Des chercheurs mettent au point un drone capable de voler sans batterie. Et si le temps de vol des drones n’était plus une limite ? Aussi incroyable que cela puisse paraître une équipe de chercheurs a réussi à faire voler un drone sans batterie ! SI l’on pose une question à tous les propriétaires de drone, en leur demandant de ne citer qu’un seul problème à améliorer en premier, la grande majorité de ces derniers répondront : l’autonomie.
Il est vrai qu’un très grand nombre de drones a beaucoup de difficulté à passer la barre des 20 minutes, ce qui est assez frustrant pour les amateurs et une vraie contraintes techniques pour certains professionnels. Des chercheurs sont parvenus à régler le problème d’une façon assez insolite, en supprimant la batterie… Vous devez vous dire comment un drone peut-il voler sans batterie ? Optimisé, ce système pourrait être une révolution pour certains usages professionnels et pourrait amener de nombreux débouchés dans le domaine de la surveillance, de la maintenance, dans le cinéma, etc. Source. Yuneec a profité de L’IFA 2016 pour lancer son drone Breeze, spécialiste des selfies. Fans de selfies, vous allez être ravis, la société chinoise Yuneec a pensé à vous et a lancé un drone dédié à ce type de photographie.
Le nom de cette petite merveille : Breeze. Le drone Breeze est donc un nouveau venu dans la grande famille des drones, qui a fait son apparition durant le fameux salon IFA 2016, se tenant à Berlin depuis quelques jours. La spécialité de ce dernier est donc la réalisation de selfies, toutes les personnes qui finissent par avoir des crampes à force de faire des selfies du bout du bras ou avec une perche, trouveront dans ce drone un allié fantastique. De dimensions assez réduites, le drone Breeze de Yunnec ne mesure que 196 x 196 x 65 millimètres et ne pèse que 385 grammes, de quoi le ranger facilement dans un sac et l’emmener partout avec vous. Il dispose d’une portée de 80 mètres, est équipé d’un GPS et peut être piloté très aisément avec un smartphone. Son autonomie est de 12 min environ. Source. GoPro rappelle tous ses drones Karma, la batterie en cause. Alors que DJI a du mal à tenir la cadence sur la production et la livraison des Mavic Pro, GoPro vient d’annoncer un rappel de tous ses Karma vendus.
La cause ? La batterie a cessé de fonctionner sur quelques modèles en plein vol ! Alors que la société va de plus en plus mal en bourse (-20% suite à l’annonce de ses derniers résultats), GoPro joue son avenir sur son drone pour le grand public. Après avoir reçu un bel accueil de la presse et des passionnés, la marque a grincé des dents en découvrant son concurrent chez DJI. Avec ce rappel, c’est une mauvaise nouvelle de plus pour la marque, même si elle déclare qu’aucun accident n’a été à déplorer.
L’action a encore perdu 9% suite à cette annonce, une chose est sûre, il ne reste que peu de temps à GoPro pour redresser la barre. Si le Karma vous intéresse, je vous invite à découvrir cet excellent test d’un YouTuber qui gagne à être connu. On a testé le DJI Mavic Pro, le drone qui change tout. Avec le Mavic Pro, la première surprise survient avant même que l’on ait ouvert l’emballage. Celui-ci paraît bien peu volumineux. Rien ne manque mais tout est plus compact. La télécommande, ramassée, comme le drone, qui ressemble à une sorte de boite articulée à peine plus longue que la main (19,9 cm de long, 8,3 cm de large d’épaisseur) que l’on pourrait presque ranger dans une poche.
Les hélices (bi-pales) sont dissimulées sous des bras solidement reliés au corps de l’appareil et que l’on déploie facilement. Pour DJI, Mavic Pro est le drone qui change tout. Le Mavic Pro ne pèse pas plus de 743 gr, un poids-plume qui lui permet au passage de ne pas être assujetti à l’obligation d’immatriculation et de l’installation de systèmes de reconnaissance prévus par la réglementation qui vient d’être adoptée. ThoroughlyReviewed (CC BY 2.0) Le nouveau drone de DJI se dote de multiples assistances au pilotage.
On a aimé – L’extrême facilité et rapidité de prise en main – La qualité des images en 4K. Intel dévoile son drone Falcon 8+ « Drone » n’est pas le premier mot qui vient à l’esprit lorsque l’on évoque le constructeur Intel, pourtant le géant américain est de plus en plus présent sur ce marché et il vient une nouvelle fois de le prouver en lançant le drone Falcon 8+. Avant d’évoquer le drone Falcon 8+, il est important de mettre en avant l’intérêt d’Intel pour les drones, afin de comprendre que l’entreprise souhaite réellement faire de ce secteur, un vrai levier de croissance. Intel a effectué une prise de participation dans le capital de la firme chinoise Yuneec en août 2015 et on sait aujourd’hui que cette décision a conduit à la sortie du superbe drone Typhoon H de Yuneec, que nous avions découvert lors du CES 2016 de Las Vegas.
