Veille pédagogique - Académie Lafontaine - Technologie. La coopération – La Classe d'Histoire. Le tuteur / la tutrice Du latin tueri : protéger,garder,prendre soin de… C’est un élève responsable, sérieux, avec de bons résultats, qui travaille proprement.
Sa mission est d’aider les autres élèves dans le travail en classe. Cette aide ne cible pas un ou une élève en particulier, elle s’adresse à tous les élèves en ayant besoin. Pour devenir tuteur, il faut le demander à l’enseignant ou au Conseil de vie de classe: cela se fait donc sur la base du volontariat, un tutorat n’est jamais imposé. Une fois choisit par le Conseil, le tuteur reçoit une formation de tuteur durant une semaine de cours minimum. Le parrain / la marraine A la différence du tuteur qui aide tous les élèves de la classe de manière indifférenciée, un parrain (ou une marraine) est un tuteur “exclusif”. Comment devenir parrain ? C’est l’enseignant qui repère un élève en difficulté (propreté, sérieux dans le travail, problème de compréhension, …) et propose un parrainage.
Classes ouvertes. Après l’opération « cour ouverte » qui avait lancé un travail d’élaboration et de compréhension du REGLEMENT des espaces collectifs et qui vient de trouver un prolongement avec l’échelle de sanctions , La Rucklin se lance dans un dispositif expérimental « Classes ouvertes« .
Nous savons tous l’importance de l’implication parentale pour la réussite scolaire des enfants , la nécessité d’une confiance mutuelle entre la Famille et l’École, condition de l’alliance sur quelques valeurs éducatives partagées. Nous savons aussi que certains de nos parents, les plus éloignés de l’école, ne viennent qu’avec beaucoup de réticence rencontrer les enseignants et se retrouvent en difficulté, parfois en opposition, avec les exigences de l’école: histoire personnelle, peur du jugement, sentiment d’infériorité, urgences de vie, représentations mutuelles erronées, méfiance, indifférence, valeurs… verticalité. Nous questionnons (culpabilisons parfois ?) Classes ouvertes. Université d'automne du Snuipp : Viviane Bouysse : un temps pour tout… du temps pour apprendre.
Pour Viviane Bouysse, ce que le temps fait des enfants, des élèves, relève de la pédagogie générale.
Souvent on donne aux enseignants l’impression qu’il faut tout bouleverser. Il faudrait plutôt reconsidérer la question du temps, de son organisation. Les enseignants disent souvent « on court après le temps ! ». Il faut prendre cette question au sérieux, se demander ce que le temps fait aux enseignants et ce que les enseignants font de ce temps, en maternelle mais aussi à l'école élémentaire. Un temps pour tout… Des temps sont à prendre pour que tous les besoins des enfants soient satisfaits et pour assurer des conditions de bien être qui permettent de bien grandir. « A l’école maternelle, les temps consacrés à ces besoins ne sont pas tabous » note Viviane Bouysse. L'enfant, s'il a décidé quelque chose, s'y engage.
. … du temps pour apprendre L’adulte organise les apprentissages : les repères de progressivité renvoient à des normes. Alors ce temps, il faut l'organiser. Résultats de la recherche. Le cahier de réussites. Edit du 25/08/2015: Je remonte cet article pour vous proposer deux contributions.
La première de Petite Chouette, dont je vous encourage à aller consulter le blog L'école des petites chouettes en cliquant sur le lien! Il s'agit de la partie Découverte du Monde de la partie éducation aux premiers secours et de la partie Education civique, qui complètent merveilleusement mon cahier de réussites! Et la deuxième de Caroline qui vous propose le cahier de réussites modifié pour suivre la progression de Taoki. Elle a également ajouté des pastilles à colorier pour identifier les progrès des élèves! Cahier de réussites Taoki Un énorme merci les filles pour vos contributions! Article du 25/09/2013 Je vous propose ici un énooooorme travail dont je suis assez fière et que je suis vraiment heureuse d'avoir terminé! Voici le fichier en PDF et en version modifiable: Ble91-51.
Pour_une_ecole_accueillante_et_bienveillante-2.pdf. Jacques BERNARDIN - Refondation de l'école - école de la bienveillance - respect et exigence - conflit d'idées - auto-évaluation - autonomie de l'élève. Assises de l'éducation - St Etienne-du-Rouvray 20 novembre 2013 / INSA de Rouen Jacques BERNARDIN Président du GFEN Thème apparu lors de la consultation de l'été 2012, « l'école de la bienveillance » est repris depuis, que ce soit dans les propos ministériels comme dans les débats concernant la Refondation de l'école.
Celle-ci serait-elle affaire de bons sentiments ? Comme tous les termes consensuels, la « bienveillance » mérite qu'on s'y arrête afin d'en préciser les contours et les limites. I/ Pourquoi parle-t-on de « bienveillance » à l'heure de la Refondation ? Des constats inquiétants 1) Des résultats qui se dégradent - PISA (2000/2009) : en dix ans, on constate un recul des résultats avec un creusement des écarts entre élèves en réussite et élèves fragiles. 2) Sur fond d'inégalités qui se creusent.