L’indépendantiste catalan Carles Puigdemont rompt avec son parti sur fond de divergences stratégiques. Carles Puigdemont, président indépendantiste de la région de Catalogne lors de la tentative de sécession de 2017, a annoncé, lundi 31 août, sa rupture avec son ancienne formation politique, le Parti démocrate européen catalan (PDeCAT), sur fond de divergences stratégiques au sein du mouvement séparatiste.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi En Catalogne, rupture au sein de la coalition indépendantiste sur la stratégie à suivre face à Pedro Sanchez Sur son compte Twitter, le dirigeant séparatiste, qui s’est réfugié en Belgique en 2017 pour échapper aux poursuites de la justice espagnole, a annoncé « [sa] décision de rendre [sa] carte » du PDeCAT. D’autres dirigeants du parti ont suivi l’exemple de M. Puigdemont. Acabo de comunicar a David Bonvehí, president del Pdecat, la meva decisió de donar-me de baixa del partit que presi… KRLS (@Carles Puigdemont) Cette rupture intervient après de nombreuses tensions entre M.
En Catalogne, le nouveau président nomme des prisonniers et des exilés dans son gouvernement. Tout juste élu, Quim Torra a formé samedi un gouvernement régional comprenant deux anciens ministres emprisonnés et deux autres exilés depuis la tentative de sécession d’avec l’Espagne.
L’indépendantiste Quim Torra, investi lundi 14 mai, a publié un décret nommant les membres du nouvel exécutif catalan, mais la formation de ce gouvernement pourrait être bloquée par Madrid. Le gouvernement espagnol conserve en effet la tutelle sur cette région, imposée le 27 octobre 2017 lors d’une déclaration d’indépendance restée sans suite, et a mis en doute la légalité d’une prise de fonctions de ministres incarcérés en Espagne ou en fuite à l’étranger. Deux prisonniers et deux exilés au gouvernement Sur les quatorze « conseillers » du gouvernement régional, deux, Jordi Turull et Josep Rull, sont en détention préventive près de Madrid.
Puigdemont renonce à la présidence de la Catalogne mais désigne son successeur. Près de cinq mois après le scrutin du 21 décembre, la candidature de l’indépendantiste Quim Torra ouvre la voie à la formation d’un gouvernement régional.
Le Monde.fr avec AFP | 10.05.2018 à 20h53 • Mis à jour le 11.05.2018 à 07h26 | Par Sandrine Morel (Madrid, correspondance) Carles Puigdemont a renoncé à redevenir président de la Catalogne. Jeudi 10 mai, le dirigeant indépendantiste, destitué par le gouvernement espagnol fin octobre 2017, a annoncé depuis Berlin – où il se trouve dans l’attente de la résolution du mandat d’arrêt européen émis contre lui par Madrid pour « rébellion » –, que son groupe présentera dans les prochains jours, devant le Parlement catalan, la candidature à la présidence de Quim Torra, éditeur et ancien président de l’association Omnium cultural.
Quim Torra, député néophyte de la liste Ensemble pour la Catalogne (JxC), proche de M. Quim Torra, un nationaliste radical Ces derniers jours, M. Déblocage Il a en outre précisé qu’il s’agit d’une « période provisoire ». Nous, non-violent.e.s dans le cortège de tête... Catalogne : Puigdemont « exige » la restauration de son gouvernement. Dans un message enregistré à Bruxelles, où il est exilé, le président catalan destitué enjoint à Mariano Rajoy d’accepter la victoire des séparatistes aux législatives.
Se présentant toujours comme le dirigeant « légitime » de la Catalogne, il s’est adressé aux habitants de la région autonome depuis Bruxelles, où il est exilé. L’indépendantiste catalan Carles Puigdemont a exigé samedi 30 décembre, dans ses vœux pour 2018 au « peuple » catalan, une négociation politique et la restauration par Madrid de son gouvernement, destitué après la déclaration d’indépendance du 27 octobre. « Comme président, j’exige du gouvernement espagnol et de ceux qui le soutiennent (...) qu’ils restaurent tous ceux qu’ils ont destitué sans l’autorisation des Catalans », déclare Carles Puigdemont dans un discours enregistré dans la capitale belge, dans lequel il demande aussi à Madrid de commencer à « négocier politiquement ». « Peuple démocratiquement mature » « Les urnes ont parlé (
. . . ) « Absurde » M. Catalogne : les leçons paradoxales d'un scrutin. Au lendemain des élections régionales en Catalogne du 21 décembre, la vie politique semble avoir accompli une complète révolution, au sens astronomique du terme, c’est-à-dire un retour à la situation issue des urnes en septembre 2015 : une majorité de sièges indépendantistes au Parlament, mais une majorité de voix unionistes.
