15268860. Génétique : oui, l'environnement peut manipuler notre ADN. Au cours des dernières décennies, une recherche intense a mis en évidence des modifications chimiques des histones qui constituent un véritable langage instruisant la fonction des gènes associés. © adike, shutterstock.com Génétique : oui, l'environnement peut manipuler notre ADN - 2 Photos L’ADN portant nos gènes est organisé en une structure compacte au sein du noyau de nos cellules grâce à des protéines spécifiques, les histones.
Au cours des dernières décennies, une recherche intense a mis en évidence des modifications chimiques des histones qui constituent un véritable langage instruisant la fonction des gènes associés. Des systèmes moléculaires spécifiques ont été identifiés qui mettent en place, reconnaissent, interprètent et enlèvent ces modifications. L’ensemble de ces systèmes coopère pour diriger le fonctionnement des gènes en fonction de leur l’environnement moléculaire. L’une des premières modifications chimiques identifiée et intensément étudiée est l’acétylation. CRISPR/Cas9 : Emmanuelle Charpentier futur prix Nobel ? | An infinity of hypotheses.
(source image : ici) CRISPR. Le mot (enfin l’acronyme) est lâché. Si, en tant que biologiste, vous n’en n’avez jamais entendu parler, c’est que vous hibernez depuis 2 ans ou que vous êtes sur le terrain au fin fond de l’Amazonie à récolter des échantillons pour votre prochain papier. Derrière cet acronyme un peu barbare (CRISPR pour ‘Clustured Regularly Interspaced Short Palindromic Repeats’) se cache l’une des plus importantes révolutions technologiques que la biologie moléculaire a connu ces 40 dernières années, au même titre que le clonage ou la PCR. Le principe : programmer une endonucléase bactérienne (protéine qui coupe l’ADN) appelée Cas9 avec des petits ARN non codants (qui agissent comme guide) pour permettre le clivage de manière spécifique à l’endroit désiré du génome. Un bref historique Et pourtant, la découverte initiale aurait pu rester totalement anecdotique. Mais à quoi peuvent bien servir ces séquences répétées me direz-vous ?
Comment ? Femmes, Science et Cocorico ! En Chine, une usine géante va cloner vaches et chiens. La plus grand site mondial de clonage d'animaux est en cours de construction en Chine, avec pour ambition de fabriquer en série chiens, chevaux, et jusqu'à un million de vaches par an, selon la presse chinoise. Représentant un investissement de 200 millions de yuans (29,4 millions d'euros), ce centre de production comprendra un laboratoire de clonage et une banque de gènes, a annoncé l'agence officielle Chine nouvelle. Le projet est conduit par la société de biotechnologie chinoise Boyalife et l'entreprise sud-coréenne Sooam Biotech --dont le fondateur fut il y a une décennie au coeur d'une controverse sur le clonage d'embryons humains--, aux côtés de deux instituts de recherche chinois.
L'usine se concentrera sur le clonage d'animaux domestiques, de chiens policiers, de chevaux de course et de vaches, tous destinés à être commercialisés à une échelle industrielle. "Cette viande sera-t-elle vendue en Corée du Sud ou bien en Chine? Man Fails Paternity Test Because Unborn Twin Is The Biological Father Of His Son. Prepare to have your mind blown. This is the fascinating case study of a man who failed a paternity test because part of his genome actually belongs to his unborn twin. This means that the genetic father of the child is actually the man in question’s brother, who never made it past a few cells in the womb. Yes, this sounds completely crazy and like a headline you might read in a trashy magazine. But before you write it off as that, let’s go into some more details. It all starts off with a couple in the U.S. who were having trouble conceiving their second child. The assisted conception worked, and nine months later the happy couple welcomed a baby boy into the world.
“Both parents are A, but the child is AB,” Barry Starr from the Department of Genetics at Stanford University told IFLScience. The couple therefore decided to take a standard paternity test, which to their dismay revealed that the man was not the child’s father. FrogOddNumb. Vous pensiez que vous étiez unique ? Ce photographe réunit des inconnus dans la rue, qui ressemblent pourtant à de parfaits jumeaux ! Vous vous croyez unique, pas vrai ?
Eh bien ce n'est peut-être pas le cas. Ces personnes, en tout cas, ont certainement été bien surprises quand elles ont découvert un sosie parfait d'elles-mêmes ! C'est l'objectif principal de ce photographe et de son projet "Je ne suis pas un Sosie": réunir de parfaits inconnus, qui ne se sont jamais rencontrés, et pourtant... Qui se ressemblent comme deux gouttes d'eau ! On imagine déjà le boulot qu'il y a derrière ces clichés vraiment étonnants (ça doit pas être évident, mine de rien !) Certains sont vraiment tellement ressemblant que l'on a du mal à croire qu'il s'agit bien de personnes qui ne se connaissent absolument pas ! The Face of Tomorrow. What is the face of London, New York, Paris? What does a Londoner, a New Yorker, a Parisian look like?
