Le jour où la Solution Finale a été décidée. Le jour où la Solution Finale a été décidée [vendredi 07 septembre 2018] Le 20 janvier 1942, sous la direction de Reinhard Heydrich, n° 2 de la SS, de grands dignitaires nazis se réunissent près de Berlin pour mettre en place l’élimination systématique des Juifs en Europe.
Couverture sombre à dominante rouge, avec en fond un château qui se détache et au premier plan des hommes qui tiennent une réunion. Aucun autre détail ne fait penser au contenu du livre, si ce n’est une croix gammée que l’on devine en bas à droite et surtout les 7 lettres de ce nom tristement célèbre qui se détachent en caractère d’imprimerie sur la couverture : WANNSEE. Une réunion banale pour la plus terrible décision Sont réunis à Wannsee des hauts dignitaires nazis, des bureaucrates de haut rang qui s’occupent de grands ministères Berlinois.
À la lecture de Wannsee, on se rend tout de suite compte que les nazis les plus connus et les plus influents (Hitler, Goering, Himmler, Goebbels) sont absents. Hiroshima après la Bombe. Contexte historique Montrer Hiroshima L’assemblage de Little Boy, son installation dans la soute du B-29 Enola Gay, le décollage de l’appareil, le raid aérien, le largage, l’explosion et ses conséquences : les images du bombardement d’Hiroshima, le 6 août 1945, sont nombreuses.
La Seconde Guerre mondiale vue par le peuple allemand. Comment les Allemands ont perçu et vécu 1939-1945 et ont adhéré au conflit.
Professeur d'histoire à l'université d'Oxford, Nicholas Stargardt a rédigé avec La Guerre allemande un ouvrage majeur dans l'historiographie de la Seconde Guerre mondiale. Unanimement salué par les spécialistes de cette guerre (à l'image de Saül Friedlander ou Ian Kershaw), le travail de Stargardt va au fond des choses pour essayer de comprendre pourquoi et comment les Allemands se sont lancés à corps perdu dans ce conflit qui a causé près de 60 millions de morts et détruit la majeure partie de l'Europe. Son parti pris a été de se plonger dans les archives privées pour en dégager des grandes lignes de forces qui permettent d'appréhender les raisons des violences perpétrées par les troupes germaniques.
Le rôle primordial des lettres et journaux intimes. Seconde guerre mondiale - Ces chansons qui font l'histoire. La Seconde Guerre mondiale en Europe. Les tanks gonflables de la Seconde Guerre mondiale. Afin de tromper les allemands sur la position du débarquement lors de la Seconde Guerre mondiale, l’opération Fortitude a été créée par les alliés pour créer de fausses unités au nord et au sud du Royaume-Uni pour faire croire aux allemands que le débarquement aurait lieux en Norvège ou dans le Pas de Calais.
Ces vrai-fausses unités utilisaient différentes méthodes pour simuler l’activité d’une unité typique comme des transmissions radios, des mouvements, de fausses infrastructures et véhicules. 17 juin 1940 - discours du maréchal Pétain. L'Appel du 18 Juin 1940 : pourquoi ? comment ? Theconversation. Nous vous proposons cet article en partenariat avec RetroNews, le site de presse de la Bibliothèque nationale de France.
Le 23 octobre 1941, partout en France, les quotidiens publient une liste de 48 otages fusillés par les autorités d’occupation allemande. Dans Le Matin : Dans Le Réveil du Nord : Dans Le Petit Parisien : Ces exécutions correspondent à une accélération dramatique de la répression menée par l’occupant allemand et plus spécifiquement à la mise en œuvre de la « politique des otages » [Sur le sujet, voir l’article de Dominique Tantin].