La constance de ce résultat rappelle, à ceux qui considéraient l’indépendantisme comme une fièvre passagère attisée par des responsables politiques incendiaires, la profondeur de la crise catalane. Pourtant, des choses ont changé. Le bloc indépendantiste a résisté D’abord, l’État espagnol s’est montré plus fort que ne l’attendaient les indépendantistes avec son opposition à toute forme de dialogue hors du cadre constitutionnel de 1978 et l’application sans grand remous de l’article 155 qui prévoit une mise sous tutelle de la Généralité de Catalogne. Les indépendantistes catalans emportent la majorité. Catalogne : pas de coalition pour les principaux partis séparatistes. Leur incapacité à former une liste commune pour le scrutin du 21 décembre réduit leurs chances d’obtenir une majorité au Parlement régional.
Le Parti démocrate (Pdecat) du président destitué de Catalogne, Carles Puigdemont, et la Gauche républicaine de Catalogne (ERC) ont échoué, mardi soir 7 novembre, à constituer un front uni pour les élections régionales anticipées du 21 décembre. Leur incapacité à s’entendre risque de compliquer leur campagne électorale et de réduire leurs chances de retrouver une majorité dans le futur Parlement régional. « Il a été impossible de former une liste commune et nous devrons par conséquent créer un front commun à partir de différentes candidatures », a annoncé Sergi Sabria, député ERC, dans un communiqué, à l’expiration du délai légal fixé pour la constitution de coalitions électorales. Catalogne : Carles Puigdemont s’est rendu à la justice belge, qui l’a placé en garde à vue. Le président catalan démis, accompagné de quatre de ses ministres, sera présenté à un juge dimanche.
Le président catalan destitué, Carles Puigdemont, et ses quatre conseillers, sous le coup d’un mandat d’arrêt européen, se sont rendus dimanche 5 novembre à la police belge. Selon le porte-parole du parquet de Bruxelles, Gilles Dejemeppe, les avocats des cinq Catalans étaient convenus d’un rendez-vous au commissariat, que Carles Puigdemont et ses ministres ont honoré. « Ils ont été placés en garde à vue à 9 h 17 », a précisé M. Dejemeppe lors d’une conférence de presse. Un juge d’instruction va être saisi et aura vingt-quatre heures, jusqu’à lundi à 9 h 17, pour décider de les placer en détention, ou bien de les libérer sous condition ou caution. « Les cinq personnes seront entendues dans le courant de l’après-midi par une juge d’instruction », a déclaré un porte-parole du parquet fédéral.
Lire sur le sujet : Tout comprendre au mandat d’arrêt européen lancé contre Carles Puigdemont. Catalogne : Puigdemont, sous le coup d’un mandat d’arrêt européen, disposé à être candidat. Le président déchu de l’exécutif catalan a dit, vendredi, qu’il n’avait pas l’intention de fuir la justice et qu’il entendait se présenter aux élections régionales du 21 décembre.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sandrine Morel (Madrid, correspondance) Le président démis de la Catalogne, Carles Puigdemont, est « disposé à être candidat » aux élections régionales du 21 décembre et à faire campagne depuis l’étranger, a-t-il expliqué, vendredi 3 novembre au soir, sur la chaîne belge RTBF. Au même moment, la justice espagnole lançait des mandats d’arrêt européens à son encontre et celle de quatre de ses anciens ministres régionaux, qui ont fui en Belgique.
Catalogne: Défendre l’État de droit dans l’Union européenne. Cher président Juncker, cher président Tusk, Nous sommes des universitaires, des politiciens, des intellectuels et des députés européens qui vous écrivons avec cette inquiétude : L’Union européenne a proclamé comme un principe général que ses États membres doivent respecter l’État de droit et l’ensemble des droits fondamentaux (articles 2 et 6 du traité de Lisbonne).
La direction de l’UE a été un protecteur inébranlable de ces normes fondamentales, récemment encore en s’opposant à la tentative du gouvernement polonais de réduire l’indépendance des juges ainsi qu’aux actions du gouvernement hongrois pour réduire les libertés des médias et de la société civile. Dans la fonction publique catalane, malgré la mise sous tutelle, « tout est comme avant » Alors que l’article 155 de la Constitution espagnole s’applique depuis lundi en Catalogne, aucun acte de désobéissance n’a été relevé parmi les fonctionnaires.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Eléa Pommiers (Envoyée spéciale à Barcelone) Cinq jours après sa proclamation au Parlement catalan, la République indépendante semble n’avoir été qu’un mirage en Catalogne. Alors que les organisations indépendantistes comme l’Assemblée nationale catalane (ANC) avaient appelé les fonctionnaires à la résistance passive face à la tutelle de Madrid, « tout est absolument normal en Catalogne » où la mise en application de l’article 155 « s’est déroulée sans aucun problème », a assuré, mardi 31 octobre, une source du gouvernement espagnol à Barcelone.
