Le nouveau label bio européen pourrait tolérer la présence d’OGM et de pesticides – EurActiv.fr. Les eurodéputés ont voté pour l’abandon de la décertification de produits de l’agriculture biologique contaminés par des OGM ou des pesticides, les cas de fraudes volontaires ne représentant que 0,5% des cas.
Un article de notre partenaire le Journal de l’Environnement. La commission Agriculture du Parlement européen a adopté, lundi 8 février, une proposition de révision du cahier des charges de l’agriculture biologique ouvrant la porte à un assouplissement de cette certification, qui inquiète les uns et soulage les autres. Cet avis fait suite à la proposition de règlement de la Commission européenne visant au contraire à renforcer les règles encadrant l’alimentation biologique, un marché en pleine croissance. >>Lire : L’agriculture bio pourrait bien nourrir la planète Or, ce renforcement des exigences d’obtention du label AB est loin de faire consensus.
Les eurodéputés s’opposent à l’autorisation de mise en culture du maïs OGM. Janvier 16, 2014 at 11:18 COMMUNIQUÉ DE PRESSE – Strasbourg, le 16 janvier 2014.
OGM : retour sur « l’affaire Séralini » et le journalisme scientifique. Peut-être se souvient-on encore de la publication en septembre 2012 des résultats d’une étude du professeur Gilles-Éric Séralini et de son équipe concluant à la toxicité du maïs transgénique NK 603, des conditions de cette publication, de l’intense médiatisation qui s’en est suivie et des vives controverses qui l’ont entourée.
Si nous nous proposons de revenir sur ce temps fort de l’actualité médiatique, ce n’est pas pour nous prononcer sur la validité scientifique de cette étude : elle excède nos compétences. Corinne Lepage : "Monsanto n'a plus le droit de cultiver son maïs en Europe" Députée européenne et fondatrice du parti centriste écologiste Cap21, Corinne Lepage a été reçue lundi par François Hollande après une précédente visite en mars.
Elle sera de nouveau reçue en septembre pour discuter du positionnement politique et des propositions de sa nouvelle formation, le Rassemblement citoyen, lancée fin mars. Selon elle, il s'agit d'une confédération qui doit accueillir aussi bien des personnes morales (partis, associations) que des personnes physiques et conduire des listes aux municipales dans les petites et moyennes communes. Ces OGM méconnus que la France produit par millions. Certains OGM se cachent-ils sous une fausse identité ?
Oui, d’après neuf associations qui ont adressé en début de semaine une lettre ouverte à Stéphane Le Foll. Entrainées par la Confédération paysanne, l’Union des apiculteurs de France et les Amis de la Terre, elles pointent du doigt le développement de variétés tolérantes aux herbicides (VTH), qu’elles considèrent être des « OGM cachés ». Le ministre de l’Agriculture leur a répondu que ces variétés ont subi des « mutations de gènes sans qu’il y ait de gènes rapportés » et ne sont donc pas des OGM. Terra eco décrypte cette querelle de langage lourde de conséquence. Comment sont produits ces « vrais-faux » OGM ? Par la mutagenèse, qui est une technique permettant les mutations génétiques. Mais les mutations pointées du doigt ne sont pas naturelles mais bien provoquées. Pourquoi en parle-t-on maintenant ? Ce n’est pas la première fois que les ONG signataires de la lettre alertent sur ces variétés artificiellement mutées.
S’agit-il d’OGM ? MON810 : le Conseil d'État a tranché, il va falloir agir ! Le Conseil d’État vient d’annuler la mesure d’urgence, prise par arrêté le 16 mars 2012 par le Gouvernement français, et qui suspendait la mise en culture du maïs MON 810.
Cette décision était malheureusement attendue depuis début juillet, date à laquelle le rapporteur public du Conseil d’État a jugé le moratoire sur le MON810 “trop sévère”. C’est la deuxième fois depuis 2008 que la France essuie une annulation d’une mesure de protection contre cet OGM. Le MON810, l’exception Cette décision du Conseil d’État intervient quelques jours après que Monsanto a décidé de retirer toutes ses demandes d’autorisation de culture d’OGM dans l’Union Européenne, et ce à l’exception notable du maïs MON810, seule plante OGM cultivée en Europe.