Intel a mis au point la technologie Realsense™, qui permet une navigation intelligente des drones en leur donnant la possibilité d’esquiver des obstacles de façon autonome. Ce drone est équipé de huit moteurs capables de propulser l’engin à 57,6 km/h avec une portée de 1 000 mètres. On a testé… Yuneec Breeze, le drone à selfie. Yuneec Petit, facile à s’approprier et capable de réaliser de très belles images. La nouvelle vague de drones doit impérativement répondre à ce cahier des charges.
A l’approche des fêtes de fin d’année, les propositions se multiplient à l’adresse d’un public non averti mais curieux de produire photos et vidéos dans le cadre de ses loisirs à partir d’une caméra volante. Le Breeze de la marque chinoise Yuneec (dont Intel est partenaire) se destine ouvertement à ceux qui privilégient l’usage par rapport à l’objet. Ce quadricoptère proposé à 499 euros ne présente pas une esthétique particulièrement élaborée.
La petite excroissance visible sur le dessus de la carène du Breeze est un module GPS. Au terme d’une opération de calibrage GPS un peu longue, le Breeze décolle automatiquement et se montre assez réactif. En conclusion, cet appareil vaut mieux qu’un simple statut de « drone à selfie ». On a aimé : – La qualité des images – La facilité d’appropriation – La stabilité en vol – La compacité. Le drone GoPro ? Un couteau-suisse. GoPro L’arrivée de GoPro sur le marché des drones de loisirs était attendue avec d’autant plus de curiosité que la marge de manœuvre apparaissait particulièrement ténue. La firme, qui avait bénéficié du boom initial des drones de loisirs en vendant des caméras afin de les installer sur des quadricoptères d’autres marques s’était retrouvée rapidement mise à l’écart. Désormais, les modèles de DJI ou Yuneec font appel à des caméras intégrées, moins chères que celles de GoPro.
Parrot, pour sa part, a toujours préféré intégrer une caméra étrangère à l’univers GoPro. Dévoilé le 19 septembre, avec de longs mois de retard, le Karma devait impérativement s’inventer un terrain sur lequel faire la différence. Le bon karma de GoPro se situe dans son profil de couteau-suisse, et pas seulement parce qu’il peut se plier et se déplier. Conclusion provisoire ; GoPro semble avoir conçu un produit à part, une caméra volante qui peut être utilisée comme une une caméra tout-court. Jean-Michel Normand. Uber croit dans l’avenir du taxi drone. Jusqu’à présent Uber était connu pour son service de véhicules de transport avec chauffeur (VTC), l’entreprise vise également les véhicules autonomes et encore plus révolutionnaire, il envisage aussi de transporter des passagers via des drones taxi. Depuis que la société chinoise Ehang a repoussé les limites de l’imagination en dévoilant un drone capable de transporter une personne, lors du Consumer Electronics Show au mois de janvier dernier, avec son remarquable drone Ehang 184, un nouveau marché semble avoir émergé et de nombreux géants s’engouffrent dans la brèche.
Uber planche sur un drone taxi et estime qu’un service sera disponible dans moins de 10 ans Uber le spécialiste du VTC a fait savoir qu’il était déjà en train de plancher sur un projet de drone taxi autonome, capable de transporter des passagers sur de courts trajets. Vidéo du drone taxi d’Ehang. JT WE – Le drone, un objet volant qui a envahi tous les secteurs. GoPro se diversifie avec Karma, son drone pliable. Par Etienne Froment posté le 20 septembre 2016 GoPro a annoncé ce lundi son premier drone. Unique en son genre, le drone Karma sera en vente dès le 23 octobre et coutera 799$ dans sa version la moins onéreuse.
Un drone qui se plie afin de se ranger facilement dans un sac à dos, et qui se couple avec l’une des caméras du fabricant, c’est potentiellement l’intérêt de cette nouvelle machine. Le drone Karma coutera 1099$ avec un Hero 5 ou 999$ avec un Hero 5 Session, les deux nouveaux modèles de caméras de GoPro. Notons que le drone est aussi adapté aux Hero 4, mais qu’il ne sera pas vendu en bundle avec l’une d’elles. L’originalité ici vient de la conception de l’accessoire, qui permet de glisser une caméra à l’avant du drone et non pas en bandoulière par le dessous afin d’éviter l’apparition d’un rotor dans l’image. Très facile d’utilisation, l’appareil est pliable et peut être transporté aisément. Rémi Lach. Le drone GoPro Karma sera présenté le 19 septembre. Le suspens va donc bientôt prendre fin. GoPro vient d’annoncer que son drone Karma sera présenté officiellement le 19 septembre prochain.
Face à un concurrence accrue dans le domaine des caméras d’action, GoPro tente un peu de se diversifier et s’attaque au marché des drones. Si cela fait quelque temps que GoPro parle de son drone Karma, l’attente commençait à être longue. Si cela fait quelque temps que GoPro parle de son drone, la concurrence a fait son chemin. Les DJI et autres Parrot proposent des drones de différents styles et de différentes tailles, et GoPro devra avoir des éléments innovants pour bien se placer dans ce marché. Si GoPro présente son drone à la mi-septembre légèrement passée, c’est peut-être pour espérer le placer au pied du sapin à la fin de l’année. En attendant, GoPro a publié une très courte vidéo.