Réalité virtuelle dans le B2B : gadget ou facteur de croissance ? Comme nous l’observons depuis plusieurs années, une véritable révolution a eu lieu dans le milieu du gaming, l’essor de la réalité virtuelle.
Mais celle-ci, ne s’arrête pas là. En effet, les marques se l’arrachent et investissent déjà dans ce domaine. C’est pourquoi, nous allons vous montrer que la réalité virtuelle se révèle également être une véritable mine d’or pour le marché du B2B. L’utilisation croissante de la réalité virtuelle par les marques L’année 2016 rime définitivement avec réalité virtuelle. Mark Zuckerberg, le grand patron de Facebook, a déjà laissé entendre qu’il introduirait la réalité virtuelle au sein de son réseau social. Pour l’instant, deux appareils de réalité virtuelle se démarquent des autres : l’Oculus Rift (Facebook), le Samsung Gear VR et le Google Card Board. Quel est l’intérêt pour les marques d’utiliser la réalité virtuelle ? Son invention est l’opportunité de renouveler l’expérience client, de le plonger dans une manière d’acheter différente.
Bruno Langlade. Shopper tech : de nouvelles technologies d'achat pour des transactions émotionnelles - SAP Hybris. Découvrez les six tendances visuelles de 2017. Les équipes d’anthropologues et de directeurs artistiques de Getty Images ont identifié 6 thèmes visuels pour l’année à venir : Virtuality : Virtuel RéelGritty Woman : La détermination féminineUnfiltered : Sans filtreColour Surge : L’esthétique des couleursNew Naivety : Une spontanéité ludiqueGlobal Neighbourhood : Voisinage planétaire Nous voulons proposer les bonnes images à nos clients dans un monde visuel qui change très vite.
Il n’a jamais été aussi important d’expliquer ce qui évolue dans l’imagerie, et pourquoi.Andrew Saunders, Senior Vice President of Creative, Getty Images 1. La technologie pousse les frontières, accroît nos sens et nous permet d’aller au-delà d’une imagerie bidimensionnelle en nous immergeant dans les visuels La technologie et l’image convergent à un degré jamais ressenti auparavant. 2. La nouvelle femme selon Getty Images peut abattre des murs : elle se préoccupe plus de ce qu’elle est capable d’accomplir que de son apparence. De quoi l émotionnel est-il le nom. Notre réflexion porte sur l’importance et l’influence de l’émotion sur la qualité de liens durables.
La question de « stimulation juste » par un marketing bien pensé oblige à respecter la fonction désirante des individus, leur personnalité profonde pour conforter ces liens, que la digitalisation et la robotisation devront réinventer. La qualité du lien et son poids d’émotionnel deviennent la condition sine qua non des relations durables entre les acteurs de l’offre, consommateurs, marques, objets. Ce lien a changé de nature, c’est une banalité de le dire, mais ces changements impliquent à la fois l’intention même de la marque vis-à-vis de ses consommateurs, de quelle manière, comment elle souhaitet- elle les « toucher », et le degré de crédibilité, de confiance des individus qui accepteront, au vu des bénéfices perçus, de se laisser séduire. L’essentialité du lien L’émotion a sa juste place Désirer c’est être ému, mu, motivé. La digitalisation est-elle émotionnelle ? (c) ill. Le marketing sensoriel. Il en va ainsi de la stimulation des cinq sens par le producteur ou le distributeur pour pousser le consommateur à remarquer le produit, l’essayer et l’acheter.
Voyage au cœur de cette nouvelle dynamique. Le goût. Souvenez-vous de la dernière fois où vous avez goûté un mets préparé dans une épicerie. Les producteurs alimentaires ont compris que faire goûter un produit à un consommateur se transformait en acte d’achat quasi immédiatement. L’odorat. Certains produits ménagers, tels les détergents, arborent la mention « scratch and sniff » sur l’emballage : une façon pour le consommateur de tester le parfum du produit. La chaîne de cosmétiques anglaise Lush mise principalement sur les odeurs et les couleurs pour vendre des savons et sels de bain biologiques testés sur des humains ; une approche préférable au marketing, selon les propos des dirigeants.