Transport aérien et mondialisation. La Documentation française a mis en ligne le 9 mai 2016 des cartes issues du dernier numéro de la revue Questions internationales : Le transport aérien : une mondialisation réussie (n°78 mars-avril 2016).
Après le n° 70 consacré aux Grands ports mondiaux, Questions internationales explore les réussites et les perspectives d’avenir du transport aérien. Avec 1,3 milliard de passagers en 2015, sans oublier le fret, le transport aérien est devenu l’un des rouages essentiels de la mondialisation. Son développement a été exponentiel depuis de longues décennies, suivant les avancées technologiques de l’aviation d’un côté, la propension des hommes à se déplacer de l’autre.
Symbole d’une mondialisation discrète et réussie, avec en permanence des milliers d’appareils en vol, contenant des centaines de milliers de voyageurs, leur régulation suppose l’adoption de règles uniformes et des accords entre États. Les six cartes disponibles : Observations économiques sur le trafic aérien mondial - L'économiste. En 2013, le nombre de passagers aériens a franchi la barre symbolique des trois milliards sur l’ensemble des liaisons mondiales.
Le secteur du transport aérien civil profite avant tout du dynamisme économique et démographique des pays en développement qui lui permet d’assurer une croissance de +5% et de doubler le nombre de passagers transportés tous les quinze ans. L’influence réciproque de l’économie mondiale et de la croissance du trafic aérien civil est une réalité étudiée de près par les pouvoirs publics et les industriels du secteur aéronautique. L’aéronautique : 3.5% du P.I.B mondial Le rapport 2012 de l’ATAG (Air Transport Action Group), affirme que le secteur aéronautique représente 3.5% du P.I.B mondial, 56.6 millions d’emplois directs et indirects et que son action génère un impact de près de 2.2 trillions de dollars par an grâce à ses activités directes, indirectes et celles rendues possibles grâce au transport aérien comme le tourisme.
Les aéroports internationaux, facteurs de la mondialisation (Oral HEC 2017) Quelques données générales : les chiffres, les acteurs et l’organisation du trafic passager aérien.
Comment fonctionne Internet ? Internet par satellite : comment ça fonctionne ? Géographie – SECONDE - Cours et ressources utilisées - Thème 1. Production mondiale et circulation des personnes, des biens et des informations Capacités travaillées : - Identifier l’échelle appropriée pour étudier les principaux flux - Décrire le circuit d’un bien de sa conception, à sa réalisation puis à sa consommation à l’échelle mondiale - Compléter le croquis d’un espace portuaire ou aéroportuaire et sa légende - Analyser à l’oral ou à l’écrit les informations essentielles d’un document.
Devoir sur table et travail laissé pour vendredi 10 octobre en raison de l'absence liée au voyage en Auvergne. Absence pour cause de voyage scolaire avec les classes de 4e A et D du 6 au 9 octobre inclus Travail à faire pour vendredi 10 octobre- Titre suivant à marquer : Mondialisation et dynamiques géographiques des territoires Thème 2 – Les dynamiques de la mondialisation (8 - 9 heures) La mondialisation, fonctionnement et territoires Un produit mondialisé - étude de cas: le téléphone portable - Définir acteur transnationaux, FTN puis placer à sa suite le schéma page 253 et FMN - faire l'étude de cas pages 248 à 251 (question et proposer un plan détaillé répondant aux axes suivants avec introduction et conclusion:I) le téléphone portable, un produit mondialisé (usages, conception-production-distribution, permettant la mise en réseau du monde) « Avant, les événements qui se déroulaient dans le monde n’étaient pas liés entre eux.
Polybe, au IIe siècle av. “S’il est un terme que l’on utilise sans jamais le définir, c’est bien celui de mondialisation.” Comment le changement climatique a fait entrer le Groenland dans la mondialisation – Outside. Si l’image d’ours affamés errant sur des terres vides de toute glace a ému le monde entier, Norbert Rouland, juriste et anthropologue, fin connaisseur de la zone où il conduit des expéditions depuis plus de 40 ans, explique que c’est tout le quotidien de la population locale qui est aujourd’hui irrémédiablement modifié.
