Youtube. Les conditions d’un “Grexit” La question d’un possible « Grexit » a été à nouveau évoquée lors de la réunion de l’Eurogroupe ce samedi 11 juillet. Il s’apparenterai dans les faits à une expulsion de la Grèce, à moins que son Premier ministre ne consente à présenter sa émission, et ce en dépit d’un vote de confiance massif au Parlement dans la nuit de vendredi à samedi, et en dépit du succès remporté par le « non » au référendum du dimanche 5 juillet.
Les conditions d’une sortie de la Grèce de l’Euro dans l’urgence doivent être étudiées très sérieusement compte tenu des positions de l’Allemagne à l’Eurogroupe. Si le blocage des négociations à l’Eurogroupe persiste, et devant la mauvaise fois désormais évidente de certains interlocuteurs, au nombre desquels il faut compter M. Schäuble, le Ministre allemand des finances ou M. Dijsselbloem, le Président de l’Eurogroupe, on ne peut exclure un « Grexit » dans l’urgence dès le début de la semaine prochaine. La question des réserves de la Banque Centrale. L’Euro-Cauchemard. Le « roman de l’Euro » présenté le jeudi 15 mai au soir a été l’occasion d’une scandaleuse soirée de propagande sur France-2 ! Non que l’on ne puisse parler ni même défendre l’Euro sur cette chaîne, comme sur les autres d’ailleurs. Mais le déséquilibre de l’émission, réalisée à grands frais par le service public et la malhonnêteté de l’argumentation ont passé les bornes.
On a bien été en présence d’un exercice de « Funkpropaganda ». L’histoire de l’Euro nous a donc été présentée comme un « roman ». Mais pour la majorité des Français, mais aussi des Italiens, des Espagnols, des Portugais et des Grecs, il s’agit d’un véritable cauchemar. L’Euro et ce que l’on en attendait L’Euro existe depuis 1999 pour ce qui concerne l’Euro bancaire (ou Euro scriptural) et depuis 2002 pour la monnaie courante, ce que l’on appelle l’Euro fiduciaire. Jusqu’en 2008, soit jusqu’à la crise des subprimes, il a provoqué un fort ralentissement de la croissance sur les pays qui l’ont utilisé. Tableau 1 Tableau 2. La hauteur des symboles.
Un homme âgé de 26 ans s’est jeté jeudi 17 octobre au matin du pont de Rion-Antirion, il relie le Péloponnèse à la Grèce continentale ? C’est le pont avec la deuxième plus grande longueur de tablier haubané au monde après celui du viaduc de Millau. C’est ainsi on dirait que nos suicides prennent ainsi... une certaine hauteur dans les symboles. Un autre homme “mais un immigré”, précise alors une certaine presse, menaçait de se suicider toujours jeudi, cette fois, depuis les hauteurs du RER athénien.
Il a été sauvé et aussitôt mis en état d’arrestation... pour “entrave à la circulation”. Un troisième homme, qui menaçait de ce même acte ultime depuis le toit de l’hôpital KAT mercredi dans la matinée, a été également sauvé. Nous les regardions nous autres passants du jour ainsi que les journalises alors hurler leur injustice, mais inlassablement souriantes. L’essentiel est fait. Y compris pour les initiateurs. Ce qui ne veut pas dire que la “DT”... ne fonctionne pas.
L’enfer grec au JT de France 2. Une fois n’est pas coutume, le JT de France 2 du mardi 17 septembre réservait une place importante à l’information internationale. Il faut dire que l’actualité s’y prêtait, avec une fusillade aux États-Unis et le relèvement du Costa Concordia en Italie : l’occasion pour David Pujadas de dresser le portrait psychologique de l’ancien militaire « violent, paranoïaque mais aussi serviable » qui a tué « 12 personnes avec 3 armes » et de montrer des images « impressionnantes » du cargo italien, reporter sur place à l’appui.
