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Qu'est-ce que l'empathie ?

Qu'est-ce que l'empathie ?
C’est un comble chers lecteurs ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre. Depuis lors, cette définition a évolué grâce aux travaux effectués dans différents champs de recherche tels que la philosophie, la psychologie et les neurosciences. D’après Jean Decety, neurobiologiste, professeur à l’université de Washington, et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle, l’empathie ne peut s’envisager que lorsque la personne fait l’expérience d’une réponse émotionnelle face à l’émotion d’autrui. Pour résumer :

http://www.leblogdesrapportshumains.fr/quest-ce-que-lempathie/

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Faire preuve d’empathie L’empathie est sans doute une des compétences relationnelles les plus délicates à appliquer, car l’ambiguité du terme peut produire des comportements à priori proches, mais non équivalents et dont le résultat est à l’opposé de celui escompté. Commençons donc par quelques éclaircissements. Ne confondons pas empathie avec contagion émotionnelle*. Etre triste parce qu’un proche est triste, c’est faire preuve de sympathie**: c’est très beau, très noble, très valorisé, mais c’est en réalité le reflet de nos propres sentiments dans une telle situation. La confiance en soi - Entrevue avec Josée Jacques, Psychologue Un manque de confiance en soi peut avoir toute sorte de répercussion dans notre vie. Le contraire est aussi vrai : les gens qui ont confiance en eux semblent pouvoir accomplir des miracles. Qu'est-ce qui fait qu'on a ou qu'on n'a pas confiance en nous? Et comment peut-on développer cette confiance? On a demandé à Josée Jacques, psychologue, de nous l'expliquer.

Comment foutre le bordel dans sa tête J’adore ce titre. Il m’est venu alors que je m’intéressais à une théorie connue en psychologie sociale au doux nom de “dissonance cognitive”. La dissonance cognitive, nous la connaissons tous à un moment ou un autre quand nous ressentons un état de tension psychologique inconfortable à l’issue d’un conflit interne entre ce que nous croyons et ce que nous faisons.

Jerome Bruner Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jerome Seymour Bruner, né à New York le 1er octobre 1915, est un psychologue américain, dont le travail porte en particulier sur la psychologie de l'éducation. Il fut l’un des premiers découvreurs de « Pensée et langage » de Lev Vygotski et s’est nourri de Piaget et Meyerson. Les idées de Bruner se fondent sur la catégorisation, ou « comprendre comment l’homme construit son monde », partant du principe que l'homme interprète le monde en termes de ressemblances et différences. Pour Bruner, la médiation sociale lors des conduites d'enseignement-apprentissage (interaction de tutelle) s'exerce sur un mode communicationnel (dialogique). Il introduit deux concepts clefs rendant compte des processus de régulation dans ces interactions de tutelle, celui d'« étayage » et de « format ».

Les pièges de l'empathie Retour nouveau à lire Cet article est dédié aux professionnels: Tous ceux qui ont pour tâche d'aider ou d'accompagner dans un métier de soin (infirmières, aides soignantes, médecins, psychologues, psychothérapeutes, psychiatres, psychanalystes...). Tous ceux qui travaillent dans le social (assistantes sociales, éducateurs...). Tous les professionnels travaillant dans un métier de communication (accueil, management, formation, enseignement...)

Wifi neuronal: éviter la perte d’empathie et les relations pourries Nous avons vu dans l’article Wifi neuronal et compétences relationnelles que nous sommes faits pour être empathiques de par l’existence de nos neurones miroirs. Cependant, mis à mal par la société moderne, ils peineraient à fonctionner normalement et seraient responsables d’une partie des relations pourries… Dans cette vidéo passionnante, le journaliste Patrice Van Eersel simplifie pour nous le mécanisme neurones miroirs/neurones moteurs, générateur de l’empathie indispensable à la relation et à la communication. L’imagerie du cerveau montre que nous entrons en résonance par nos neurones miroirs avec notre entourage, et que c’est comme ça que nous éprouvons de la compassion. Lorsque nous voyons une personne souffrir, nous souffrons aussi, ce qui suscite en nous l’envie d’aider. Pour s’aider soi-même en fait (envolée, l’illusion du merveilleux altruisme).

Cogitez si vous voulez, les décisions sont irrationnelles Même les plus cartésiens d’entre nous prennent leurs décisions... un petit peu au hasard ! Le neurobiologiste Thomas Boraud nous explique pourquoi, dans ce billet qui figure aussi dans notre Top 10 des contenus les plus lus cette année. Une fois par mois, retrouvez sur notre site les Inédits du CNRS, des analyses scientifiques originales publiées en partenariat avec Libération. David Reimer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. David Reimer, né le 22 août 1965 à Winnipeg, dans le Manitoba, et mort le 5 mai 2004, est un Canadien connu pour avoir subi une réattribution sexuelle sans son consentement. À la suite d'une circoncision ratée visant à combattre un phimosis, il subit une pénectomie à l'âge de 8 mois[1]. À la suite de cela, sur les recommandations du psychologue et sexologue néo-zélandais John Money, un pionnier dans le domaine du développement sexuel et de l'identité de genre, ses parents lui firent retirer les testicules à l'âge de 22 mois et l'élevèrent ensuite en tant que fille, sous le prénom de Brenda[1]. Il suivit des séances régulières avec le docteur Money, qui voulait faire de cette réattribution sexuelle, pourtant forcée et incomplète, la preuve que l'identité sexuelle est essentiellement due à l'éducation et en parlait comme d'une réussite.

30 traits de caractère d’un empathe Être quelqu’un d’empathique, c’est lorsque vous êtes influencé par les énergies des autres, et que vous avez une capacité innée à sentir intuitivement et à percevoir les autres. Votre vie est inconsciemment influencée par les désirs, les souhaits, les pensées et les humeurs des autres. Être empathique, c’est beaucoup plus que d’être sensible et ça ne se limite pas à des émotions. Les empathiques peuvent percevoir les sensibilités physiques et les impulsions spirituelles, tout en sachant les motivations et les intentions des autres personnes. Soit vous êtes empathique, soit vous ne l’êtes pas. L'impact des mots : l'importance des bons choix « Tu es nul », « quel con », « tu n’arriveras jamais à rien », « je te déteste »… A l’inverse : « tu es génial », « c’est super ce que tu as fait », « bravo », « je suis fier de toi », « je t’aime »… Combien de fois avons-nous entendu ou prononcé ces mots ? Des phrases qui sont parfois dites sans même les penser mais qui peuvent avoir un impact désastreux ou révélateur pour la personne qui les l’entend.

Les meilleurs leaders se reconnaissent à leur humilité Chroniques d’experts Leadership Le 05/11/2014 Dans un marché mondialisé, où les problèmes gagnent sans cesse en complexité, personne ne saurait avoir toutes les réponses. C’est pourquoi l’humilité fait partie des traits de personnalité dont Lazlo Bock, vice-président directeur des ressources humaines chez Google, est à l’affût lorsqu’il recrute des cadres dirigeants. « Il ne s’agit pas seulement de faire preuve de modestie en laissant de l’espace aux autres et en cherchant à régler les problèmes collectivement, précise-t-il ; je recherche une forme d’humilité intellectuelle.

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