Arctic Report Card - Arctic Ocean Primary Productivity - Frey, et al. K.
E. Frey1, J. C. Comiso2, L. W. 1Graduate School of Geography, Clark University, Worcester, Massachusetts, USA 2Cryospheric Sciences Laboratory, NASA Goddard Space Flight Center, Greenbelt, MD, USA 3Chesapeake Biological Laboratory, University of Maryland Center for Environmental Science, Solomons, MD, USA 4Institute of Marine Research, Tromsø, Norway 5Québec-Océan and Takuvik, Biology Department, Université Laval, Québec City, QC, Canada November 25, 2015 Highlights Anomalously high chlorophyll-a concentrations were observed in 2015 in a number of locations. Introduction Primary productivity is the rate at which atmospheric or aqueous carbon dioxide is converted by autotrophs (primary producers) to organic material.
Recent declines in Arctic sea ice extent (see the essay on Sea Ice) have contributed substantially to shifts in primary productivity throughout the Arctic Ocean. Chlorophyll-a. Les Français ont une vision déformée du réchauffement climatique. Comprendre le réchauffement climatique en 4 minutes. Earth's Long-Term Warming Trend, 1880-2015. Cycle du carbone - Augmentation plus rapide du CO2 dans l'atmosphère. Résumé d'un article paru dans Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) : Contributions to accelerating atmospheric CO2 growth from economic activity, carbon intensity, and efficiency of natural sinks, Josep G.
Canadell et al, PNAS, 10. 1073 (25 octobre 2007) Depuis 1750, la concentration en dioxyde de carbone (CO2) augmente régulièrement dans l'atmosphère, passant de 280 ppmv avant l'ère industrielle à 381 ppmv en 2006. Cette augmentation s'est accélérée depuis le milieu des années 1960 et continue d'accélérer. Entre 1970 et 1979, elle était de 1,3 ppmv par année, entre 1980 et 1999 autour de 1,55 ppmv par année, et entre 2000 et 2006, elle atteignait la valeur de 1,9 ppmv par année. Évolution de la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone entre 1850 et 2006 L'augmentation des émissions de carbone Les émissions de CO2 dues à l'utilisation des énergies fossiles augmentent au-delà des prévisions les plus pessimistes des différents scénarios du GIEC établis en 2000.
Or. Rejet de dioxyde de carbone - craie. Biodiv: Ressource : Du CO2 dans l'eau de mer ? (suggestion d'activité autour de l'acidification des océans) Ces ressources pourront être intégrées dans une démarche que construira librement chaque enseignant, et ne sont en aucun cas des marches à suivre figées.Plan : Les ressources peuvent être librement utilisées par l’enseignant dans plusieurs cadres : En 5ème pour une approche pluridisciplinaire dans la partie « fonctionnement de l’organisme » (SVT) et « l’eau dans notre environnement » (physique-chimie) Grâce au thème de convergence (physique-chimie et SVT) intitulé « développement durable », en associant ici plus précisément deux disciplines, tels que précisé dans les instructions officielles.« La physique-chimie introduit l’idée de conservation de la matière et permet de comprendre qu’une substance rejetée peut être diluée, transformée ou conservée.
Les transformations chimiques issues des activités humaines peuvent être la source d’une pollution de l’environnement. Les sciences de la vie apportent la connaissance des êtres vivants et de leur diversité. Piste de situation initiale. Climat-environnement - Le cycle du carbone. Cycle du carbone : échanges à l’équilibre.
Cycle du carbone. Dès 1896, le chercheur suédois Arrhénius avait prédit une augmentation de la teneur atmosphérique en dioxyde de carbone (CO2), suite aux combustions du bois et des énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz).
Toutefois, il fallut attendre plus de soixante ans, avec l’installation d’un suivi permanent à l’Ile de Hawaii, pour mettre en évidence l’augmentation systématique du CO2. Dans les années 1980, la mise au point de la mesure du CO2 des bulles d’air de la glace au Lgge (Grenoble) ouvrit la voie à une reconstitution fine du dernier millénaire. Il apparaît ainsi qu’avant le XIXème siècle, le CO2 atmosphérique était stable à 3% près, oscillant autour d’une teneur en volume de 0,028 %, soit 280 parties par million (ppmv) correspondant à une masse de 600 milliards de tonnes de carbone (GtC). Cette corrélation entre activité humaine et CO2 n’est par fortuite. Pour aller plus loin, il est nécessaire de développer un réseau mondial de surveillance du CO2.