Le maïs MON810, modifié génétiquement pour résister à la pyrale du maïs et à la sésamie, produit une toxine insecticide, et n’a été évalué que de façon très insuffisante et contestable au niveau européen. Maïs OGM MON810 : le combat continue pour son interdiction ! Le Conseil d’Etat a annulé ce jeudi 1er août l’interdiction de cultiver en France le maïs transgénique MON810 de la multinationale des biotechnologies Monsanto.
EELV est consterné et scandalisé par cette décision, qui se fait au mépris de la santé humaine, de la santé animale et de l’environnement. OGM : le Conseil d'Etat lève l'interdiction de cultiver le maïs MON810. Le Conseil d’Etat a annulé jeudi l’interdiction de cultiver en France le maïs transgénique MON810 de la firme américaine Monsanto.
L’interdiction par le gouvernement de cultiver cet OGM en France avait déjà été suspendue en 2011 par la justice pour carence de fondement juridique, avant qu’un nouveau moratoire soit instauré en mars 2012. Les ministres de l'Agriculture et de l'Environnement ont aussitôt fait savoir qu'une décision serait prise «avant les prochains semis qui auront lieu entre avril et juin 2014» concernant l'avenir de ce maïs. Interrogé jeudi matin sur Europe 1, le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, avait déjà souligné que «le Conseil d’Etat n’est pas le décideur, ce n’est pas lui qui dit si on peut ou pas interdire les OGM, il ne s’appuie que sur la base juridique pour dire si elle est valide ou pas».
Vers une autorisation du maïs OGM en France. Les OGM bannis de l’aide au développement par la France… et par la Bolivie... Les OGM bannis de l’aide au développement par la France… et par la Bolivie… En France, l’AFD ne financera plus de projet lié aux OGM, affirme le ministre délégué chargé du développement, Pascal Canfin...
En Bolivie, Evo Morales expulse l’agence étasunienne en charge de la coopération internationale (USAID) qui fait la promotion des OGM dans de nombreux pays en développement. Début mai 2013, Pascal Canfin, ministre délégué chargé du développement (du parti EELV), a annoncé que « l’Agence française de développement (l’AFD [1]), s’engage à ne plus financer la recherche, l’achat, la promotion ou la multiplication de semences génétiquement modifiées ». Cette exclusion a été votée début mai par l’AFD qui établissait sa nouvelle stratégie en Afrique sub-saharienne en matière de sécurité alimentaire pour les trois prochaines années. La Commission européenne autorise la mise sur le marché d'aliments contenant des colzas OGM.
Une très mauvaise nouvelle pour la planète et les populations d'Europe et d'ailleurs, mais une très bonne affaire pour Monsanto et son pote Bayer.
On sera tenté de dire une de plus... Donc, les soit-disant.e.s élu.e.s du peuple qui siègent à Bruxelles et qui affament les populations d'Europe de par leurs choix et décisions politiques, stratégiques et économiques, au service du grand capital, de la mafia financière, des grands trusts pétrochimiques (Total, Shell, Chevron, etc), de l'industrie nucléaire (Areva, EDF, Bouygues, Vinci, Matra, Tepco, etc), et last but not least, des lobbies agro-industriels tels que Monsanto, autorisent la mise sur le marché de produits alimentaires issus des colzas génétiquement modifiés Ms8, Rf3 et Ms8 x Rf3 pour dix ans.
Bref, nous, nos gosses ne pouront plus bouffer sans s'empoisonner. Il reste à faire pousser nos légumes et réaliser tout nous-mêmes. Bayer, le Monsanto made in Europe profite des largesses des potes à Barroso. GRACE : un programme d’évaluation sanitaire des OGM sous influence ? OGM : le règlement sur l'évaluation sanitaire et environnementale enfin publié. Demandé depuis 2008 par l'ensemble des Etats membres de l'UE, le renforcement de l'évaluation sanitaire et environnementale des OGM avant autorisation de mise sur le marché deviendra réalité en décembre 2013. Le règlement d'exécution visant à renforcer l'évaluation des risques avant autorisation de mise sur le marché des OGM destinés à l'alimentation humaine et animale a été publié le 8 juin au Journal officiel de l'Union européenne.
Ce texte prévoit "la réalisation d'une évaluation scientifique des risques que la denrée alimentaire ou l'aliment pour animaux génétiquement modifiés peuvent faire peser sur la santé humaine et la santé animale et, le cas échéant, sur l'environnement".