Chapitre 8 : les facteurs de croissance. I Les déterminants de la croissance La plupart des économistes accordent beaucoup de vertus à la croissance, ce qui amène à s’interroger sur ses principaux déterminants.
Toute production résultant de la combinaison des facteurs de production travail et de capital, il s’agit dans un premier temps de déterminer les contributions respectives de ces deux facteurs à la croissance économique. Chapitre 5 : les fondements de l'échange international. Les produits manufacturés sont prépondérants : la part des échanges de produits manufacturés est croissante sur le long terme dans le total des échanges de biens (74 % en 2004 contre 54 % en 1980) : les machines et matériels de transport représentent le premier poste de ces échanges, mais ce sont les échanges de produits à haute technologie qui progressent le plus rapidement depuis 1980.
A l’inverse, le poids des produits agricoles a baissé de manière continue sur le long terme, tandis que la part des produits minéraux (incluant le pétrole) fluctue selon l’évolution des cours. Chapitre 12 : rentabilité, structure financière, coût du capital. Chapitre 12 : rentabilité, structure financière, coût du capital.
Chapitre 8 : la prévision du BFRE. INTRODUCTION : limite du calcul du BFRE au bilan BFRE = actif circulant d’exploitation – passif circulant d’exploitation Eléments constitutifs : clients, stocks, fournisseurs, TVA, Autres créances et dettes d’exploitations (incluant salaires et charges sociales) On trouve un BFR différent selon le mois.
Le BFR est rarement stable, son calcul par le bilan, à un instant donné manque de pertinence. On utilise un modèle permettant de déterminer un BFR moyen à BFR Normatif (BFR par la méthode des EC) Il repose sur l’existence d’une relation de proportionnalité entre BFRE et CA HT I- la relation entre BFR et CA On raisonnera sur un compte client (les résultats peuvent être transposés sur tous autres éléments constitutif du BFR) A/ analyse de l’évolution du compte client Quelle est la valeur "normale" du solde du compte ?
Il s’agit du besoin de financement du poste clients généré par un CA de 100€/jour Comment cette valeur est-elle obtenue ? Chapitre 5 : la constitution des sociétés. (Aspects juridiques vus en cours de droit) Vous devez être capable d’associer les différentes formes d’entreprises ou de sociétés avec :
Chapitre 3 : imposition des produits dans le cadre des entreprises individuelles et des entreprises soumises à l'IS. I- principe général Tous les produits perçus par une société soumise à l’IS sont normalement imposables selon des règles globalement identiques à celles concernant les BIC.
A noter toutefois que les produits résultant d’opérations non commerciales (revenus fonciers et mobiliers par exemple) constituent des produits imposables à l’IS dans les sociétés commerciales qui y sont soumises, alors que ces mêmes produits sont imposés séparément des BIC dans les entreprises individuelles (catégorie RF ou RCM) II- les subventions reçues par l’entreprise.
Chapitre 8 : coût variable, seuil de rentabilité. Introduction On va aborder, avec le coût variable, une catégorie de coûts qui n’incorporent pas la totalité des charges : les coûts partiels. - Coût variable (Ch 8) - Coût direct (Ch 9) - Coût spécifique (Ch 9) La performance des produits ne sera plus appréciée en termes de résultat, mais en termes de marge, ou contribution.
Le modèle des centres d'analyse. Il s’agit d’une méthode de calcul des coûts complet préconisée par le PCG 1982, ce qui explique sa large diffusion.
Elle manque parfois de pertinence dans le contexte contemporain de bien des organisations. I – Les concepts de base de la méthode Le modèle des centres d’analyse s’articule autour de deux notions/ concepts de base : - une approche « fonctionnelle » des organisations - une distinction entre charges directes et charges indirectes. A/ une approche « fonctionnelle » des organisations Cette approche est adaptée dans le cas : - d’une production peu diversifiée, en grande série. - Dans un environnement technologique et concurrentiel relativement stable.
Dans la méthode des centres d’analyse, on considérera l’entreprise comme un enchaînement de fonctions : - d’approvisionnements (coûts d’achats) - de production (coûts de productions) - d’administration, commercialisation, financement (coûts hors productions) Il s’agit d’une approche « classique » (Taylor, Faylor…) Impôt sur les sociétés : calcul et taux de l'IS. Les bénéfices fiscaux réalisés par la plupart des sociétés commerciales (SARL, SAS, et SA notamment) sont en principe imposables à l’impôt sur les sociétés. L’impôt sur les sociétés au moyen de deux taux : le taux réduit, accessible sous conditions, et le taux normal. La loi de finance pour 2018 a instauré une baisse progressive du taux normal de l’IS pour l’établir à 25% à compter de 2022.
Au titre de chaque exercice, il convient de calculer l’impôt sur les sociétés à payer en fonction des différents taux d’imposition existants et des éventuelles contributions additionnelles. Ce guide vous informe sur les taux d’IS applicables et le calcul de cet impôt. Amortissement linéaire et amortissement dégressif. Le budget de trésorerie - Maxicours. Objectifs : Les difficultés de trésorerie sont une des causes principales de la faillite des entreprises.
Bien prévoir sa trésorerie à l'aide du budget des encaissements et du budget des décaissements permet d'anticiper les éventuels ajustements à effectuer. Quelle est la structure d'un budget de trésorerie ? Quelles sont les modalités d'équilibrage ? 1. Comptabilité TVA : principes et méthodes. Les écritures comptables doivent respecter le principe d'équilibre du débit et du crédit.
Elles peuvent concerner : la comptabilité TVA, la comptabilité des stocks, l'amortissement comptable, les provisions sur charges, les immobilisations, la comptabilité paie. Comptabilité TVA : définition La TVA (taxe sur la valeur ajoutée) est un impôt indirect sur la consommation qui concerne une bonne partie des opérations comptables d'une entreprise. L'entreprise collecte la TVA en jouant un rôle d'intermédiaire entre le consommateur et l'État pour la reverser ensuite à ce dernier. De fait, c'est le consommateur qui paie la TVA.
Comptabilité TVA : collectée, déductible, à payer.