Singularité technologique. Au-delà de ce point, le progrès ne serait plus l’œuvre que d’intelligences artificielles, ou « supraintelligence » qui s’auto-amélioreraient, de nouvelles générations de plus en plus intelligentes apparaissant de plus en plus rapidement, créant une « explosion d'intelligence » créant finalement une puissante superintelligence qui dépasserait qualitativement de loin l'intelligence humaine[1],[2],[3].
Le risque serait que l'humanité perde le contrôle de son destin[4]. L'auteur de science fiction Vernor Vinge est même convaincu, dans son essai La venue de la singularité technologique, que la singularité signifierait la fin de l'ère humaine[3], la nouvelle superintelligence continuant de s'améliorer et d'évoluer technologiquement à une vitesse incompréhensible pour les humains[5]. Cette notion de singularité technologique aurait été envisagée par John von Neumann dès les années 1950[6] et ses conséquences ont été débattues dans les années 1960 par I.
J. Conférence Jacques Attali. La lovotique : vers des machines reconnaissant les émotions ? La lovotique : vers des machines reconnaissant les émotions ?
Sommaire Introduction I) Approche générale de la lovotique 1- Définition de la lovotique. L’attention, un bien précieux. Films, livres, sites web...
Jamais le public n'avait été autant submergé de propositions. Résultat : capter son attention est devenu un enjeu central de l'économie. Le chercheur Yves Citton nous parle de ce phénomène aux conséquences inattendues. Bleu Blanc Zèbre - “Aux Actes citoyens !” Êtes-vous prêt pour l'Internet des objets? Douze technologies de rupture avant 2025. Retourner à la liste des veilles Le défi des données volumineuses touche le tiers des technologies de demain L’avenir ne nous est pas inconnu : il s’inscrit dans le prolongement de ce que nous vivons et pouvons observer aujourd’hui.
Encore faut-il réaliser les bonnes connexions… C’est ce que s’évertue à faire le McKinsey Global Institute en publiant « Disruptive technologies: Advances that will transform life, business, and the global economy », où 12 technologies sont présentées comme ayant potentiellement le plus d’impact sur l’économie : de 14 à 33 billions (mille milliards) de dollars par année jusqu’en 2025, en prenant en compte les effets sur la consommation, l’environnement et la santé. Toutes ces technologies ne présentent pas le même impact potentiel sur l’économie ; les voici classées par ordre d’importance décroissant, selon la valeur en dollars qu’elles sont capables de créer : Technologie et société Car l’avenir est en évolution, pas en révolution. Sources. Les 10 compétences qui seront nécessaires en 2020 selon l'IFTF. Les déconnectés volontaires. Mails, SMS, tweets...
Face au flux continu issu des technologies de la communication, certains pratiquent la déconnexion volontaire. Ce nouveau comportement a fait l'objet d'une étude pilotée par le sociologue Francis Jauréguiberry. Avalanche de mails et de SMS à traiter en urgence, appels intempestifs et chronophages, crainte diffuse d’être surveillé et géolocalisé à son insu, risques d’addiction… Après le formidable engouement pour les technologies de l’information et de la communication (TIC), la magie est en train de retomber. L’Homo connexus cherche aujourd’hui à prendre de la distance et à remettre les outils numériques à leur juste place. Comble du comble, ce sont les hyperconnectés de la Silicon Valley qui les premiers ont sauté le pas. La pause numérique, un phénomène en plein essor. Pour une économie posistive Jacques ATTALI. Yann Moulier Boutang : « L’usine du futur, c’est l’université »
Pour Yann Moulier Boutang, nous sommes tous des abeilles.
Et chaque jour, nous pollinisons des millions de plates-formes numériques, produisant ainsi de l’intelligence, de l’information et des interactions qui constituent le cœur de la nouvelle économie. Dans le cadre du dossier de son nouveau numéro, consacré à l’avenir du capitalisme, Usbek & Rica se devait donc de rencontrer cet économiste proche du philosophe italien Toni Negri.
« Ne dites pas à mes chaussures que je suis humain… elles croient que je suis un smartphone » (L'Internet des Objets expliqué à mes vieux parents) L’Internet des Objets fut la star du Web’12, ou du Consumer Electronics Show 2013 ; dont les portes se sont refermées récemment, à Paris ou à Las Vegas.
Il est essentiellement représenté par trois univers relativement cloisonnés. Le premier, orienté grand-public, est issu du monde de l’électronique : Withings, Hapilabs, Bubblino… sont autant de fabricants de dispositifs connectés aux réseaux sociaux ou à des applications sur Smartphones. Des éditeurs de plateformes collaboratives matérielles et logicielles permettent l’interconnexion de ces dispositifs afin d’en combiner les usages : Pachube (Cosm), Sen.se, Arduino, ThingWorx , etc. forment le deuxième univers. L’idée consistant à appréhender la réalité par l’intermédiaire de capteurs ou de supports d’identifiants d’objets, afin d’agir en retour sur cette réalité, fut déjà théorisée dans les années 80 par divers intervenants (Pr Sakamura de l’université de Tokyo, Mark Weiser du laboratoire Ubicomp, etc.).