Letemps. La Bolivie, à la conquête de l’Est (fiche géopolitique du pays) – Géopolémique. (rendez-vous à la fin de l’article pour avoir la carte en meilleure qualité).
La Bolivie est un Etat d’Amérique latine indépendant de l’Espagne depuis 1825. Il s’agit d’une République présidentielle dont le dirigeant est le président socialiste d’origine amérindienne Evo Morales, depuis son élection en 2006. Le maillage administratif du pays est organisé en neuf départements, eux-mêmes divisés en provinces comportant des municipalités. Depuis l’élection d’Evo Morales, le pays est membre de l’Alliance bolivarienne pour les Amériques, une organisation inter-gouvernementale créée conjointement par le Venezuela et Cuba dans le but d’une meilleure intégration des pays de l’Amérique latine et des Caraïbes.
La Bolivie est un Etat enclavé au milieu de l’Amérique du Sud. Un pays souffrant de son enclavement 1.1. 1.2. 1.3. La Bolivie est le pays d’Amérique latine détenant les plus grandes réserves en gaz derrière le Venezuela. Brésil 2018 : Desordem e retrocesso (4/4) : Insécurité : la spirale de la violence. Il y a quelques semaines étaient publiés les chiffres d’homicides.
Ainsi en 2017 ont recense près de 63.880 homicides soit un taux d’homicide de 30,8 pour 100.000 habitants (contre 29,9 l’année précédente) : un record tristement historique pour le Brésil. Une campagne électorale marquée par le violence La question de la violence est un sujet central dans la campagne électorale : le favori des sondages, Jair Bolsonaro – candidat d’extrême droite, en a fait l’un de ses sujets de prédilections. Campagne électorale qui a par ailleurs été marquée par la violence, atteignant son paroxysme après l'attaque armée contre Bolsonaro.
Groupes criminels, militaires et responsables politiques générateurs de violence Comment expliquer cette violence ? Une émission préparée par Marguerite Catton. Extraits sonores : - Lancement par le commandant Walter Cruz, chef de la police militaire de Manaus, d’une opération anti-gang (France 24, reportage de Nicolas Ransom et Eudogio Junior, 02 juin 2017) Commerce. L’Aléna est mort, vive l’AEUMC ! L’Accord de libre-échange nord américain, honni par Donald Trump, va laisser la place à l’Accord États-Unis - Mexique - Canada.
Voici les dix points à retenir de ce nouveau traité. Washington et Ottawa ont conclu dimanche soir [30 septembre] un accord révisant l’Accord de libre-échange nord-américain (Aléna) et permettant au Canada de rejoindre le pacte conclu en août entre les États-Unis et le Mexique. L’affaire constitue un évènement pour le président Trump, qui avait promis en 2016 de renégocier ou de mettre fin à l’Aléna. Le nouvel accord, qui doit encore être ratifié par le Congrès des États-Unis, n’entrera probablement pas en vigueur avant l’année prochaine, et Donald Trump va devoir batailler ferme pour le faire passer si les démocrates obtiennent la majorité à la Chambre des représentants ou au Sénat [lors des élections de mi-mandat] en novembre. Alena: que contient le nouvel accord entre États-Unis, Canada et Mexique ? Le Canada et les États-Unis ont annoncé dimanche soir, une demi-heure avant l'expiration de l'ultimatum fixé par Washington, "un accord de principe, de concert avec le Mexique" pour réformer le traité de libre-échange qui lie 500 millions de Nord-Américains depuis un quart de siècle.
Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. OKNe plus afficher × S'adapter au 21° siècle "Le Canada et les États-Unis sont parvenus à un accord de principe, de concert avec le Mexique, sur un nouvel accord commercial moderne et adapté aux réalités du XXIe siècle", ont annoncé la ministre canadienne des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, et le représentant américain au Commerce (USTR), Robert Lighthizer. Créer des emplois "L'accord renforcera la classe moyenne et créera de bons emplois bien rémunérés ainsi que de nouvelles opportunités pour près de 500 millions de personnes qui vivent en Amérique du Nord", ont assuré Mme Freeland et M. Concrètement Un accord in extremis... Au Canada, l’expansion d’un l’oléoduc jugé dangereux pour l’environnement est gelée.
La cour d’appel fédérale canadienne a ordonné, jeudi 30 août, la suspension du projet d’expansion de l’oléoduc controversé Trans Mountain, qui prévoit d’acheminer le pétrole de l’Alberta vers la Colombie-Britannique.
C’est un sérieux revers pour Ottawa, qui a annoncé il y a trois mois sa nationalisation pour un montant de 4,5 milliards de dollars canadiens (2,96 milliards d’euros) afin d’éviter l’abandon du projet. C’est, en revanche, une victoire pour les défenseurs de l’environnement et certains peuples autochtones qui y sont farouchement opposés.
L'immigration aux États-Unis, une question explosive depuis un siècle. La carte des productions et co-productions de Netflix dans le monde.