L'arène nue: «La République catalane n'a pas été proclamée», Antoine de Laporte. Antoine de Laporte est un observateur de longue date et un fin connaisseur de la politique espagnole. Il revient aujourd'hui pour L'arène nue sur la déclaration d'indépendance de la Catalogne, la mise sous tutelle de la région par Madrid, la fuite rocambolesque de Carles Puigdemont à Bruxelles et sur la manière dont les différents partis, indépendantistes et unionistes, préparent les élections du 21 décembre.
Depuis la Belgique où il se trouve actuellement, Carles Puigdemont a affirmé qu'il reconnaîtrait le résultat des élections du 21 décembre, pourtant souhaitées par Madrid. Alors, c'en est déjà fini de l'indépendance de la Catalogne ? Et si les indépendantistes les gagnent ? Les deux principaux partis indépendantistes, le Parti démocrate européen catalan (PDeCAT, centre droit) et la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), affirment qu'ils se présentent au scrutin pour défendre la République, mais c'est une stratégie politique et sémantique. Quid des autres formations politiques ? Carles Puigdemont n’entend pas demander l’asile politique en Belgique, mais y reste par « sécurité »
Le président de la Catalogne déchu a assuré, à Bruxelles, accepter le « défi démocratique » des élections régionales convoquées le 21 décembre. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, bureau européen) Carles Puigdemont était donc bien à Bruxelles : mettant un terme à vingt-quatre heures d’incertitude et de rumeurs, il est apparu sur le coup de 13 heures, mardi 31 octobre, pour une conférence de presse dans le quartier européen, à un jet de pierre des institutions de l’Union — où tout le monde s’est bien gardé de le recevoir. Lire : Carles Puigdemont reconnaîtra le résultat des élections du 21 décembre Le président de la Catalogne démis a en revanche attiré des dizaines de journalistes et a déclenché un véritable chaos médiatique dans la petite salle du Press Club, louée à la va-vite par ses sympathisants au Parlement européen.
Prenant la parole en catalan, en espagnol, en anglais et en français, M. Theconversation. La crise catalane est l’expression d’un malaise espagnol profond que le vieux système de partis hérité de la transition démocratique ne sait pas gérer. Cette expression qui prit, il y a dix ans, la forme de l’indépendantisme est propre à une région qui, depuis un siècle, a cultivé des pratiques politiques singulières, si souvent inconnues des autres Espagnols. Là, la question nationale est centrale, structurée depuis les années 1920 par une tension entre autonomisme et indépendantisme.
Là, la société civile, forte et organisée, impose le calendrier politique que les forces politiques tentent maladroitement de suivre. Par delà cette singularité, les questions de fond que pose le catalanisme concernent tous les Espagnols et nombreux sont ceux qui, d’un bout à l’autre de la péninsule, ont le courage de le reconnaître. La question sociale. Catalogne : Puigdemont n’accepte pas sa destitution, appelle à « s’opposer » à Madrid. Le président catalan ne s’était pas exprimé depuis l’annonce de sa destitution vendredi soir, décidée par Madrid.
Le bras de fer entre Madrid et Carles Puigdemont se poursuit. Samedi 28 octobre, malgré sa destitution la veille par le gouvernement espagnol, le président catalan a appelé ses concitoyens à mener « une opposition démocratique » à la prise de contrôle directe de la Catalogne par l’administration centrale madrilène. M. Puigdemont ne s’était pas exprimé depuis l’annonce de sa destitution, décidée vendredi, dans la foulée de la déclaration d’indépendance proclamée par le Parlement catalan. « Nous continuerons à œuvrer pour construire un pays libre », a-t-il assuré dans un court discours télévisé, enregistré à l’avance et diffusé samedi en début d’après-midi. La Catalogne sous contrôle. 6 octobre 1934: cette si brève indépendance catalane. La demi-heure où l’Espagne a basculé dans l’inconnu. Catalogne : la déclaration d’indépendance suscite des réactions internationales. La France, l’Allemagne et les Etats-Unis ont manifesté, dès vendredi, leur soutien au gouvernement de Mariano Rajoy et à l’unité de l’Espagne.
La communauté internationale a clairement choisi le camp de Mariano Rajoy, après le vote, vendredi 27 octobre, au parlement catalan d’une résolution déclarant l’indépendance de la région. A commencer par la France. Emmanuel Macron a ainsi affirmé son « plein soutien » au premier ministre espagnol pour « faire respecter » l’Etat de droit en Espagne. La France « ne reconnaît pas la déclaration d’indépendance que le parlement catalan vient d’adopter », a ajouté le ministre français des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian. « J’ai un interlocuteur en Espagne, c’est le premier ministre Rajoy […] Il y a un Etat de droit en Espagne, avec des règles constitutionnelles.
