H&M joue la transparence sur la provenance de ses produits. Depuis le 23 avril 2019, H&M permet à ses clients de connaître la provenance de leurs vêtements.
L’industrie de la mode se responsabilise peu à peu et H&M permet désormais à ses clients de connaître la provenance de leurs habits. Les clients ont maintenant la possibilité de pouvoir scanner n’importe quel produit en magasin, afin de connaître sa provenance. Pour cela, il suffit d'utiliser l'application de l'enseigne et l'appareil photo de son smartphone. Depop Is Gen Z’s Favorite Shopping App. Depop seller Matt Stockert at the app’s downtown New York photo studio.
Photo: David Williams for New York Magazine Luella Roche is 16 years old. She lives in a small town in Ulster County, hangs out with her friends, and just got her learner’s permit. Luella doesn’t get an allowance. She doesn’t need one. Disel signe le Fashion Pact pour préserver la planète. La marque rejoint la liste des signataires du Fashion Pact.
BRANDS PULLING FACTORY ORDERS ARE ‘CRIPPLING BANGLADESH'S APPAREL INDUSTRY’ Fashioning Change: la contrefaçon verte et éthique… En février dernier, INfluencia relayait l’excellente initiative de l’ancien créateur d’Hugo Boss, le Belge Bruno Pieters.
En jouant la carte de la transparence totale sur la provenance et le prix de revient de ses vêtements, sa ligne Honest By - une première mondiale - posait alors les bases de la "Green Fashion" : écolo, durable, sociale, mais aussi digitale! Avec Fashioning Change, une jeune start-up californienne apporte un nouvel outil détonnant au shopping «eco-friendly». Le concept ? Proposer une alternative verte aux modèles populaires du moment. Conçue d’abord comme un site de mode, la plateforme permet à l’e-consommateur consciencieux, de ne pas sacrifier ses goûts esthétiques pour des fringues plus écolos et charitables.
Pour bien comprendre l’intérêt du site, qui dispose également d’une application, prenons exemple sur le cas concret des jupes Peplum, très à la mode en ce moment. Depuis son lancement fin 2011, le site a converti 27 000 personnes aux vêtements éthiques. Les marques de mode et de prêt-à-porter ne séduisent plus. Le secteur de l’habillement est en perte de vitesse, depuis un certain temps déjà.
Entre déficit de repères, stratégies désordonnées et concurrence acérée ou hors contexte, les marques, faute de sens et de personnalité affirmée, ne séduisent plus et ne font plus recette. Pourtant la bataille peut être gagnée car les leviers ne manquent pas. Décryptage à travers 3 macro tendances identifiées par Peclers Paris d’après une étude menée avec Kantar. Dans quel-le état-gère ? Le calembour ne date pas d‘hier. Défiler en mode tech et durable, le must. La mode peut et doit être high tech, durable et responsable.
Dyne en a fait la démonstration avec son défilé loin des standards habituels, lors de la dernière Fashion Week à New York. Less is more ! La Fashion Week de Paris côté Sustainable. Retour sur les initiatives durables repérées lors de la Fashion Week de Paris 2019.
Le développement durable est aujourd’hui l’une des préoccupations majeures de notre société et ce dans la plupart des domaines. La mode n’y échappe évidemment pas. Conscious luxury ou les paradoxes du luxe éthique. Lors de la Paris Fashion Week cet automne, les symboles et inspirations naturelles et éthiques se sont fait visibles : conférences et défilés de Stella McCartney toujours plus pointus dans la recherche de matières, faites de coton biologique, de viscose dite "durable" ou de polyester recyclé, de fausse-fourrure entièrement recyclable… Ou encore chez Dior, qui reconstitue une forêt d’arbres - décor éphémère du défilé – mais qui rejoindront des projets de reboisement.
Nous ne pouvons ignorer l’ambivalence du concept de « luxe », qui est en effet souvent associé à deux pôles de valeurs diamétralement opposées et qui cohabitent dans la vision des consommateurs : un luxe ostentatoire, emblème de tous les excès de la consommation, ou un luxe refuge, ancré dans des valeurs sûres, qui incarne une consommation sélective et durable. Un luxe raisonné est-il possible ? Un engagement qui s’accélère en 2019 Vers quels scenarii possibles ? Rendre les marques de luxe plus éthiques. The G Project affirme avoir une approche différente de celle de ses rivaux.
L’avenir dira si son pari sera gagnant ou non. Le faire, c’est bien mais le faire-savoir, c’est mieux. Et pour ceux qui ont raté le train, le prendre en marche peut encore être possible… The G Project se définit comme un studio créatif éthique dédié aux marques premium responsables. Ses deux fondateurs, Julie Etienne des Rosaies et Thomas Dessoutter, se sont rencontrés chez Les Gens. Mode éthique: le nouvel eldorado des marques? Face à une prise de conscience de sa dimension polluante et des mauvaises conditions de travail imposées dans certaines de ses usines, l’industrie de la mode commence à faire des efforts afin de proposer des produits plus éthiques.
