An Important but Rarely Discussed Lesson of the Stanford Prison Experiment - Beautiful Minds - Scientific American Blog Network. Any man can withstand adversity; if you want to test his character, give him power. — Abraham Lincoln I recently watched the movie adaptation of the Stanford Prison Experiment.
Like most reviewers, I found it harrowing. But as a psychologist, I also found it revealing. With my eyes glued to the screen in rapt attention, heart racing, I became obsessed with understanding what really was going on, and the lessons we can glean from such an experiment gone so horribly wrong. The standard story, given by the experimenter Philip Zimbardo, is that the experiment is a lesson about how everyday people (and groups consisting of everyday people), when given too much power, can become sadistic tyrants. While this is certainly a valuable lesson, I believe another crucial variable at play that is rarely mentioned by commentators of the prison experiment or even in psychology textbooks is the person. Since the Stanford Prison Experiment, we've learned a lot more about the psychology of power.
Des vautours travaillent pour la police scientifique. Le raisonnement motivé : pourquoi le tonton raciste ne retient-il que les arguments qui l'arrangent ? Apprendre la violence aux enfants avec la Poupée Bobo – Expériences dangereuses #3. Aux débuts de la psychologie (et même un peu après), certaines expériences ont franchi les limites de l’éthique au nom de la recherche scientifique.
Nous en avons déjà abordé quelques-unes : l’expérience sur la soumission à l’autorité de Milgram, l’expérience du Petit Albert, l’expérience de la prison de Stanford de Zimbardo, Carney Landis et ses meurtres de rats, le Dr Johnson et ses « recherches » sur le bégaiement… Aujourd’hui, je vous propose d’étudier une recherche réalisée par Albert Bandura, l’un des psychologues les plus importants de ce siècle : l’expérience de la poupée Bobo. Le thème du jour : les enfants imitent-ils les comportements violents des adultes ? En 1961, Albert Bandura a une théorie : pour lui, le comportement humain est lié à un « apprentissage social », plutôt qu’à des trucs génétiques ou innés. La question est toujours problématique au sein de la communauté scientifique : est-ce plutôt la société, plutôt les gènes, ou plutôt autre chose qui font les Hommes ?
Je veux comprendre… le syndrome de Stockholm. Le syndrome de Stockholm, c’est cette relation étrange qui se tisse parfois entre un (ou des) preneur(s) d’otage(s) et les victimes.
Explications et historique de ce phénomène psychologique étonnant. Le syndrome de Stockholm désigne un « processus d’attachement » réciproque entre ravisseurs et otages. Autrement dit, il est possible que des otages et des ravisseurs développent des sentiments positifs réciproques, qui aideraient les victimes à « traverser » leur captivité. Pourquoi parle-t-on de « syndrome de Stockholm » ? Le concept de « syndrome de Stockholm » est apparu il y a une quarantaine d’années, à la suite d’une prise d’otages à Stockholm. En août 1973, un détenu en permission, Jan-Erik Olsson, braque une banque et retient quatre employé•e•s en otage pendant 6 jours, à la fin desquels les négociations aboutissent à la libération des otages sains et saufs.
Dans Buffalo ’66 de Vincent Gallo, un ex-détenu kidnappe une jeune femme et une relation complexe se développe entre eux. Madmoizelle. Pondu par Justine_ le 21 janvier 2011 Comment des soldats peuvent brutaliser à mort des prisonniers ?
Sont-ils nés bêtes sanguinaires ou bien le contexte y est pour beaucoup dans leur comportement ? Décryptage d’une expérience passionnante datant de 1971. Oh, ne faites pas les fausses innocentes, vous vous gaussez autant que moi devant les merveilles dégotées par Elise, non ? Alors quoi, si on se poile de bon cœur devant un evil cat qui dégaine une bonne torgnole à un bébé sans défense, sommes-nous pour autant de petits diables en puissance ? (Sachez qu’à ce stade de l’article, j’aurais pu citer J.J. Le contexte c’est plus fort que toi Mais je vais te dire : personne n’échappe à la force du contexte, et pour peu qu’on maîtrise bien les paramètres, nous pourrions nous aussi devenir de vrais dictateurs.
What happens when you put good people in an evil place ? Expérience de Stanford. L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique.
Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement.