Www.amnesty.org/es/library/asset/AMR41/014/2010/en/e78b5ce3-7933-4f8e-b424-7132e1f8ffe2/amr410142010fra.pdf. EUA promueve canción "La Bestia" para evitar ola de inmigrantes - Diario La Prensa. Los Ángeles, Estados Unidos.
Los representantes de la agencia aseguraron que la campaña quiere mandar a la audiencia un "mensaje claro, simple y directo" sobre los riesgos de la emigración ilegal. Para dicha campaña se están utilizando anuncios de radio en español y trágicas pancartas con jóvenes perdidos en el desierto, que se difunden tanto en EUA como en Honduras, Guatemala y El Salvador para desanimar a los jóvenes y, en específico, a los padres para que no envíen a sus hijos a EUA. La Agencia ha financiado la creación de la canción ´La Bestia´ dedicada al tren homónimo, que traslada indocumentados desde México a EUA. Según la periodista del portal ´The Daily Beast´, Caitlin Dickson, la campaña mediática de la Agencia se basa en el uso de canciones subliminales. Lea: EUA: Deportaciones a Honduras envían una clara señal a migrantes "El chillido de las ruedas, amenazadora serpiente de acero, sus escamas, también su vientre. Campaña de migración Están dirigidas a distintas audiencias.
REVES D'OR, La Jaula De Oro Bande Annonce (2013) Le train de la mort. Par Domenic Cusmano a Bête, aussi connu sous le nom de Le train de la mort, circule au Mexique de la frontière avec le Guatemala au sud, à la frontière avec les États-Unis au nord du pays.
Même s’il s’agit d'un train de marchandises, cela n'empêche pas les gens de l'utiliser comme moyen de transport. Ces passagers ne sont pas des clients réguliers, ils sont des migrants qui voyagent illégalement dans les wagons ou accrochés au toit des voitures pour un aller simple. Ils sont prêts à tout risquer pour s’offrir une vie meilleure. Des centaines d'Américains du centre et du sud, majoritairement des hommes, font le choix de mettre leur avenir en jeu en misant sur un trajet en train. La Bête, un engin métallique froid, énorme, lourd et bruyant […] il n’approuve ni ne rejette, il n’éprouve ni amour ni répugnance ni haine ni compassion. Deux longs coups de sifflet stridents se font entendre. (extrait de l'article paru dans Réveil missionnaire, numéro 301)
Le train de la mort. Le sifflet du train de marchandises qui remonte le Mexique vers le nord retentit comme un cri dans la nuit.
C’est le signal qu’attendaient des centaines de sans-papiers venus d’Amérique centrale pour s’élancer vers le convoi avant même qu’il s’arrête. Les plus chanceux se réfugieront dans des wagons vides, les autres devront s’agripper aux flancs rouillés du monstre de fer ou s’attacher sur le toit. Au Mexique, le train de la mort. Soixante-douze cadavres, visiblement des migrants qui tentaient de regagner les Etats-Unis, ont été découverts au Nord-est du Mexique, dans une ferme située dans l'Etat de Tamaulipas.
(Plus d'infos ici). En 2009, nos correspondants avaient suivi ces migrants d'Amérique Latine qui rêvent d'une nouvelle vie aux Etats-Unis. La Bestia, train de la mort des migrants mexicains. Le reportage de Jean-Michel Leprince Les États-Unis font face à un afflux sans précédent de migrants d'Amérique centrale.
Parmi eux, un grand nombre de mineurs, des enfants parfois non accompagnés. Ces migrants voyagent à travers le Mexique au prix de périls de plus en plus grands et chevauchent « La Bestia » (la bête), aussi appelée le « train de la mort ». Un texte de Jean-Michel Leprince La Bestia, c'est plusieurs trains de marchandises. Des familles entières, des femmes avec leurs enfants partent pour le grand voyage. . « Beaucoup de femmes, les parents, sont partis ça fait beaucoup d'années. . « Le trafic d'enfants, c'est quelque chose dont on ne sait pas grand-chose. Un flot inexorable Les Mexicains et les migrants centraméricains sont convaincus que, quelles que soient les mesures prises par les Américains et le gouvernement mexicain, rien n'arrêtera le flot vers le nord, vers le rêve américain.
Contre l’immigration clandestine, une chanson sur les «trains de la mort» « Le cri strident des roues, serpent d’acier menaçant… La bête du Sud, comme ils l’appellent, rugit et se tortille »: ces paroles sont extraites d’une chanson imaginée par les Etats-Unis sur les « trains de la mort », nom donné aux trains allant du Mexique jusqu’aux Etats-Unis.
Objectif: dissuader les jeunes en provenance d’Amérique centrale de franchir illégalement la frontière. Entretien avec Gaspard Estrada, analyste politique spécialiste du Mexique et des relations entre la France et l’Amérique latine. JOL Press : Quelles sont les conditions de vie des migrants d’Amérique centrale pendant leur périple jusqu’aux Etats-Unis ? Gaspard Estrada : Parmi les migrants, de nombreux enfants partent à bord de trains de marchandises – baptisés « La Bestia », « la Bête » en français – vers les Etats-Unis pour pouvoir renvoyer de l’argent à leurs familles restées sur place. JOL Press : D’où viennent –ils principalement ? Bande-annonce du film « Rêve d’or »: Gaspard Estrada: Oui, depuis longtemps. Un accord pour arrêter le train de la mort. États-Unis, Mexique et le Guatemala ont accepté de limiter le nombre de migrants d'Amérique centrale qui grimpent sur les trains de marchandises dans une tentative d'atteindre la frontière américaine, écrit la BBC.
Le gouvernement guatémaltèque a annoncé que l'accord prévoit la mise en place de postes de contrôle le long des lignes de chemin de fer, mais n'a pas révélé d'autres détails. Tous les année des dizaines de milliers de migrants d'Amérique centrale à bord d'un "train de la mort», également appelé "la bête", l'un des trains de marchandises qui relient Arriaga, au Chiapas, avec la ville frontalière de Reynosa et la ville jumelle de McAllen, au Texas.
Pour un débit Arriaga est devenu si intense que les gens du pays ont mis en place des stands pour vendre des matelas et de l'eau pour les migrants qui grimpent sur les trains. Le chemin est long cours 2.300 kilomètres, et les migrants doivent rester pendant des jours accrochés sur le toit ou dans les espaces entre les voitures. Le Mexique met fin au train d’enfer des migrants centraméricains. Mexique: déraillement mortel du "train des immigrés"
La «Bestia» est un des moyens de transport les plus utilisés par les migrants sud-américains pour gagner la frontière américaine.
Le train a déraillé dimanche, et huit des 12 voitures se sont retournées à hauteur de Huimanguillo, dans l’Etat de Tabasco. Les ambulances n’ont pu avoir accès au lieu en raison de la difficulté du terrain, et au moins six morts sont à déplorer, dont un ressortissant hondurien. «Quand la structure du train sera relevée, plus de cadavres pourraient être retrouvés», a prévenu le directeur des services d’urgences de Tabasco, Cesar Burelo. Selon lui, il est «fort possible» que les survivants aient fui le lieu afin de poursuivre leur chemin vers les Etats-Unis. © Angel Hernandez/Reuters Le lundi 26 août 2013 l Mise à jour le lundi 26 août 2013. Sin Nombre - film 2009. Image. Au Mexique, le train de la mort. Soixante-douze cadavres, visiblement des migrants qui tentaient de regagner les Etats-Unis, ont été découverts au Nord-est du Mexique, dans une ferme située dans l'Etat de Tamaulipas.
(Plus d'infos ici). En 2009, nos correspondants avaient suivi ces migrants d'Amérique Latine qui rêvent d'une nouvelle vie aux Etats-Unis. Mexique : Bienvenue sur le toit du “train de la mort” Il n'existe sans doute pas une seule bonne manière de rendre compte de la violence croissante et alarmante à laquelle font face les étrangers en situation irrégulière au Mexique.
Mais en croisant les différents fragments de récits que l'on trouve sur les médias citoyens, on obtient un tableau plutôt sombre de la situation [liens en espagnol]. Le 1er août 2011, le blog espacioperdido a mis en ligne un billet qui retraçait l'histoire du voyage en train au Mexique : En 1999, la gare de Buenavista a fermé définitivement. Au fil du temps, d'autres gares, ailleurs dans le pays, ont également fermé. Immigration mexicaine: le train de la mort. On le surnomme « La bête » (the beast). Ce train part du Chiapas, pays des Mayas au sud du Mexique ; puis passe par Mexico pour arriver à Huehuetoca sur la frontière avec l’Amérique. Il n’est pas conçu pour porter des humains car c’est un train de marchandise complètement décrépi. 1500 migrants l’investissent, une bonne partie d’entre eux voyageant sur le toit.
Ceux-ci espèrent passer la frontière américaine pour y trouver une nouvelle vie. Pour ce faire ils sont confrontés à un terrifiant voyage. La Bestia, train de la mort des migrants mexicains.