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Données. Désinformation. Droit de l'information. Économie de l'information. Stéphane Vial, L’être et l’écran : comment le numérique change la perception. 1L’être et l’écran se veut être une recherche philosophique sur la « révolution numérique ».
Convaincu que le développement des ordinateurs personnels, l’Internet et la téléphonie mobile ont radicalement changé notre relation au monde et notre façon de le percevoir, Stéphane Vial vise un renouvellement philosophique dans l’analyse des technologies numériques. Y a-t-il (vraiment) des technologies de l'information ? Quelle est la nature des changements introduits dans la culture des hommes, dans les moyens matériels de diffusion des connaissances, par le croisement de l’informatique et des réseaux ?
Yves Jeanneret estime que, en les situant au niveau d’une mutation à une échelle qui s’affranchit même de l’horizon de l’histoire, beaucoup d’auteurs les théâtralisent. Il interprète cette grandiloquence comme le signe de l’irruption dans les médias de la question des relations entre les supports de l’information et les pratiques culturelles des sujets. Pourtant, le débat public ne voit s’affronter que les tenants des nouvelles technologies et ceux qui les diabolisent, sans que l’interrogation soit jamais posée sur les formes de la médiation des savoirs que ces technologies réaliseraient.
L’expression « nouvelles technologies de l’information » doit donc elle-même se soumettre à un examen critique. L’interrogation porte d’abord sur ce « syntagme figé ». Dix idées fausses que se font les scientifiques de la vulgarisation. Quand je demande à mes collègues physiciens ce qu’ils pensent de la vulgarisation, tous s’accordent sur sa nécessité.
Mais quand il s’agit de savoir qui devrait vulgariser, comment s’y prendre, et pour quelles raisons, les opinions divergent : « il faut re-motiver les jeunes pour les carrières scientifiques », « le plus important, c’est la pédagogie », « il faut éviter la quantique »… J’avais moi-même des idées arrêtées sur le sujet quand, il y a 12 ans, j’ai commencé à participer à des actions de vulgarisation. Après des années de conférences grand public, d’interventions scolaires, de fêtes des sciences, et de collaborations avec des musées, je dois l’avouer : mes certitudes sur le sujet se sont peu à peu effritées.
Voici dix idées dont j’étais assez convaincu, mais qui ne résistent pas à l’épreuve du terrain et des chiffres. 1. « Le public s’intéresse de moins en moins aux sciences ». 2. « Les jeunes ne veulent plus aller vers les carrières scientifiques ». Dominique Wolton, Informer n’est pas communiquer. Communication - Dominique WOLTON. Que faut-il entendre par communication ?
Essentiellement quatre phénomènes complémentaires qui vont bien au-delà de ce que l’on entend souvent par communication, identifiée aux médias. Penser la communication (Wolton, 1997, essai) Penser la communication est un ouvrage de Dominique Wolton, publié chez Flammarion en 1997 (republié dans la collection « Champs Science » en 1998).
(ISBN 2080814133) Le livre se compose de 18 chapitres, rassemblés en 6 parties. Les 5 dernières parties résument le travail de 20 ans d'études de Dominique Wolton dans le domaine de la communication, alors que la première partie dévoile les aspects théoriques de sa pensée, une méthode qu'il nomme lui-même "empirique-critique" : empirique car il souligne l'importance d'enquête concrète, critique car pour l'auteur, l'interprétation prime sur la description. « Le domaine de recherche de Dominique Wolton concerne, au travers de très nombreux ouvrages, l’analyse des rapports entre culture, communication, société et politique.
Après avoir beaucoup écrit sur les médias, la communication politique, l’Europe, Internet, il étudie les conséquences politiques et culturelles de la mondialisation de l’information et de la communication ». D. D. Marshall McLuhan. Étudiant les transformations culturelles apportées par l'imprimerie dans le monde occidental, il en arrive à la conclusion que le média de communication peut avoir, à long terme, plus d'importance que le contenu qu'il transmet car il est une extension de nos sens et, de ce fait, détermine la façon dont nous abordons le monde et la société.
Outre l'imprimerie, McLuhan s'intéresse aussi à l'effet de la radio et tente de prévoir les bouleversements qu'entraînera la télévision. Il anticipe même, à certains égards, l'impact d'un ordinateur portable miniaturisé. Biographie[modifier | modifier le code] En 1934, il demande une bourse Rhodes pour aller étudier à Oxford, mais sa candidature est rejetée parce qu'il a défendu en entrevue la validité de l'étude des bandes dessinées[2]. En revanche, il est accepté à Cambridge (Royaume-Uni), où il passera deux ans. En 1936, McLuhan accepte un poste de professeur adjoint au département d'anglais de l'Université du Wisconsin (États-Unis). L'Utopie de la communication. Des informations de cet article ou de cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(avril 2015).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. L'Utopie de la communication – Le Mythe du "village planétaire" est un essai écrit par Philippe Breton, chercheur français au CNRS, paru aux éditions La Découverte en 1992. Il analyse l'avènement de la communication comme valeur centrale de notre société. Présentation[modifier | modifier le code] Pour Breton, l’utopie de la communication remonte aux années quarante, à la naissance d’un nouveau courant de pensée.
Le mathématicien Norbert Wiener, le père de la cybernétique, postulait que le fonctionnement du cerveau humain était comparable à une machine et qu’ainsi tous les phénomènes naturels pouvaient être observés et étudiés sous l’angle des relations. Liens externes[modifier | modifier le code]