The Face of Tomorrow is a concept for a series of photographs that addresses the effects of globalization on identity. The large metropolises of the world are magnets for migrants from all parts of the planet resulting in new mixtures of peoples. What might a typical inhabitant of this new metropolis look like in one or two hundred years if they were to become more integrated? The Face of Tomorrow attempts to find this face by taking photographs of the current inhabitants and compositing their faces to create a typical face. What we get is a new person – a mix of all the people in that city. A face that doesn’t exist right now, but a face, it seems, of someone quite real: the Face of Tomorrow. Faces from some major cities around the world >> The Face of Tomorrow Posters >> Une cellule souche : qu’est-ce que c’est ? - 29 août 2014. GRAAL. Souvent qualifiées de Graal de la médecine du futur, les cellules souches promettent des avancées médicales importantes.
Si elles confirment leur potentiel. Mais quand on parle de "cellules souches"... de quoi parle-t-on ? De cellules un peu particulières programmées pour se multiplier indéfiniment et qui peuvent donner naissance à tous les organes et tissus de l’organisme, et même à un individu complet pour les cellules totipotentes. L’espoir des chercheurs et médecins est de pouvoir utiliser ce potentiel pour réparer ou remplacer des organes abimés ou traiter certaines maladies. Partout dans le monde des recherches ont lieu en ce sens et des premiers résultats positifs ont déjà été obtenus. En 2013, deux patientes atteintes de maladie de la rétine avaient reçu avec succès une greffe de cellules de l'épithélium pigmentaire rétinien (EPR) dérivées de cellules souches embryonnaires humaines. RAJEUNISSEMENT. Sea Slug Steals Photosynthesis Genes From Algae.
The brilliant emerald green sea slug, Elysia chlorotica, spends months living on sunlight just like plants. It’s been called the photosynthesizing sea slug in the past, but how it manages to do this as well as it does is a complete mystery. In a new study appearing in the Biological Bulletin, researchers reveal that the sea slug has incorporated genes from the algae that it eats. "There is no way on earth that genes from an alga should work inside an animal cell," says Sidney Pierce from the University of South Florida. "And yet here, they do. They allow the animal to rely on sunshine for its nutrition. So if something happens to their food source, they have a way of not starving to death until they find more algae to eat.
" Chloroplast are plant organelles that contain chlorophyll, the green photosynthetic pigment. But until now, no one knew for sure how the slugs manage to maintain these pilfered chloroplasts. Read this next: Dear Parents, Let’s Talk About Measles. Scientists Analyze DNA From Bigfoot Samples. Researchers conducted a genetic analysis of 30 hair samples said to have come from so-called anomalous primates.
And I’m very sorry to report: None of them have cryptozoological origins. They all come from known species, mostly bears, dogs, and everyday farm animals. The study, appearing this week in the Proceedings of the Royal Society B, is the first ever systematic DNA survey of anomalous primates to be published in a peer-reviewed journal. These unidentified primates have many names: yeti or the abominable snowman in the Himalayas, almasty in central Asia, and sasquatch or bigfoot in North America. Based on footprints and eye-witness reports, theories range from surviving Neanderthals and extinct apes to hybrids between humans and other mammals.
Scientists have historically stayed away from this field, while cryptozoologists insist they’ve been “rejected by science.” So, a team led by Bryan Sykes from the University of Oxford applied this philosophy to studying anomalous primates. Des chromosomes, il en faut beaucoup ? Des chromosomes, il y en a beaucoup ? Parmi les questions d’élèves souvent posées lorsqu’on aborde la génétique, il y a le nombre de chromosomes des individus d’une espèce ; en associer un grand nombre à des espèces évoluées et peu à des espèces plus primitives étant un raccourci scientifique parfois présent dans leur esprit. En effet, chaque chromosome étant formé principalement d’une molécule d’ADN elle-même support de l’information génétique de l’individu, il est confortable pour l’esprit de l’envisager ainsi et surtout rassurant de se dire que moi, petit d’Homme d’élève, j’en possède plus que la plupart des autres espèces.
Il est nécessaire pour le prof de SVT de corriger, d’adapter ce point de vue à partir de quelques exemples éloquents pour montrer qu’il n’y a pas de lien entre nombre de chromosomes et degré d’évolution d’une espèce… Le chimpanzé ? Il en possède 48. Le nombre de chromosome n’a pas de lien avec l’évolution des espèces, c’est l’expression des gènes qui en a un…
These Twin Sisters Look Totally Different. Lucy and Maria Aylmer are about as close as two twin sisters can get, but you’d never guess it just from looking at them – Lucy has fair skin and straight red hair while her sister has dark, curly hair and dark skin. The two girls, both from Gloucester, U.K., were born to a Caucasian father (Vince) and a half-Jamaican mother (Donna). “No-one ever believes we are twins because I am white and Maria is black,” Lucy said. “Even when we dress alike, we still don’t even look like sisters, let alone twins. When we’ve met friends for the first time they never believe we are twins and they have even made us produce our birth certificates to prove that we are actually twins More info: dailymail Believe it or not, but these girls are twins! Here they are when they were younger Lucy has light skin while her sister, Maria, has darker skin They couldn’t be closer, but they say no one ever believes they’re twins Lucy studies art and design while Maria studies law and psychology.