À ces sujets spectaculaires venait s’ajouter une information économique qui ne l’était pas moins : la publication par le Figaro des chiffres de la dette française, prétexte à un grand moment de « pédagogie » journalistique en temps de crise [1]. Il poursuit sur fond d’un compteur qui défile frénétiquement [2] : « Pour prendre la mesure de cette progression, David, il faut regarder le compteur de la dette. Il tourne, jour et nuit, à la vitesse de 3 000 euros par seconde ! ROAR presents: ‘Utopia on the Horizon’ ROAR presents ‘Utopia on the Horizon’, a documentary on the Greek debt crisis and anti-austerity movement, dedicated to those who chose to struggle. Versión en castellano aquí. Ελληνική έκδοση εδώ. In May 2011, hundreds of thousands of Greeks swarmed into Syntagma Square in Athens to protest against the firesale of their country, their labor rights and their livelihoods to corrupt domestic elites and foreign financial interests.
In a matter of days, a protest camp was set up – organized on the principles of direct democracy, leaderless self-management and mutual aid – providing a glimpse of utopia in the midst of a devastating financial, political and social crisis. On June 28-29, during a Parliamentary vote on further austerity measures, the state finally responded with brutal force, eventually evicting the protesters from the square and crushing the radical potential of their social experiment. Follow our page on Facebook! Watch now on YouTube: Directed By: Jérôme Roos Leonidas Oikonomakis.
Même des politiques « non conventionnelles » de la BCE ne sauveraient ni l’euro ni l’Europe. Le 26 juillet dernier, par la voix de son président, Mario Draghi, la Banque centrale européenne (BCE) s’est engagée à « faire tout ce qui est nécessaire pour préserver l’euro ». Le dispositif envisagé, en liaison avec les gouvernements de la zone euro, aurait deux volets : d’une part, la BCE relancerait ses achats de titres de la dette souveraine des pays en difficulté sur le marché secondaire, une politique qualifiée de « non conventionnelle » au regard des dispositions du traité de Maastricht ; d’autre part, le Fonds européen de stabilité financière (FESF) et son successeur, le Mécanisme européen de stabilité (MES) achèteraient directement des titres de la dette souveraine sur le marché primaire.
Comble de la « non conventionnalité », ces fonds de secours pourraient se voir attribuer une licence bancaire et bénéficier ainsi de financements illimités de la BCE. Ce qui reviendrait, pour cette dernière, à financer les Etats défaillants, ce qui est contraire aux traités. I. II. Grèce, sortie de crise, sortie de l'euro, par Costas Lapavitsas. La tempête qui balaie la Grèce résulte en premier lieu de sa décision de rejoindre la zone euro le 1er janvier 2001, un choix qui allait conduire à la dislocation de son économie. Le pays fait en effet les frais du mythe selon lequel l’adoption d’une « monnaie forte » placerait les économies faibles sur un pied d’égalité avec les plus robustes.
On s’aperçoit désormais que de telles politiques finissent par affaiblir les acteurs les plus vulnérables — une logique dont le Portugal, l’Irlande et l’Espagne pourraient bientôt offrir une nouvelle démonstration. Dans ces conditions, Athènes se dirige désormais vers une sortie de l’euro, et l’ensemble des pays de la périphérie européenne pourraient lui emboîter le pas — une procession dont les conséquences sur l’union monétaire ne seront pas anodines puisqu’elle conduira à la réintroduction de mécanismes de pilotage économique que le néolibéralisme avait conduit les Etats à abandonner. Pour la périphérie, il est probablement déjà trop tard. En Grèce, la revanche des rêves, avec Angélique Ionatos, en direct sur Mediapart.
Les actions tentees pour sauver la situation. Les consequences concretes. Les profiteurs. Les dominos. YouTube. CHRONOLOGIE • Euro : Dix-huit mois de tour de vis. Liens vers d'autres pearltrees sur l'€uro(pe) et son avenir.