Raymond Radiguet. Raymond Radiguet né le 18 juin 1903 à Saint-Maur-des-Fossés (Val de Marne) et mort le 12 décembre 1923 à Paris est un écrivain et poète français.
Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code] Aîné de sept enfants, Raymond Maurice Radiguet est le fils de l'illustrateur humoristique Maurice Radiguet (1866-1941) et de Jeanne Marie Louise Tournier (1884-1958). Après l'école communale, il passe l’examen des bourses et entre au lycée Charlemagne à Paris. Considéré d'abord comme un bon élève sauf dans les disciplines artistiques, il obtient ensuite des résultats scolaires médiocres qui le décident à quitter le lycée en 1914 pour faire l’école buissonnière.
Vie à Montparnasse[modifier | modifier le code] Julien Gracq. Signature Julien Gracq, nom de plume de Louis Poirier, né le 27 juillet 1910[1] à Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) et mort le 22 décembre 2007 à Angers, est un écrivain français.
Si Au château d'Argol, son premier roman, fortement influencé par le romantisme noir et par le surréalisme, avait attiré l'attention d'André Breton, c'est avec Le Rivage des Syrtes, et surtout le spectaculaire refus de son auteur de recevoir le prix Goncourt en 1951, que Julien Gracq s'est fait connaître du public. Reconnaissance paradoxale pour cet écrivain discret qui s'est effacé derrière une œuvre protéiforme et originale, en marge des courants dominants de la littérature de son époque (voire en opposition), qu'il s'agisse de l'existentialisme ou du nouveau roman.
Après avoir abandonné l'écriture de fiction, Julien Gracq publie à partir de 1970 des livres qui mélangent bribes d'autobiographie, réflexions sur la littérature et méditations géographiques. Jean Genet. Œuvres principales Jean Genet, né le 19 décembre 1910 dans le 6e arrondissement de Paris, ville où il est mort le 14 avril 1986 dans le 13e arrondissement , est un écrivain, poète et auteur dramatique français.
Jean Genet aborde dans ses ouvrages, l'homosexualité et l'érotisme, à travers la célébration de personnages ambivalents au sein de mondes interlopes. Biographie[modifier | modifier le code] Les premières années[modifier | modifier le code] Né de père inconnu (son nom était Frédéric Blanc selon les archives de l'Assistance publique), Jean Genet est abandonné à sept mois par sa mère, Camille Gabrielle Genet (1888- 1919), gouvernante ou femme de chambre[1]. La famille adoptive de Genet lui offre l’éducation communale, une mère de lait douce et aimante, un environnement protégé. Il commet son premier vol à l'âge de dix ans. Il quitte les lieux à dix-huit ans et, devançant l'appel, s'engage pour deux ans dans la Légion étrangère. Marcel Schwob. Pour les articles homonymes, voir Schwob.
Portrait publié par L’Illustration en 1905 Biographie[modifier | modifier le code] Marcel Schwob naît dans une famille de lettrés ; son père, George Schwob, était un ami de Théodore de Banville et de Théophile Gautier tandis que sa mère, Mathilde Cahun, appartenait à une famille d'intellectuels juifs originaires d'Alsace[1]. Au moment de la naissance de Marcel, la famille Schwob revient d'Égypte où George était chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères[2]. Au début de la IIIe République, les Schwob sont à Tours, où George dirige Le Républicain d'Indre-et-Loire. Il commence à publier des séries de contes, à la limite du poème en prose, où il crée des procédés littéraires qui seront repris par d'autres ultérieurement. André Gide. Pour les articles homonymes, voir Gide.
Œuvres principales André Gide, est un écrivain français, né à Paris 6e le et mort à Paris 7e le [1]. Il écrit, notamment Paludes et, après la mort libératrice de sa mère, épouse sa cousine Madeleine et achève Les Nourritures terrestres, dont le lyrisme est salué par une partie de la critique à sa parution en 1897. Son œuvre trouve ensuite un nouveau souffle avec la découverte des réalités du monde auxquelles il est confronté. Ainsi le voyageur esthète découvre l'Afrique noire et publie en 1927 le journal de son Voyage au Congo, dans lequel il dénonce les pratiques des compagnies concessionnaires mais aussi celles de l'administration et l'attitude de la majorité des Européens à l'égard des colonies. En 1940, accablé par les circonstances, il abandonne la NRF et quasiment l'écriture en se repliant sur la Côte d'Azur, puis en Afrique du Nord durant la guerre. Saint-John Perse. Portrait de 1960.
Œuvres principales En marge des mouvements littéraires de son époque, sa poésie, en prose, est réputée pour son hermétisme, mais aussi pour sa force d’évocation. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1960 « pour l’envolée altière et la richesse imaginative de sa création poétique, qui donne un reflet visionnaire de l’heure présente[1] ». Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et débuts diplomatiques[modifier | modifier le code] Il rencontre assez tôt le poète Francis Jammes, en 1902[9], qui habite alors à Orthez, lequel le présente notamment à Paul Claudel, avec qui il entretient des relations mouvementées.
Carrière diplomatique[modifier | modifier le code] Ayant réussi le concours des consulats en 1914, Alexis Leger est affecté au service de presse du ministre Théophile Delcassé, puis à la Maison de la presse du ministère des Affaires étrangères avant d'être nommé secrétaire de la légation française de Pékin[11] où il reste de 1916 à 1921[12].