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Russologues, soviétologues

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Jean-Jacques Marie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jean-Jacques Marie

Jean-Jacques Marie, né en 1937, est un historien français spécialiste de l'URSS. Biographie[modifier | modifier le code] Il est l'un des principaux animateurs du Centre d'études et de recherches sur les mouvements trotskyste et révolutionnaires internationaux (CERMTRI). Il est un collaborateur régulier de la revue L'Histoire et du magazine La Quinzaine littéraire. Critiques[modifier | modifier le code] Selon le journal Le Monde, son ouvrage La Russie sous Poutine (2016) constitue « une analyse des plus fines et des plus complètes de la Russie postsoviétique[1]. » Nicolas Tenzer. Ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure (Ulm) Diplômé de Sciences Po Paris Maîtrise d'histoire (Paris X) Ancien élève de l'ENA A enseigné la philosophie politique à Sciences Po de 1986 à 2001.

Nicolas Tenzer

Depuis 2014, il enseigne la stratégie publique à la Paris School of International Affairs (Sciences Po) dans le Master International Public Affairs. Enseigne également à l'ENA et est professeur invité dans de nombreuses universités étrangères (Etats-Unis, Canada, Corée du Sud, Maroc, Serbie, etc.) tant sur les sujets de géopolitique et les questions internationales que sur les processus de décision (policy-making process) et la stratégie publique (Public Strategy). A été aussi rapporteur à la Cour des comptes, chef de service au Commissariat général du Plan et chargé de plusieurs missions internationales pour le gouvernement français et l'Union européenne. Nicolas Tenzer taught political philosophy at Sciences Po from 1986 to 2001. Macha Publishing. Cécile Vaissié a-t-elle été condamnée pour son livre sur les réseaux du Kremlin ? Question posée par Laurent B. le 17/06/2019 Bonjour, Votre question a été reformulée, la voici en intégralité : «Est il vrai que C.

Cécile Vaissié a-t-elle été condamnée pour son livre sur les réseaux du Kremlin ?

Vaissié, l’écrivaine du livre les Réseaux du Kremlin en France a été condamnée pour ses écrits ? De quels passages s’agit-il précisément ?» Le Monde note une «relaxe quasi totale pour l’auteure des Réseaux du Kremlin en France». Cécile Vaissié. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cécile Vaissié

Cécile Vaissié est une chercheuse française spécialiste de la Russie. Elle est professeur des universités en études russes et soviétiques à l'Université Rennes-II. Biographie[modifier | modifier le code] Cécile Vaissié obtient un doctorat en 1999 après avoir soutenu une thèse sur les dissidents russes[1]. Cécile Vaissié est directrice du département de russe à l'Université Rennes-II[2]. Elle publie en 2008 Les ingénieurs des âmes en chef. En 2016, elle publie l'ouvrage Les Réseaux du Kremlin en France, qui a un certain retentissement[5]. Alexandra Goujon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alexandra Goujon

Alexandra Goujon (née le 1er juin 1972) est une politologue française spécialiste des pays d'Europe de l'Est et en particulier de la Biélorussie. Biographie[modifier | modifier le code] Après des études en administration économique et sociale à l'université de Tours et à l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne, elle obtient en 1994 une maîtrise de science politique (toujours à l'université Paris-1 Panthéon-Sorbonne), puis - après une année universitaire à Irkoutsk en 1994-1995 - en 1996 un DEA à l'Institut d'études politiques de Paris (études comparées sur la transition démocratique en Europe de l'Est)[1]. Alexandra Goujon est maître de conférences à l'université de Bourgogne[2],[1]. Elle enseigne entre autres : Europe et ses institutions, Études des Partis Politiques, Analyses des politiques nationales.

Sans titre. Sans titre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

sans titre

Françoise Thom. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Françoise Thom

Soviétologie. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(février 2010).

Soviétologie

Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. La soviétologie est un terme qui renvoie à l'historiographie de l'URSS, ainsi que plus généralement à l'ensemble des analyses et des études de ce régime. La soviétologie, traversée par plusieurs courants, ne suit pas la même périodisation selon les pays, du moins jusqu'à 1989. Что пишут в западных учебниках по истории о роли СССР в Великой Отечественной войне. В немецком парламенте российские школьники извиняются за «невинно погибших немцев, взятых в плен под Сталинградом».

Что пишут в западных учебниках по истории о роли СССР в Великой Отечественной войне

В Тульской области малолетки жарят картошку на Вечном огне. В Новороссийске девчонки танцуют тверк (в просторечии - «попотряс») на мемориале защитникам Малой земли. Почему ребята так поступают? La réception de l'Archipel du goulag en France. Bernard Pivot est l'un des premiers à parler d'Alexandre Soljenitsyne en France, il lui a consacré plusieurs émissions, la première dès 1974.

La réception de l'Archipel du goulag en France

Rappelez-vous à l'époque, il y avait des gens qui racontaient qu'il y avait des bagnards, des gens qui mouraient, et d'autres qui leur répondaient, oui mais attendez, l'U.R.S.S. c'est un pays où maintenant on mange à sa faim, qui a lancé Spoutnik, ils ont la bombe atomique, ils ont fait des progrès scientifiques extraordinaires. Astolphe de Custine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Custine. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales et jeunesse[modifier | modifier le code] Il est le second fils d’Armand de Custine et de Delphine de Sabran. La famille est sévèrement affectée par la Révolution : son grand-père, le général révolutionnaire Adam Philippe de Custine, est guillotiné en août 1793 et son père en janvier 1794 ; sa mère reste incarcérée à la prison parisienne de Sainte-Pélagie, puis aux Carmes jusqu'à la chute de Robespierre en juillet 1794.

La disgrâce d’un des amis les plus chers de Delphine de Custine, Joseph Fouché, ministre de la Police de Napoléon, provoque la rupture avec le régime impérial en 1810. La Russie en 1839. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Grâce aux recommandations recueillies avant son voyage et à la renommée de sa famille (son grand-père, Adam Philippe de Custine, et son père ont été guillotinés pendant la Révolution française), Custine a pu rencontrer un certain nombre de hauts personnages, comme le tsar Nicolas Ier et son épouse, mais aussi l'ambassadeur de France, Prosper de Barante, ce qui a permis, outre ses capacités d'observation, de dresser un tableau intéressant de la Russie, encore méconnue en Europe à cette époque.

Alfred Rosmer. Pour les articles homonymes, voir Rosmer. Alfred Rosmer, de son vrai nom Alfred Griot, né en 1877 près de New York et mort en 1964 à Créteil, est un syndicaliste qui s'illustra à La Vie ouvrière (VO), un des fondateurs de la Troisième Internationale, membre du bureau politique du parti communiste-SFIC (futur PCF) entre 1922 et 1924, proche de Trotski à partir de son exclusion en 1924, historien du mouvement ouvrier.

Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et jeunesse[modifier | modifier le code] Max Forrester Eastman. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Max Eastman Max Forrester Eastman (4 janvier 1883 - 25 mars 1969) était un écrivain socialiste américain qui patronna le mouvement de Renaissance de Harlem et sympathisa avec Léon Trotsky avant de devenir anticommuniste à la fin de sa vie. André Gide. Pour les articles homonymes, voir Gide. Œuvres principales André Gide, est un écrivain français, né à Paris 6e le et mort à Paris 7e le [1]. Il écrit, notamment Paludes et, après la mort libératrice de sa mère, épouse sa cousine Madeleine et achève Les Nourritures terrestres, dont le lyrisme est salué par une partie de la critique à sa parution en 1897.

Son œuvre trouve ensuite un nouveau souffle avec la découverte des réalités du monde auxquelles il est confronté. Retour de l'U.R.S.S. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Retour de l'U.R.S.S. est un récit de voyage d'André Gide publié en novembre 1936 aux éditions Gallimard. Gide publie Retouches à mon « Retour de l'U.R.S.S. » en juin 1937 qui se veut une réponse aux critiques et aux injures[1] dont il a été victime à la suite de la parution de Retour de l'U.R.S.S. Contexte[modifier | modifier le code] Au début des années 1930, André Gide s'intéresse au communisme et s'enthousiasme pour l'expérience soviétique. Il est particulièrement actif dans diverses cercles antifascistes[2]. Arrivé le 14 juin 1936 à Moscou, quatre jours avant les funérailles de Maxime Gorki[3], André Gide prononce le 18 juin sur la place Rouge un éloge funèbre de l'écrivain officiel du régime[4].

Boris Souvarine. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(décembre 2008). Armand Robin. Pour les articles homonymes, voir Robin. Caricature publiée vers 1943 Œuvres principales.

Martin Malia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Conquest. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Conquest. David King (graphic designer) - Wikipedia. Зиновьев, Александр Александрович. François Furet. Le Passé d'une illusion. Georges Nivat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Claude Frioux. Vladimir Fédorovski. Sorbonne, Identités, Relations Internationales et Civilisations de l’Europe. François-Xavier Nérard. Marie Mendras. Stéphane Courtois. Nicolas Werth. Le Livre noir du communisme.

Annie Tchernychev. Tatiana KASTOUEVA-JEAN.