Il veut les faire respecter et il a mon plein soutien », a-t-il dit, interrogé par des journalistes au deuxième jour de sa visite en Guyane. Le Parlement catalan engage un « processus constituant » pour se séparer de l’Espagne. Catalogne: les indépendantistes frôlent l’éclatement. Le président catalan refuse de convoquer des élections et laisse le Parlement trancher.
Très attendu, M. Puigdemont a déclaré jeudi qu’il ne convoquerait pas d’élections anticipées faute de garanties suffisantes du gouvernement espagnol. Barcelone va faire appel de l’application de l’article 155 de la Constitution. L’exécutif catalan mise sur la voie judiciaire pour tenter de suspendre la décision de mise sous tutelle de sa région, qui doit être entérinée vendredi par le Sénat espagnol. Catalogne : les questions qui se posent à l’aube d’une semaine décisive. Catalogne : face aux mesures de tutelle, les options des indépendantistes. Crise catalane : Madrid prend le contrôle de TV3, la chaîne publique pro-indépendantiste. La télévision et la radio catalanes sont dénoncées pour leur soutien aux discours séparatistes. Espagne: Rajoy entend reprendre tout le contrôle de la Catalogne. Mise sous tutelle, élections anticipées : Rajoy va dévoiler son plan pour la Catalogne.
Le président du gouvernement espagnol va présenter ce samedi les modalités de prise de contrôle temporaire de la région qui réclame son indépendance. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le. Démonstration de force des indépendantistes catalans dans les rues de Barcelone. Mariano Rajoy a annoncé la destitution de l’exécutif catalan et la convocation d’élections régionales dans les six mois. Mise sous tutelle, élections anticipées : Rajoy va dévoiler son plan pour la Catalogne. Catalogne: les dangers de la guerre économique de Mariano Rajoy - Page 4. Catalogne: Madrid prend le risque d’activer samedi l’article 155. Catalogne: ultimes manœuvres pour éviter la mise sous tutelle - Page 2. Catalogne : Puigdemont ne clarifie pas sa position sur l’indépendance. A Barcelone, «rien ne sera plus comme avant» «Puigdemont est comme Tsipras, il a cédé au chantage» La Catalogne met de l’eau dans son indépendance.
A Barcelone, le Parlement signe l’indépendance de la Catalogne, mais suspend sa mise en œuvre. En Catalogne, les indépendantistes partagés sur le rythme de la sécession. Les uns veulent aller vite pour proclamer l’indépendance alors que les autres temporisent pour ne pas aggraver la crise ouverte avec Madrid. Catalogne : démonstration de force des opposants au référendum, à Barcelone. Catalogne : Puigdemont intervient mardi devant le Parlement.
Catalogne : Rajoy pourrait suspendre l’autonomie de la région, les anti-indépendance manifestent. Catalogne : l'indépendantisme est aussi une mobilisation de gauche. Catalogne: l'UE soutient Madrid et isole Barcelone. Catalogne : la justice espagnole suspend la session du Parlement sur l’indépendance prévue lundi. Catalogne: quel avenir pour la dette publique espagnole? Le roi d’Espagne dénonce la « déloyauté inadmissible » du gouvernement catalan. Catalogne : un certain flou subsiste sur la proclamation d’indépendance. Bruxelles appelle l’Espagne à mettre fin aux violences en Catalogne – EURACTIV.fr. Le « 1-O » et ses violences fragilisent Rajoy. Un scrutin marqué par la brutalité policière. Referendum sur l’indépendance en Catalogne : récit d’une journée de vote et d’affrontements.
Référendum sur l’indépendance en Catalogne : le oui l’emporte dans un climat de violence. Dossier. La Catalogne en quête d’indépendance. Tension maximale en Catalogne, dans l’attente du référendum interdit. La grande angoisse de la majorité silencieuse opposée à la sécession. La galaxie indépendantiste de Catalogne. Catalogne : un vote coûte que coûte, malgré les entraves imposées par Madrid. Catalogne : comprendre les enjeux du référendum sur l’indépendance. Référendum catalan : à Bruxelles, les efforts de Barcelone ne payent pas. En Espagne, l’offensive judiciaire de Madrid ressoude les partisans d’un référendum en Catalogne. Les autorités espagnoles multiplient les mises en garde avant le référendum catalan du 1er octobre. Le président du gouvernement de Catalogne annonce un référendum pour le 1er octobre. Catalogne : la condamnation d'Artur Mas ou les limites de la stratégie de Madrid.
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