GAFA, GAFAM ou NATU : les nouveaux maîtres du monde. Ces start-ups parfois créées dans un garage sont ainsi devenues les plus grandes capitalisations boursières mondiales, et leurs patrons, des références iconiques de l’entrepreneur à succès.
Pourtant elles sont de plus en plus décriées pour leur mainmise tentaculaire sur l’économie mondiale et leur pratique de corsaire fiscal. Elles menaceraient même la souveraineté des Etats. Le poids des GAFAM Ces entreprises ont parfois à peine 20 ans (Facebook a été créé en 2004 et Google en 1998) et pourtant la capitalisation de chacune d’elles, à l’exception de Facebook dépasse les 1 000 milliards de dollars. Pour donner un ordre de grandeur – bien que pas directement comparable – c’est l’équivalent du PIB d’un pays comme les Pays-Bas, qui émarge tout de même à la 17e place du classement des pays les plus riches du monde. A eux 5, les GAFAM sont davantage valorisés que le montant du PIB du Japon, de l’Allemagne ou de la France !
GAFAM : une concentration inquiétante Qu’est-ce que cela signifie ? Microsoft rejoint les GAFA. Les acteurs économiques, financiers et du monde technologique de la Silicon Valley ont été surpris du rachat du réseau social professionnel LinkedIn par Microsoft ce lundi 13 juin 2016.
Ce dernier a en effet mis la main sur un réseau social américain premium, qui compte à ce jour 433 millions de membres inscrits à travers le monde, dont 10 millions en France. C’est la plus grosse acquisition jamais réalisée par la firme de Redmond depuis sa création en 1975. Le géant informatique prend ainsi une nouvelle direction en rachetant LinkedIn pour 26 milliards de dollars, soit 196 dollars par action, ce qui correspond à une prime par action de 50% par rapport à la cotation du vendredi 10 juin.
Cette transaction témoigne de la nouvelle stratégie d’acquisition et de diversification de Microsoft. Ce dernier s’est montré particulièrement actif depuis le début des années 2010. L’intérêt de Microsoft pour LinkdIn. Les gafam. Les géants de la technologie doivent-ils être démantelés. Par Le minarchiste.
Ce livre traite des quatre géants américains de la technologie que sont Apple, Google, Facebook et Amazon. Ce qu’il ne dit pas dans le livre, mais affirme publiquement est qu’il pense que le gouvernement devrait forcer le démantèlement de ces géants en plusieurs entités, comme ce fut fait pour la Standard Oil au début du 20e siècle. Selon lui, ces firmes ont trop de pouvoir, étouffent la concurrence et leur expansion a résulté d’une faille du marché. Du capital presque gratuit En 2017, la valeur marchande du capital-action de ces quatre entreprises totalisait 2,3 milliards de dollars. Hormis Apple, qui est la plus mature du groupe, ces entreprises ne retournent pas de capital à leurs actionnaires sous la forme de dividendes. Les Quatre utilisent aussi ce capital pour faire des acquisitions à des prix exorbitants. En juin dernier, Amazon a acheté l’entreprise PillPack pour 1 Md$. Taxe GAFA : un constat erroné, des effets pervers. Par Nicolas Marques.Une étude de l’Institut Economique Moliari Depuis 2017, les autorités françaises défendent la mise en place d’une taxe GAFA censée corriger une « injustice » fiscale.
Si l’on se fie aux déclarations officielles, les grands acteurs américains du numérique bénéficieraient d’une fiscalité particulièrement avantageuse. La gratuité, casse-tête du régulateur face aux GAFAM. Par Julien Pillot et Frédéric Marty.Un article de The Conversation Françoise Passerard (Paris School of Business), Clarence Bluntz (Université Paris-Dauphine), Julien Pillot (Inseec School of Business & Economics) et Thibault Lieurade, chef de rubrique Économie + Entreprises, seront les invités de l’émission « 7 milliards de voisins » consacrée à la gratuité sur RFI le jeudi 19 septembre de 12 h à 13 h, en partenariat avec The Conversation France.
Si les « modèles du gratuit » n’ont rien de nouveau, l’économie numérique leur a donné une ampleur inédite. Du réseau professionnel LinkedIn aux applications de rencontres en passant par les jeux vidéo, les acteurs du numérique déploient une panoplie de stratégies dans lesquelles l’utilisateur accède librement à un service partiel selon une logique freemium. Concentration naturelle Déjà, certaines pratiques de marché basées sur l’exploitation des données personnelles interrogent. Concurrence illusoire Stratégies d’éviction. YouTube. INFO EUROPE 1 - Taxe Gafa : les géants du Web ne savent pas combien ils doivent au fisc français. Sa mise en place a été difficile, et son paiement semble être du même acabit.
Votée en juillet dernier, la taxe Gafa doit être payée avant la fin de la semaine par toutes les entreprises qui réalisent un chiffre d'affaires d'au moins 25 millions d'euros en France, et 750 millions dans le monde. Géants du Web. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ces sociétés partagent comme caractéristiques : d'avoir créé de volumineuses bases d'utilisateurs et, par conséquent, de produire un chiffre d'affaires considérable ;de rénover les applications de l'informatique en réseau, ouvertes vers le grand public sur le web, par leur capacité d'innovation. Regroupements et acronymes[modifier | modifier le code] Gigantisme[modifier | modifier le code]