

Bois wood/timber le référent (image de l'arbre) 8 ans 10 ans. Sémiotique. Sur les autres projets Wikimedia : sémiotique, sur le Wiktionnaire Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(février 2019).

Sémiotique

Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. La mise en forme de cet article est à améliorer(avril 2019). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. Sémiologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sémiologie

Le terme sémiologie a été créé par Émile Littré et pour lui, il se rapportait à la médecine[1]. Signe linguistique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Signe linguistique

Pour les articles homonymes, voir Signe. Les deux faces du signe linguistique selon Saussure. Un signe linguistique désigne une unité d'expression du langage. Il est l'objet d'étude de différentes branches de la linguistique : la sémiotique ou sémiologie qui étudie les signes en général, qu'ils soient verbaux ou non-verbaux[1];la sémantique qui étudie les concepts d'un point de vue linguistique, les signifiés ;la phonétique et la phonologie qui étudient les sons et leurs fonctions dans les langues naturelles (signifiants) et en caractérisent les phonèmes[2].

C'est Ferdinand de Saussure, professeur de linguistique à Genève et spécialiste du sanscrit, qui parle le premier de « signe linguistique » et qui introduit la distinction entre signifiant et signifié dans son Cours de linguistique générale (1906-1910), rédigé et édité par ses élèves en 1916. Définition de Ferdinand de Saussure[modifier | modifier le code]

Signifié et signifiant. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Signifié et signifiant

Signifiant et signifié, d'après un schéma de Saussure. Sémiologie de la musique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sémiologie de la musique

La sémiologie de la musique est l'étude des significations, des symboles et des sens dans la musique. Tolstoï définissait l’art comme : « l’activité humaine par laquelle une personne peut, volontairement, et au moyen de signes extérieurs, communiquer à d’autres les sensations et les sentiments qu’elle éprouve elle-même » (in : Qu’est-ce que l’art ?). Pour lui, « dès que les spectateurs ou les auditeurs éprouvent les sentiments que l’auteur exprime, il y a œuvre d’art ». L’objet de l’art est donc d’évoquer, de communiquer.

L’art se situe dès lors dans un contexte social (en l'occurrence pour lui, celui de la production marchande). Cette définition, qui n'est pas sans prêter le flanc à la critique quand on connaît les développements actuels de l'art, compte depuis longtemps ses tenants et ses détracteurs. Musique et langage[modifier | modifier le code] Mais la musique a-t-elle vraiment cette double articulation ? Carré sémiotique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Carré sémiotique

Le carré sémiotique, proposé par le linguiste et sémioticien lituanien Algirdas Julien Greimas, est un outil servant à formaliser les relations entre des signes sémiotiques et à représenter l'émergence de la signification à l'intérieur d'une structure. Il serait dérivé dans une certaine mesure du carré logique d'Aristote. Description[modifier | modifier le code] Le carré sémiotique consiste à représenter les concepts qui sont à la base d'une structure, tel un récit ou un message publicitaire, en binômes de termes opposés et contradictoires du type vrai/faux, non-vrai/non-faux. Cela en fait apparaître les relations de conjonction et de disjonction, placées respectivement au sommet et à la base du carré, tandis que les côtés font apparaître les rapports de complémentarité et correspondent à la « deixis », celle de gauche étant positive et celle de droite négative.

S1 et S2ni S1 ni S2 Critique[modifier | modifier le code] ↑ A. C:\Mes Documents\web-perso\semiotics\indexbis.htm. C:\Mes Documents\web-perso\semiotics\indexbis.htm. Le signe. Groupe µ. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Groupe µ

Le Groupe µ en 1970, de gauche à droite: F. Pire, J. -M. Klinkenberg, H. Trinon, J. Plusieurs membres du groupe ont signé le Manifeste pour la culture wallonne. Synthétisation[modifier | modifier le code] Le Groupe µ a participé au renouveau contemporain de la rhétorique en retravaillant le concept de figure de rhétorique. Semiologie. Sémiologie.