Le 20 octobre, à Nantes, Karl Hotz est exécuté par un commando composé de Gilbert Brustlein et Spartaco Guisco, membres de l’Organisation spéciale de combat (OS) du Parti communiste clandestin. Ce sont finalement 48 otages qui sont exécutés en différents lieux : 27 à Châteaubriant, 16 au champ de tir du Bêle à Nantes et 5 au Mont-Valérien. Un nouvel avis des autorités allemandes est aussitôt diffusé : « C’étaient des soldats. Enseigner la Résistance. Les derniers Compagnons de la Libération. Cliquez pour naviguer Sur les 1 038 Compagnons de la Libération, ils ne sont plus que 10 à être encore en vie, âgés de 96 à 103 ans.
La radicalisation du génocide - Exposition La Shoah par balles - Mémorial de la Shoah. Parallèlement aux massacres qu’ils perpétrèrent dans les territoires occupés, les Einsatzgruppen (unités mobiles d’extermination) suivirent la progression du front et tuèrent de plus en plus systématiquement les Juifs dans l’est de l’Ukraine.
La radicalisation du massacre des Juifs est clairement visible avec les nombreux exemples de tueries, comme dans la région de Zhitomir, où 3 000 Juifs furent assassinés en juillet 1941, environ 10 000 en août et 27 000 en septembre. Dans les régions nouvellement conquises, les massacres furent immédiatement de grande ampleur. En milieu urbain, ils dépassèrent souvent 10 000 victimes comme le triste exemple de Babi Yar (33 000). En Crimée (attribuée à l’Ukraine par Khrouchtchev après la Seconde Guerre mondiale mais république soviétique autonome au moment de l’invasion allemande) vivaient environ 65 000 Juifs. Lorsque les Allemands conquirent la région, début novembre 1941, environ 35 000 Juifs s’étaient réfugiés plus à l’est.
Auschwitz : un laboratoire grandeur nature de l’idéologie nazie. Pour célébrer la date anniversaire de la libération du camp, Arte propose le documentaire “Auschwitz Projekt”, qui révèle qu’Auschwitz ne fut pas seulement un camp de concentration mais un gigantesque complexe avec ses usines, mines et exploitations agricoles, ce qui en fit un laboratoire grandeur nature de l'hubris nazie.
Arbeit macht frei (le travail rend libre). Le monde entier connaît cette devise d'un cynisme démoniaque surplombant le portail d’Auschwitz qui trône au seuil de l’Anus mundi. Pour célébrer comme chaque année la libération du camp, le 27 janvier 1945, Arte propose un documentaire qui prend en quelque sorte de la hauteur face à ces images ultra célèbres, et nous révèle, cartes et plans aériens à l'appui, qu’Auschwitz ne fut pas seulement un lieu destiné à détruire les “races inférieures” et les ennemis du Reich mais, comme l'évoque le titre du film, un “projet” conçu pour donner corps à la dystopie hitlérienne. Un cauchemar industriel Un puzzle concentrationnaire.
Webdocumentaire sur Auschwitz. Anne Frank au pays du Manga - ARTE. Questions fréquentes - Mémorial de la Shoah Mémorial de la Shoah. Les premiers camps d’internements français ouvrirent en mars 1939 afin d’héberger les réfugiés républicains espagnols dans le sud-ouest de la France à Rivesaltes, Récébedou, Noé, Argelès, Gurs par exemple.
Quand la guerre éclata en septembre 1939, beaucoup d’ Espagnols étaient retournés dans leur pays. Dès la déclaration de guerre leur place dans les camps fut rapidement occupée par des étrangers arrêtés par la police au cours d’une action d’envergure nationale pendant les premiers jours de l’état d’urgence. Ces 15 000 étrangers alors enfermés dans les camps français comprenaient des centaines d’éminents réfugiés antinazis. En mai 1940, quand les Allemands entrèrent en France, beaucoup de réfugiés étrangers, hommes et femmes susceptibles d’être ennemis ou d’espionner, furent à nouveau victimes d’ « internements administratifs » dans ces camps du sud-ouest, de la part des autorités françaises. Parmi ces personnes, un grand nombre de Juifs étrangers, notamment allemands et autrichiens. Les centres de mise à mort. Les camps de mise à mort furent construits par les Nazis dans l'unique but de perpétrer des meurtres de masse. Voyages en Résistances.