Impact de l'image. Prise de parole. Bonheur. Bonheur au travail. A quel moment soutenir un regard devient-il gênant. Encore perdu (AP Photo/Robert F.
Bukaty) Une équipe menée par le psychologue Alan Johnston, spécialiste de la neurobiologie de la vision a présenté les résultats d’une étude en mai à la conférence Vision Sciences Society. Ils ont été publiés sur plusieurs sites, comme Scientific American, en début d’année. L'impact des mots : l'importance des bons choix. « Tu es nul », « quel con », « tu n’arriveras jamais à rien », « je te déteste »… A l’inverse : « tu es génial », « c’est super ce que tu as fait », « bravo », « je suis fier de toi », « je t’aime »… Combien de fois avons-nous entendu ou prononcé ces mots ?
Des phrases qui sont parfois dites sans même les penser mais qui peuvent avoir un impact désastreux ou révélateur pour la personne qui les l’entend. Ces mots qui nous paraissent anodins ou sans conséquence sont riches de sens : ils peuvent détruire ou au contraire aider chacun à se construire et à avancer. Qu’est-ce qui pousse les internautes à partager vos contenus sur le web. On entend régulièrement que l’internaute est en passe de devenir un média à part entière.
Un être au centre de l’attention et des échanges qui régule les flux d’informations qui gravitent autour de lui. Le lâcher prise : un renoncement ou un moyen de se dépasser ? Pourtant, le lâcher prise est attaché au développement de la personne et même au développement spirituel et associer développement et farniente est antinomique.
Si l’homme a besoin de se sentir acteur de sa vie, alors le lâcher prise doit être une action, ce ne peut être un renoncement. Rappelons nous en effet en toute chose que l’homme est sujet à trois phénomènes caractéristiques des organismes vivants : l’activité, le repos et l’évolution. Le processus de sélection dans le langage humain. Un des processus humain dans la construction de notre vision du monde et dans son maintien dans une certaine forme de stabilité est la sélection.
Le processus de distorsion dans le langage humain. Continuons cette semaine notre voyage au pays des processus de constructions linguistiques de notre modèle du monde.
La semaine dernière nous avions vu que le mécanisme de sélection nous permet certes d’éviter que notre cerveau ne grille par accumulation d’informations mais peut aussi considérablement diminuer notre compréhension d’un message. Les interprétations abusives ne sont alors pas loin de nous pourrir la relation. Le processus de généralisation dans le langage humain. Notre voyage en terres linguistiques touche à sa fin.
Après le périple sur le continent des sélections qui nous a permis de récupérer des données essentielles à une écoute la plus objective possible, et les péripéties que nous avons traversées sur le territoire des distorsions qui nous faisaient prendre des vessies pour des lanternes, explorons cette semaine le dernier des processus linguistique dans la construction de notre modèle du monde. J’ai nommé les généralisations. Vous pouvez vous détendre, c’est du beurre en comparaison avec la semaine dernière. Comprendre le point de vue de l'autre. Une équation à plusieurs inconnues Le blog des Rapports Humains.
Après une petite pause dans les publications pour préparer le 200ème article de ce blog, il est grand temps de reprendre la plume (enfin, le clavier) et repartir en quête d’écriture.
Pour l’occasion, je vous propose une petite exclu. en partageant avec vous un nouvel extrait du livre que je suis en train d’écrire. De l'art d'entamer la conversation avec une personne inconnue. Temps de lecture: 5 min Lorsque l'on rencontre une personne pour la première fois et que la conversation patine, quels sujets ou questions permettent de la faire décoller?
On a parfois bien du mal à trouver quelque chose d’intéressant à dire au-delà des banalités d’usage. Boisson et météo La prochaine fois que vous vous trouverez dans cette situation gênante, essayez cette technique éprouvée: «Je vais me resservir; vous voulez boire quelque chose?». Ça ne rate jamais. Notre cerveau ne comprend pas la négation ou comment mieux communiquer pour avoir de meilleurs résultats.Laetitia Autret I Psycho praticienne PNL I Accompagnante en parentalité. Notre cerveau ne comprend pas la négation ou comment mieux communiquer pour avoir de meilleurs résultats.
Qu'est-ce que l'empathie ? C’est un comble chers lecteurs ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre. Depuis lors, cette définition a évolué grâce aux travaux effectués dans différents champs de recherche tels que la philosophie, la psychologie et les neurosciences.
D’après Jean Decety, neurobiologiste, professeur à l’université de Washington, et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle, l’empathie ne peut s’envisager que lorsque la personne fait l’expérience d’une réponse émotionnelle face à l’émotion d’autrui. L'intelligence intuitive - Sixième sens et intuition. Les neurosciences le confirment : ni magie ni don, l’intuition est une forme d’intelligence présente en chacun de nous. Elle se cultive, se travaille et s’aiguise au quotidien. Explications et exercices pour suivre en toute confiance notre « boussole » intérieure. Flavia Mazelin Salvi Sommaire. Trouver son « ikigaï » personnel : la course au bonheur total ?
‘Ikigaï’ (生き甲斐) ? Pyramide des besoins. Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation : la hiérarchie des besoins.
Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi. La confiance en soi - Entrevue avec Josée Jacques, Psychologue. Un manque de confiance en soi peut avoir toute sorte de répercussion dans notre vie.
Le contraire est aussi vrai : les gens qui ont confiance en eux semblent pouvoir accomplir des miracles. Wifi neuronal: éviter la perte d’empathie et les relations pourries. 13 techniques pour ne jamais abandonner. Combattre les comportements « toxiques » Retour Articles. 7 gestes stupides qui flinguent vos relations. Ce qui rend les salariés heureux au travail. Chances de succès. Les 16 types psychologiques "MBTI" Le meilleur conseil de carrière que j'ai reçu.
8 conseils pour rester créatif dans votre travail quotidien. On entend parler de créativité partout mais beaucoup de faux discours circulent sur le sujet. Voici nos 10 conseil pour développer votre créativité. Ce qui nous empêche de prendre des initiatives. J'ai pleuré devant mes boss, que faire? Communication, Psychologie, Sociologie, et autres curiosités illustrées.
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