«Private equity»: la voie royale vers la technologie. Qui seront les Apple, Amazon et Facebook de demain?
C’est la question à 1 million, ou plutôt à 1 milliard, de dollars que se pose tout investisseur souhaitant surfer sur la déferlante des technologies. Or, si l’identification des prochaines licornes reste un sujet important, le réel enjeu devient la façon d’en capter la croissance. Ce que signifie le jour des quatre sorcières sur les marchés. (BFM Bourse) - Ce "jour des quatre sorcières" correspond à une journée boursière exceptionnelle au cours de laquelle quatre types de produits dérivés expirent simultanément.
L'expression peut prêter à sourire mais les investisseurs se méfient de ces journées boursières où volumes échangés et volatilité peuvent atteindre des records. Concrètement, le "jour des quatre sorcières" (quadruple witching day) désigne les troisièmes vendredis des mois de mars, juin, septembre et décembre. Diaporama ECO 32 Marchés banque DCG1 mars 2021. Morin Le Débat sur les produits dérivés. Comprendre les produits dérivés - Heu?reka #19. Diaporama Monnaie Thierry BLOT février 2020. La machine à dividendes : enquête sur les comptes du CAC 40. États-Unis : une ville où l’on paie en bois - 2020. Le concept est assez surprenant : des dollars en bois sont émis par la mairie pour endiguer la crise liée au coronavirus et donner un coup de fouet à l’économie locale.
En gros, c’est comme de l’argent liquide. Bien entendu, il y a des restrictions. "Vous ne pouvez pas l’utiliser pour acheter du tabac, un ticket de loterie ou de l’alcool, ce genre de choses. Mais pour les autres produits, ça fonctionne comme de l’argent liquide", indique Chris Hamilton, épicier. Sauf que ces billets sont en vrai bois, d’une valeur de 25 dollars chacun, à l’effigie de George Washington et une devise en latin : "Nous avons la situation sous contrôle".
La Suède, un pays sans cash - 2020. Lorsque Victor déjeune dans un restaurant de Stockholm avec des amis, la question de savoir s’il a assez d’argent ne se pose pas: «Je rembourse ma part par téléphone, avec l’application Swish.»
Lorsqu’il achète une friandise, nul besoin de monnaie: «Ma carte sert pour tous les achats, quel que soit le montant… Cela fait six ans que je n’ai pas d’argent dans la poche», avoue-t-il. En Suède, la proportion de paiements par cash dans les commerces est tombée de 40% (2010) à 15% (2016). En termes de valeur, le pourcentage sombre même à 1,4%. Selon un sondage de la Banque de Suède, deux tiers des Suédois pensent qu’ils peuvent vivre sans argent liquide. Ce mouvement de fond, unique au monde par son ampleur, a transformé Stockholm. Certains commerces refusent le cash Ultime étape de cette dématérialisation, de nombreux commerces n’acceptent plus l’argent liquide, comme la chaîne de boulangeries Fabrique. L'économie, mode d'emploi - Que sont les produits dérivés ? Dessine-moi l'éco : La création monétaire : un juste équilibre.
Dessine-moi l'éco : La bourse et le financement des entreprises. Dessine-moi l'éco : Le rôle de la Banque Centrale Européenne face à la crise de la dette. Dessine-moi l'éco : le Quantitative Easing. Dessine-moi l'éco : Un krach boursier en 2019, science-fiction ou prémonition ? Dessine-moi l'éco : A quoi sert le FMI (Fonds Monétaire International) ? Se faire coter en bourse - 2016. La mission expiatoire de la banque et la finance face à la crise - 2020.
La sphère financière peut-elle craquer avec la crise du Coronavirus ?
Ou plutôt, comment pourrait-elle ne pas craquer emportant avec elle dans un désastre systémique toute l’économie réelle. Cette peur d’un effondrement fatal est intimement liée à cette conscience que nous avons tous aujourd’hui du talon d’Achille financier. Comment la sphère du pari sur la rentabilité des investissements, sur la capacité à rembourser des agents privés, sur les promesses des nouveaux modèles d’affaires pourrait-elle survivre à la mise à l’arrêt imprévisible et stupéfiante de plus d’un tiers de l’économie marchande sur plusieurs semaines ou mois, qui ruine les promesses de retour sur investissement à travers toute la planète. Imaginer le contraire pourrait même être perçu comme un déni caractérisé. Alors certes cette crise n’est pas celle de 2008 et encore moins celle de 29. La réponse est oui, mais jusqu’à un certain point. Et puis, il y a les retombées de l’effondrement des prix d’actifs. Banques : vulnérabilités et risques de séisme.
Mais comment font les banques de détail pour survivre dans un univers de taux zéro ou négatifs, et alors même que les marchés d’actifs plafonnent.
Sur le papier, c’est le cœur de réacteur de leur business modèle qui est à l’agonie : la marge d’intermédiation, entre des dépôts à vue qui ne leur coûtent rien et les revenus d’intérêt sur leur activité de prêt. Or, tout indique que les banques françaises ont traversé ce long tunnel de dépression tendancielle des rendements sans que leur rentabilité soit profondément altérée. Est-ce le fait d’artifices comptables dont il faut se méfier et qui recouvriraient une situation délétère ou le résultat d’une véritable adaptation à un contexte dont tout laisse penser qu’il va durer ? Jusqu’ici, les banques françaises ont réussi à amortir le choc en jouant sur plusieurs tableaux. Clairement elles ont fait feu de tout bois : Hausse des volumes de crédit.
La titrisation et les Bowie bonds JECO 2018. 1ère place Anastasia Melachrinos avec sa vidéo intitulée "La Titrisation" 2ème place Alexis Bohn et Paul Bessey pour leur vidéo "La Stagnation séculaire" 3ème place ex æquo Gaspard Dareth et Mathis Descamps avec "L'Homme irrationnel" et Samuel Allain avec "Les agents économiques sont-ils irrationnels ?
" Les vidéos des finalistes avec sous-titrages sont disponibles sous la vidéos de la remise des prix. Remise des prix Cliquer sur le menu. Vidéo de présentation 1. 2. 3.