En ce mois d’août, une petite expédition française du nom d’Unu Mondo – qui se donne pour but d’étudier les effets du réchauffement climatique et la fonte de la banquise – se trouve au sud du Groenland. Elle va en remonter la côte ouest pour se diriger ensuite vers le Canada, empruntant le fameux passage du Nord-Ouest. La région arctique a été ces dernières semaines à nouveau au centre de l’attention, suite à la publication d’une étude scientifique évoquant la disparition d’ici la fin du siècle des ours polaires en raison du réchauffement climatique.
Comment les dérèglements climatiques ont fait entrer le Groenland dans la mondialisation. En ce mois d’août, une petite expédition française du nom d’Unu Mondo – qui se donne pour but d’étudier les effets du réchauffement climatique et la fonte de la banquise – se trouve au sud du Groenland.
Elle va en remonter la côte ouest pour se diriger ensuite vers le Canada, empruntant le fameux passage du Nord-Ouest. La région arctique a été ces dernières semaines à nouveau au centre de l’attention, suite à la publication d’une étude scientifique évoquant la disparition d’ici la fin du siècle des ours polaires en raison du réchauffement climatique. Et l’on se souvient bien sûr de toutes ces photos montrant des ours à la dérive sur une plaque de banquise… Même si ces mammifères sont d’excellents nageurs, les effets des dérèglements climatiques sont incontestables et de mieux en mieux documentés. J’ai pu moi-même le constater lors d’un voyage dans cette zone au mois de juin 2017. « Donnez-moi l’hiver » Une pêche plus abondante, une petite agriculture.
«Panser la crise, penser l’après». La tribune de Dominique Carlac’h (Medef) En mars, le monde s’est soudainement arrêté.
Plus d’un milliard d’individus se sont retrouvés confinés et privés de la liberté d’aller et venir ; les économies, même les plus solides, ont été atteintes de plein fouet et cherchent à remonter la pente ; les systèmes de santé ont dû rivaliser d’ingéniosité face à un afflux imprévu de patients et à une maladie inconnue qui est encore loin d’avoir révélé tous ses dangers. Mais, au-delà de ses effets immédiats, la pandémie a mis en exergue les failles et les fragilités de nos sociétés – politiques, économiques, sociales ou sociétales.
Non, la fin de la mondialisation n'est pas pour demain. La suspension partielle de l'activité mondiale entraînée par le confinement des populations pour arrêter la propagation mortelle du Covid-19 annonce-t-elle la fin de la « mondialisation heureuse » tant vantée au début des années 2000 ?
À l'évidence, dans cette crise sanitaire, les gouvernements ont organisé le confinement et le système de soins dans le cadre national. Mais ce sont eux aussi qui ont fait preuve de légèreté en ne s'étant pas préparés à ce risque, à l'exemple de la France qui manquait de stocks de masques, d'appareils respiratoires, de tests... produits par d'autres pays. Il n'est donc pas surprenant que la notion de « souveraineté » soit revenue au centre des débats. Ce repli national de la gestion de la pandémie aura des conséquences. Pour autant, ce repli souverainiste devra composer avec d'autres tendances.
Suivez La Tribune Partageons les informations économiques, recevez nos newsletters. La mondialisation est la solution pour lutter contre le coronavirus. Temps de lecture: 14 min Alors que se déploie dans toute sa violence la pandémie du Covid-19, la «mondialisation», à en lire plus d'un·e, est la grande responsable de ce qui nous arrive, qu'il s'agisse de la foudroyante rapidité de l'extension du virus, de l'impuissance des États à en arrêter la progression, de l'incapacité du «capitalisme» à produire les équipements médicaux ou de la folie de la spéculation boursière.
Avec pour conséquence logique l'appel répété, avec quelque pathos, à inventer d'urgence le temps d'après, d'après les folies de la mondialisation. L'ampleur du choc que représente le Covid-19 offre une caisse de résonance idéale pour rejouer ainsi une musique en fait déjà ancienne, connue au moins depuis les années 1990 (voire les années… 1890), mais avec un écho incomparable, et donc aussi particulièrement inquiétant. Hubert Védrine en 2006. | Marie-Lan Nguyen via Wikimedia.