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Interfaces narratives & scénarios

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Testez ! - France tv lab. Productions numériques - Webproductions. /interactif - Office national du film du Canada. Le Panthéon des Nouvelles Narrations - Le must de la création numérique. Morphologie du conte. Morphologie du conte est un essai de narratologie de Vladimir Propp paru en 1928 à Léningrad.

Morphologie du conte

Présentation[modifier | modifier le code] Le livre fut à peu près ignoré en Occident jusqu'à ses premières traductions en 1958 (anglaise) et 1965 (française). Ses premières recherches purement linguistiques s'étant révélées peu fructueuses, Propp eut l'idée d'étendre l'approche du formalisme russe à l'étude de la structure narrative des contes merveilleux[1]. Surtout intéressé par les problèmes de description et de classification des contes, Propp s'attache à en dresser la morphologie, c'est-à-dire « l'étude des formes et l'établissement des lois qui (en) régissent la structure »[2]. Categories des contes propp.

Le Héros au 1001 visages

Mémoire culturelle. La mémoire culturelle désigne les souvenirs et les expériences immortalisés par les médias et les rites commémoratifs.

Mémoire culturelle

En tant que concept, la mémoire culturelle est introduite pour la première fois en 1997 par l'égyptologue allemand Jan Assmann dans son ouvrage Das Kulturelle Gedächtnis. Dans son livre, Assmann reprend puis dépasse la théorie de mémoire collective proposée par le sociologue franco-allemand Maurice Halbwachs pour élaborer le concept de mémoire communicationnelle (souvenirs et expériences transmis oralement et de façon informelle de génération en génération) et de mémoire culturelle, cette dernière permettant notamment de construire des récits sur les origines avec non pas des événements historiques mais des « mnémohistoires » (Gedächtnisgeschichte, histoires des souvenirs)[1].

Schéma actantiel. Le schéma actantiel comporte un destinateur (émetteur), un objet (objectif), un destinataire (récepteur) ainsi qu'un adjuvant (aidant) et un opposant (adversaire).

Schéma actantiel

Ce schéma inclut parfois aussi la quête, selon qu'on la considère ou non comme un actant. Un personnage, le héros, poursuit la quête d'un objet. Les personnages, événements, ou objets positifs qui l'aident dans sa quête sont nommés « adjuvants ». Questionnaire personnage. Persona (marketing) Persona utilisée pour l'expérience utilisateur (UX) Dans les champs de la conception centrée sur l'utilisateur (CCU) ou du marketing, une persona est une personne fictive dotée d'attributs et de caractéristiques sociales et psychologiques et qui représente un groupe cible.

Persona (marketing)

Lors de la construction de la persona, cette personne fictive se voit assigner une série d'attributs qui enrichissent son profil pour mieux exprimer les caractéristiques du groupe cible[1]. Grâce à ces caractéristiques, les équipes de conception (designers) créent des scénarios d'utilisation d'un produit ou d'un service tandis que les équipes commerciales définissent une stratégie de positionnement, de promotion ou de distribution de ce même produit ou service.

Cette méthode est, à ce jour, surtout utilisée pour la conception et l'amélioration de l'ergonomie de sites Web. Comme Simon Sinek l'explique dans cette vidéo [archive] l'objectif n'est pas de comprendre le comment, mais le "pourquoi". Truby. Une histoire fantastique. Bible (screenwriting) Canon (fiction)

Rhétorique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rhétorique

Au-delà de cette définition générale, la rhétorique a connu au cours de son histoire une tension entre deux conceptions antagonistes, la rhétorique comme art de la persuasion et la rhétorique comme art de l'éloquence. La rhétorique grecque, telle qu'elle fut pratiquée par les sophistes et codifiée par Aristote, se préoccupait principalement de persuader. Dans l'Antiquité romaine, se fait jour une nouvelle conception de la rhétorique comme art de bien dire « bene dicendi scientia » selon les mots de l'orateur romain Quintilien[2]. A l'époque classique, la rhétorique s'étend à l'étude des textes écrits, et notamment aux textes littéraires et dramatiques, la conception romaine de la rhétorique l'emporte progressivement sur la conception grecque.

La rhétorique s'est ainsi progressivement restreinte à la stylistique c'est-à-dire à un inventaire de figures relevant des ornements du discours. Discours épidictique. Le discours épidictique (dénomination grecque) ou discours démonstratif (dénomination latine) est un registre qui fait partie des trois genres de discours distingués par Aristote[1].

Discours épidictique

Longtemps en retrait des deux autres genres, il connaît sous la forme d'éloge un grand succès sous l'Empire romain. Définition[modifier | modifier le code] Le discours épidictique (en grec : epideiktikon, en latin demonstratiuum) loue ou blâme. Lorsqu'il loue, ce genre est aussi nommé laudatif (en grec : enkômiastikon, en latin laudatiuum) ou panégyrique (en grec : panêgurikon, en latin panegyricuum)[2]. Il distingue ce qui est noble de ce qui est vil, « le beau et le laid moral »[1].

Rhetological Fallacies – A list of Logical Fallacies & Rhetorical Devices with examples — Information is Beautiful. Liste des figures de style. Le style démontre une capacité à utiliser toutes les ressources de la langue.

Liste des figures de style

Les figures de style ont, depuis les débuts de l'art oratoire et de la rhétorique, fait l'objet d'un débat de classification. En raison de leur diversité, qui s'exprime notamment dans la multiplicité de leurs dénominations, aucun classement exhaustif n'a abouti, hormis ceux présentés dans des traités stylistiques, anciens ou modernes. Une liste exhaustive des figures de style regroupe une grande partie des procédés (162 entrées, sans compter les synonymes et variantes) classées selon une grille multicritères élaborée par la linguistique moderne, notamment par l'école de Liège dans sa Rhétorique générale.

Figures de style[modifier | modifier le code] Les recherches modernes ont conduit à un renouveau des figures de rhétorique, au sein de domaines autres que ceux du discours ou de la littérature. Accumulation.