Museum-goers Are Big Data’s Latest Targets. Solomon R.
Guggenheim MuseumPhoto: Jean-Christophe Benoist via Wikimedia Commons It would be naïve to consider museums as spaces solely dedicated to anonymous contemplation, art temples one can wander in to converse with masterpieces before slipping out, unnoticed. Still, the level of scrutiny art organizations apply to their visitors might take many by surprise. According to the Wall Street Journal, just like major retailers, museums are increasingly eager to find out as much as possible about their visitors. “I want to be able to know exactly what people have seen, what they love, what they want to see more of, and have the ability to serve it up to them instantly," said Sree Sreenivasan, chief digital officer at the Metropolitan Museum of Art in New York.
Le musée des arts de Dallas récolte les données de ses visiteurs pour booster ses revenus. En recueillant, avec leur accord, des données concernant ses visiteurs, le musée des arts de la ville de Dallas a pu convaincre de nombreux investisseurs de mettre la main au portefeuille en devenant sponsors.
Exemple d’une utilisation futée des données. A l’entrée du musée des arts de Dallas (DMA), une tablette tactile accueille les visiteurs. Comme le rapporte Businessweek, il suffit qu’ils donnent leur nom et leur adresse email pour pouvoir adhérer gratuitement au club des amis du musée. Une carte de partenaire leur est alors remise : pour gagner des badges et des cartes collectors offertes par le musée, ils doivent utiliser le plus possible leur carte dans les locaux. Lorsqu’ils entrent dans une galerie, ils peuvent la valider, indiquer là où ils se sont arrêtés le plus longtemps pendant leur parcours. 2 millions d’enregistrements détaillés Grâce à ce système de recueil de data, le DMA a boosté ses revenus. Lélia de Matharel. European-museums-straining-under-weight-of-popularity. Photo PARIS — One cloudy afternoon this month, the line to enter the Louvre stretched around the entrance pyramid, across one long courtyard and into the next.
Inside the museum, a crowd more than a dozen deep faced the Mona Lisa, most taking cellphone pictures and selfies. Near the “Winged Victory of Samothrace,” Jean-Michel Borda, visiting from Madrid, paused amid the crush. “It’s like the Métro early in the morning,” he said. It is the height of summer, and millions of visitors are flocking to the Louvre — the busiest art museum in the world, with 9.3 million visitors last year — and to other great museums across Europe. Continue reading the main story Seeing masterpieces may be a soul-nourishing cultural rite of passage, but soaring attendance has turned many museums into crowded, sauna-like spaces, forcing institutions to debate how to balance accessibility with art preservation. N'emmenez pas vos enfants au musée, ça ne sert à rien. En plein mois d'août, alors que les parents cherchent à occuper leurs petits, un artiste britannique s'exclame qu'emmener un enfant dans un musée d'art est une perte de temps.
D'où une petite polémique, tout à fait de saison. Initier votre marmaille aux merveilles de l'art contemporain, est-ce une bonne idée ? Certainement pas, si on en croit l'artiste britannique Jake Chapman, "qui juge 'arrogants' les parents qui pensent que leurs enfants peuvent comprendre des artistes aussi complexes que Jackson Pollock et Mark Rothko", relate The Independent. Pour Chapman, imaginer qu'un enfant peut comprendre ces œuvres revient à estimer que, parce qu'elles sont abstraites, simplifiées ou qu'elles relèvent de l'imaginaire, ces œuvres sont comparables à des dessins d'enfant.
Toute personne qui associe la simplicité des tableaux de Matisse à une peinture d'enfant "est pire que l'idiot du village. » Regard sur 25 ans de présence des jeunes au musée. Entre 1989 et 2013, Lucie Daignault, responsable de l’évaluation au Musée de la civilisation de Québec (MCQ), a étudié les habitudes de fréquentation du musée par les 18 à 34 ans en essayant de déterminer leur profil, leurs attentes et les moyens de communication à privilégier pour les joindre efficacement.
Des visiteurs sociaux Les enquêtes effectuées auprès des Québécois âgés de 18 à 34 ans témoignent d’une légère baisse de fréquentation au MCQ. La variation est plus grande chez les 25 à 34 ans que chez les 18 à 24 ans. Pour Lucie Daignault, la forte diminution constatée entre 2000 et 2009 s’explique par le changement de stratégie du Musée, qui a décidé d’orienter sa promotion autour d’une exposition vedette. Après sondage, il est apparu que les jeunes adultes étaient plus sensibles à la publicité soulignant la diversité des thématiques. Depuis les 25 dernières années, les jeunes adultes représentent le groupe d’âge qui fréquente le plus le Musée en compagnie d’amis Source(s)