Les initiatives se multiplient et plusieurs marques ont annoncé des projets de développement plus durables et responsables. Même si la pertinence, voire la sincérité de ces démarches, suscite parfois des questions. L’annonce cette semaine de l’arrivée de la marque de Stella McCartney dans le giron du groupe LVMH a secoué le monde de la mode. Après avoir quitté l’année dernière le groupe Kering, dirigé par la famille Pinault, la fille de l’ex-Beatles a décidé de s’associer au conglomérat présidé par Bernard Arnault, principal rival de ses anciens partenaires financiers. D’ailleurs, Bernard Arnault, PDG du leader mondial du luxe, ne cache pas ses motivations derrière cette union. Prise de conscience des jeunes créateurs. La Slow Fashion : la voix de la mode éthique et durable - Aatise. Dans notre dernier article nous vous avons tout dévoilé sur notre modèle de CrowdFashion, qui s’inscrit elle-même dans une démarche de Slow Fashion.
Et au cas où vous ne seriez pas totalement familier avec le terme de Slow Fashion nous sommes là ! Pour vous donner une définition simple et efficace, il s’agit d’un terme qui s’oppose à la Fast Fashion. Pour résumer, un modèle de production qui s’attache à proposer des vêtements alliant qualité, mode et durabilité. Mais pour nous, Slow Fashion rime aussi avec mise en avant des matières premières et de techniques de production, en toute transparence. SloWeAre, le label de confiance de la mode éco‑responsable. SloWeAre, le label de confiance de la mode éco‑responsable.
«Slow fashion»: une autre approche de la mode pour contrer la pollution. Avec la slow fashion, des marques freinent la folie consumériste. Publié le 17 janv. 2019 à 7h00Mis à jour le 9 avr. 2019 à 10h41 “Pourquoi notre marque de vêtements durables ne fera plus jamais de soldes” : avec sa tribune, Julia Faure, cofondatrice de Loom a fait mouche. Elle critique notre société fondée sur les promotions et la guerre des prix, en dépit de la qualité et de l’éthique. “J’ai eu énormément de retours positifs à la suite de cette tribune. Cela montre bien le ras-le-bol de cette ère de la mode jetable”, poursuit la jeune entrepreneuse. Sa marque s’inscrit dans le mouvement de la “slow fashion” qui lutte contre l’obsolescence programmée des vêtements, en utilisant des matières de meilleure qualité. Car après le pétrole, l’industrie textile est la plus polluante au monde. Ces dernières décennies, les grandes enseignes, Zara et H&M pour ne citer qu’elles, ont donné le rythme.
Le “out-of-stock” en vedette. Échos du monde - La Slow Fashion : vers une mode éthique et éco-responsable. Greenpeace Catwalk 2016. This is the third edition of the Detox Catwalk, which assesses the steps taken by fashion brands to fulfil their commitments. This year the focus is on implementation; brands are evaluated from the point of view of their Detox 2020 deadline to eliminate hazardous chemicals, thinking backwards to assess if they have the necessary tools to be fit for 2020. For decades, industrial companies have chosen to use the environment and in particular our waterways as a dumping ground for hazardous chemicals, unhindered by ineffective government regulations. For local communities living near manufacturing facilities water pollution has become a daily reality. Regulations have not always prevented the release of toxic chemicals into the environment, particularly in the Global South, because for persistent, hazardous chemicals, there is no ‘safe’ level.
Hazardous chemicals are commonly used for the manufacture of clothes by many well-known brands. H&M Conscious: Sustainable fashion through recycled clothes. H&M Conscious: Conscious materials. Pourquoi H&M se moque (bien) de nous - Julia Faure - Medium. La mode, c’est imprévisible. En quelques années, les tee-shirts sont devenus de nouveaux espaces d’expression. On est plutôt habitué à ceux du type “le matin c’est trop tôt” ou “madame chiante” (sic). Mais récemment, on est tombé sur un nouveau spécimen, un peu plus revendicatif, sur le site d’une célèbre marque de vêtements : Slow Fashion : la Mode éthique et durable - Portail de la Mode. Home - Fashion Revolution : Fashion Revolution. Dites OUI à la Slow Fashion ! - Laure Derrey. « Slow Fashion »… vous entendez ce terme ici et là mais le concept demeure toujours un mystère ?
Pas de panique, nous vous embarquons pour le décryptage d’un phénomène qui pourrait bien être une révolution. La « Slow Fashion » s’oppose par définition à la « Fast Fashion ». > Une production et une consommation excessives Il fût un temps où les marques de mode calquaient leurs calendriers sur le rythme naturel des saisons en sortant deux collections par an, une automne-hiver et une printemps-été. Aujourd’hui des enseignes telles que Zara ou H&M sortent des nouveautés toutes les 2 semaines et Chanel en est à 10 collections par an !
Les 10 commandements de la slow fashion - Madame Figaro. L’achat compulsif, tu combattras Rien de mieux qu’une overdose de vêtements à prix cassés pour se remettre d’un trop-plein de stress. Et pourtant, si l’on prenait conscience de ce qui se cache derrière une bonne affaire, cette fringale serait vite enrayée. C’est ce qu’a prouvé le mouvement Fashion Revolution avec son distributeur de tee-shirts à 2 euros, installé sur l’Alexanderplatz, à Berlin. Attirés par ce tarif imbattable, nombre de passants ont craqué, déclenchant, en fait, la projection d’une vidéo leur montrant les conditions de travail de celles et ceux qui avaient confectionné ce petit haut apparemment innocent, soit des millions de travailleurs œuvrant seize heures par jour pour 0,13 euro de l’heure.