Rémi barré : « réinventer le système français de recherche » Culture numérique 2012-2013 > 03 : Les publications scientifiques (1ère partie) - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie. Culture numérique 2012-2013 > 03 : Les publications scientifiques (2ème partie) - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie. Politician vs. biohacker #lift14. Twitter et les chercheurs, l'exception française ? Le Monde | • Mis à jour le | Par Sylvain Deville (chargé de recherche CNRS au laboratoire de synthèse et fonctionnalisation des céramiques (unité mixte CNRS-Saint-Gobain).
Lauréat 2012 de la médaille de bronze du CNRS) Voilà quelques jours, je me demandais sur Twitter pourquoi, en comparaison avec nos collègues anglo-saxons, si peu de chercheurs français se servent de cet outil. A chaque fois que je discute de l’utilisation de Twitter avec des confrères, on me renvoie un regard mi-étonné, mi-méprisant et toujours lourd de préjugés sur les réseaux sociaux.
La recherche, c’est du sérieux. Pas de place pour Twitter. Ayant travaillé deux ans en Californie, j’y ai appris beaucoup sur le sujet. En France, la majorité des chercheurs a l’attitude opposée et semble ne pas percevoir l’importance de la communication, ou ne pas en avoir conscience, quand elle ne l'ignore pas avec un snobisme mal placé.
Microsoft Adds Momentum to “Open Science” Momentum continues to build behind the “open science movement,” propelling the debate over publication of scholarly works and the scientific process itself.
Last week, Microsoft Research announced it was adopting a policy that allows it to retain a license for research submitted to conferences or publishers in order to post it to a freely accessible online site as well. And earlier this week, pharmaceutical giant Johnson & Johnson said it will release data from clinical trials, through an agreement with the Yale University Open Data Access Project. The decisions represent at least a subtle shift in the standard corporate impulse to retain a death grip on any research that could potentially make its way into products. To be sure, Microsoft isn’t about to start giving away the raw code behind Office. But they’re loosening the reins on the research division, allowing their published work to reach beyond those who can afford expensive industry journals and conferences. Aaron Swartz : sur les traces d’une étoile filante du Net - L'actu Médias / Net. La disparition d'Aaron Swartz en janvier 2013 a laissé orpheline la communauté numérique.
De Boston à New York, retour sur le parcours d'un homme qui voulait propager le savoir. Cet article est la version longue de l'article paru dans “Télérama” le 3 avril 2013. C’est une petite rue sans histoires, dans un quartier résidentiel de Cambridge (Boston), à l’ombre des prestigieux Harvard et Massachusets Institute of Technology. Les deux campus sont distants de trois kilomètres, et à mi-chemin, voici donc Lee Street, ses marronniers, ses trottoirs en briquette rouge, ses maisons colorées. C’est ici, dans ce décor paisible, que la vie d’Aaron Swartz a brutalement basculé le 6 janvier 2011. Intervention JNE 26-11-2012 Rémi BARRE. L'« open science » défie la revue Science. CC Martin Clavey Plusieurs bibliothèques françaises ont annoncé ces derniers mois avoir suspendu leur abonnement à certaines revues scientifiques pourtant incontournables.
Le 13 janvier, l’université Pierre et Marie Curie enclenche le mouvement en annonçant son désabonnement à la revue Science. Peu après, Paris-V se sépare de la revue Nature. À Paris-VII, c’est le New England Journal of Medicine qui est écarté. L'épidémie se propage depuis dans tout l’Hexagone, en Belgique, et aux États-Unis. . « Beaucoup de mes amis étudiants se mettent à me parler de l’open-access et de l’open science suite aux désabonnements des universités », raconte Clara Moreau.
Lors de la semaine de l'accès libre, en 2013. L'ouverture des données scientifiques : quid novi ? J'avais été conviée à la journée d'étude interdisciplinaire de l'ISCC intitulée « Ouverture des données massives scientifiques.
Quels risques, quels bénéfices ? », le 6 décembre 2013. Un grand « merci » aux organisateurs et modérateurs de ces échanges, ce fut une journée très réussie et enrichissante. Je suis intervenue lors de la 2e table ronde qui traitait des avantages et dangers d'une telle ouverture ainsi que des nécessités en termes de politiques publiques pour que cette ouverture se fasse.
Voici mes notes de préparation dont tous les points ont été abordés. Lire la suite pour entendre parler des données scientifiques brutes, de non-reproductibilité, de timides avancées, de droit sui generis des bases de données et de licences Creative Commons v4. Sommaire À la recherche des données de recherche. Amis chercheurs, vous vous faites arnaquer trois fois (merci Elsevier) Le domaine de la recherche n’échappe pas à l’austérité : en dépit de nombreux effets d’annonce, les financements diminuent constamment depuis le début de la crise, le recours aux fonds privés se généralise, et comme ailleurs, les faillites se multiplient.
Et pourtant, la France s’apprête à reconduire un accord avec le géant de l’édition scientifique, Elsevier. Coût de l’opération : près de 190 millions d’euros, versés sur cinq ans. Pour un accès aux données sur la recherche française. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Antoine Blanchard (cofondateurs de Deuxième labo) et Elifsu Sabuncu (cofondateurs de Deuxième Labo) A l’heure où le Parlement européen approuve le nouveau programme pour la recherche et l’innovation, Horizon 2020 , la France fait l’inventaire de ses forces et faiblesses sur les thématiques scientifiques les mieux dotées.
Mais, d’ailleurs, qui sait quelles thématiques scientifiques ont été prioritaires en France ces dernières années ? Qui possède une vision, année après année, des dotations accordées par le guichet unique de l’Agence nationale de la recherche (ANR) ? A toutes ces questions légitimes, portées par les décideurs, les chercheurs ou les citoyens, il n’y a pas de réponses évidentes et, surtout, pas d’endroit où les chercher. Culture numérique 2012-2013 > 03 : Les publications scientifiques (2ème partie) - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Basse-Normandie.