Explaining White Privilege to a Broke White Person Years ago some feminist on the Internet told me I was “privileged.”
“THE F&CK!?!?” I said. I came from the kind of poor that people don’t want to believe still exists in this country. Have you ever spent a frigid northern-Illinois winter without heat or running water? I have. This is actually a much nicer trailer setup than the one I grew up in. So when that feminist told me I had “white privilege,” I told her that my white skin didn’t do shit to prevent me from experiencing poverty.
After one reads McIntosh’s powerful essay, it’s impossible to deny that being born with white skin in America affords people certain unearned privileges in life that people of other skin colors simply are not afforded. “I can turn on the television or open to the front page of the paper and see people of my race widely represented.” “When I am told about our national heritage or about ‘civilization,’ I am shown that people of my color made it what it is.” I know now that I am privileged in many ways. 10. Nigga? Please. — Cuepoint. Colonialism. Livre du Samedi: La double absence – Abdelmalek Sayad –
3 jan La double absence : des illusions de l’émigré aux souffrances de l’immigré / Abdelmalek Sayad « Ce livre présente la synthèse de vingt années de recherches, menées en France et en Algérie, sur l’émigration et l’immigration, deux phénomènes qui sont aussi indissociables que le recto et le verso de la même feuille et pourtant très différents en apparence, au point qu’on croit pouvoir comprendre l’un sans connaître l’autre.
Abdelmalek Sayad restitue à l’immigration tout ce qui en fait le sens, c’est-à-dire le non-sens : par des entretiens admirables de délicatesse et de compréhension, il amène les immigrés à livrer le plus profond de leur intimité collective, les contradictions déchirantes dont leur existence déplacée est la conséquence. DISCRIMINATIONS SYSTEMIQUES. Sexisme et racisme se combinent. Par Félicien Breton (mis à jour en février 2014) Patriarcat et racisme se combinent pour placer les hommes « blancs » tout en haut et les femmes racisées tout en bas.
Essayons d’articuler genre, race, colonisation puis religion. Je prendrai beaucoup l’école pour exemple. Sexisme Les filles sont meilleures à l’école mais sont dissuadées de continuer dans les filières les plus nobles (en moyenne). Racisme Les personnes racisées sont discriminées à l’embauche, ce qui pousse certaines à s’exiler. Les races, ça n’existe pas mais la discrimination raciste si. Blanctriarcat On en vient à se déprécier soi-même (si on n’est pas blanc-he).
Blantriarcat (selon le mot de Lalla Kowska Régnier.) La question blanche (Première partie) Ce texte, le premier que j’écris à la première personne, est le résultat d’une sollicitation des Indigènes de la République, pour une intervention à leur « Parlement anticolonialiste » d’octobre 2006.
Après deux « indigènes » noirs et arabes répondant respectivement aux questions « Qu’est-ce qu’être noir dans la France de 2006 ? La question blanche (Deuxième partie) Il y a un mal-être raciste mais il y a aussi un autre mal-être blanc : celui des antiracistes.
Dans la gauche dite antiraciste, je suis en effet tombé sur des gens qui devenaient littéralement malades lorsqu’on les qualifiait de blancs. La question blanche (Troisième partie) La question blanche (Quatrième partie) Première partie : Le mal-être raciste Deuxième partie : Le mal-être anti-raciste Troisième partie : Le privilège blanc Cette condition blanche que je viens d’évoquer, chaque blanc a le « choix » [1] de la vivre sous différents modes, impliquant chacun une forme spécifique de mal-être – surtout lorsque, officiellement, notre système de valeurs se fonde sur la liberté l’égalité et la fraternité.
Trois grandes options sont possibles : l’adhésion, qui consiste à faire corps avec son rôle de blanc, sans la moindre distance, le moindre recul, la moindre réflexivité, et à mépriser tranquillement les non-blancs ; mais alors le mal-être nous rattrapera forcément, sous la forme d’une peur panique, à chaque fois que des non-blancs relèvent la tête et viennent nous rappeler qu’ils existent, qu’ils sont là et qu’ils sont nos égaux. La première possibilité, plutôt rare, est le cynisme : Cette dernière option est à mes yeux la meilleure. Éloge de la traîtrise. De l'urgence d'en finir avec le « racisme anti-blanc. Parler de « racisme anti-blanc » c’est confondre ce qui relève des émotions, de la colère et ce qui a trait aux discriminations.
En d’autres termes, c’est confondre les relations interpersonnelles et les rapports sociaux [1]. Ainsi, si Fatima, Mohammed, ou Fatou traitent Marie et Louis de « sales français » (relation interpersonnelle), le désagrément certain que constitue l’insulte sera mis sur le même plan que le fait que Fatima, Mohammed et Fatou risquent de voir leur CV refoulés en raison de leur couleur de peau, celle-ci signifiant une origine « autre », qu’elle soit réelle ou supposée (rapport social). Par ailleurs, on pourrait réfléchir au fait qu’être anti français, c’est être anti blanc, aux yeux de ceux qui s’émeuvent des ravages dudit « racisme anti-blanc ».
Or dans ce contexte, il ne peut y avoir de commune mesure entre les positions de ceux qui discriminés, peuvent insulter par rage, et ceux qui se retrouvent privilégiés par un rapport social. Panic! at the Disco Counters Westboro Baptist Church Picket With Donation. When members of the Westboro Baptist Church showed up to picket a recent Panic!
At the Disco concert, the rock band countered the protesters' hatred by pledging to donate $1,000 to the Human Rights Campaign. Panic! At the Disco fought hate with their hearts — and wallets — after members of the Westboro Baptist Church picketed the rock band’s Sunday concert in Kansas City, Mo., wielding signs with homophobic messages, Rolling Stone reports. Panic! At the Disco became a target of the WBC after the band’s lead singer, Brendon Urie, revealed he viewed his sexuality as fluid and had “experimented” with “homosexuality and bisexuality.”
Onfray en pleine confusion de genre. Dans sa dernière chronique, Michel Onfray (1) dit avoir découvert «avec stupéfaction les racines très concrètes de la fumeuse théorie du genre popularisée dans les années 90 aux Etats-Unis par la philosophe Judith Butler».
Pour expliquer son effarement, il nous raconte l’histoire de David/Brenda Reimer. Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ? (2014) : le racisme, c’est rigolo. Claude et Marie Verneuil n’ont vraiment pas de chance : trois des quatre filles de ces Français issus d’une vieille famille catholique se sont mariées respectivement un Juif, un Arabe et un Chinois, alors que la quatrième s’apprête à leur présenter Charles, son fiancé ivoirien.
Pour ces provinciaux racistes, la pilule ne passe pas. Alors, pour retrouver le fragile équilibre familial, les trois gendres conspirent vainement pour faire rater le mariage de la cadette. Le « salut » viendra finalement des deux patriarches Verneuil et Koffi (le père de Charles, tout aussi raciste et réactionnaire que son alter ego auvergnat) qui, après avoir sérieusement mis en danger les choses, se rendent compte de leur manque d’ouverture et réussissent à réconcilier les uns et les autres. Dès sa sortie, cette comédie populaire a été acclamée par le public et la critique comme hymne à la tolérance et rapprochée d’un autre film à succès, « Intouchables ». Le racisme, cette valeur triviale et consensuelle.