De l'importance de la paresse. Télérama et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.
Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu.
L’otium du peuple. Des polémistes à la plume assassine s’attaquent sans scrupule au “dogme du travail”.
Pourquoi le dur labeur est-il autant valorisé, pourquoi la paresse et l’oisiveté sont-elles si décriées ? Nous suggérons ici la lecture de deux textes hautement subversifs appelant à la réduction du nombre d’heures travaillées. Quelles illusions dénoncent-ils, quelles croyances remettent-ils en cause ? M'enfin, c'est aux machines de travailler pour nous Il y a un mois, le président de la “valeur travail” perdait l’élection qui aurait pu lui offrir un second mandat à la tête de la République française. Au lieu de nous perdre en conjectures et d’ajouter au déferlement insensé d’élucubrations futiles, nous souhaitons nous montrer plus constructifs : nous allons nous-mêmes proposer au déjà retraité ce qu’il pourrait faire dans les années qui viennent. Or le premier sujet d’étude que nous recommandons à notre philosophe en herbe est bien celui qui l’a obsédé pendant toutes ces années : le travail. 1.
Paresse. Hamac et plage paradisiaque : des symboles de la vie paresseuse.
Approche historique[modifier | modifier le code] Conception religieuse, sociale, politique et économique[modifier | modifier le code] Asie du sud-est - Séries générales - juin 2000. SANSOT Pierre - Du bon usage de la lenteur.
"Avant-propos" Asie du sud-est - Séries générales - juin 2000 Les êtres lents n'avaient pas bonne réputation. On les disait empotés, on les prétendait maladroits même s'ils exécutaient des gestes difficiles. On les croyait lourdauds, même quand ils avançaient avec une certaine grâce. On les soupçonnait de ne pas mettre beaucoup de cœur à l'ouvrage. Paul Lafargue : Le droit à la paresse. Paul Lafargue : Le droit à la paresse. Bertrand Russell, Éloge de l’oisiveté. A propos de « Contre le travail » de Guiseppe Rensi, par Benoit Bohy-Bunel (Note de lecture)
Note de lecture.
Eloge de la paresse affinée. Éloge de la paresse. C’est le sujet du dossier de Philosophie Magazine : « Pourquoi sommes-nous si fatigués ?
Eloge de la paresse affinée. Dans l’opinion qui s’est forgée à son propos, la paresse a beaucoup gagné au discrédit croissant dont s’est grevé le travail. Longtemps érigé en vertu par la bourgeoisie, qui en tirait profit, et par les bureaucraties syndicales, auxquelles il assurait leur plus-value de pouvoir, l’abrutissement du labeur quotidien a fini par se faire reconnaître pour ce qu’il est : une alchimie involutive transformant en un savoir de plomb l’or de la richesse existentielle. Cependant, l’estime dont se prévaut la paresse n’en continue pas moins à souffrir de la relation de couple qui, dans la sotte assimilation des bêtes à ce que les humains ont de plus méprisable, persiste à accoler la cigale et la fourmi. Eloge de la paresse affinée par Raoul Vaneigem. Origine Dans l’opinion qui s’est forgée à son propos, la paresse a beaucoup gagné au discrédit croissant dont s’est grevé le travail.
Bob black - Travailler moi ? Jamais ! NUL NE DEVRAIT JAMAIS TRAVAILLER...MISÈRE DU SALARIATL'ESCLAVAGE VOLONTAIREPRODUIRE, POURRIR, MOURIRL'ABOLITION DU TRAVAILLA RÉVOLUTION LUDIQUENUL NE DEVRAIT JAMAIS TRAVAILLER.
Le travail est la source de toute misère, ou presque, dans ce monde. Tous les maux qui se peuvent nommer proviennent de ce que l'on travaille - ou de ce que l'on vit dans un monde voué au travail. Si nous voulons cesser de souffrir, il nous faut arrêter de travailler. Cela ne signifie nullement que nous devrions arrêter de nous activer.
Cela implique surtout d'avoir à créer un nouveau mode de voie fondé sur le jeu ; en d'autre mots, une révolution ludique. Le paresseux - Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT. Saint Amant : Le Paresseux (Commentaire composé) Saint Amant : Le paresseux (Commentaire composé) Introduction : Le sujet traité dans ce poème est mineur, peu commun et même étonnant puisque c'est l'un des 7 péchés capitaux alors qu'à cette époque, les artistes cherchaient à imiter les oeuvres antiques.
I - Les plaisirs de la paresse. La paresse - Ép. 7/8 - Les sept péchés capitaux. Paresse et acédie Nous l’avons dit dans notre épisode inaugural, la paresse comme péché capital apparaît bien tard.
Le péché originel, c’est l’acédie, cet état d’apathie, de lassitude du moine, d’inquiétude du cénobite face à l’apparente inutilité de sa vocation comme l’expliquent Carla Casagrande et Silvana Vecchio dans leur Histoire des péchés capitaux au Moyen Âge. L’acédie est donc d’abord un vice monastique, c’est la tristesse qui empêche toute contemplation selon Cassien et qui décline en oisiveté, somnolence, inquiétude, vagabondage de l’esprit, verbosité et curiosité. Faiblesse du corps pour les uns, faiblesse de l’âme pour les autres, l’acédie laïque est différente de la monastique : oisiveté, indolence, paresse, amertume, ennui sont plus visibles et plus blâmables que la tristesse du moine.
L’acédie se transforme alors en paresse et en mélancolie. L’oisiveté sauvera-t-elle le monde ? Avec l’essayiste britannique Tom Hodgkison, fondateur de la revue The Idler, « le paresseux », auteur de L’art d’être oisif dans un monde de dingue, best seller sorti en 2005 et enfin traduit en France en 2018, aux éditions Les Liens qui Libèrent, où il érige en principes tout ce que la société et la morale bannissent : sieste, grasse matinée, école buissonière, contemplation, mais aussi tabac et gueule de bois. Ce n’est pas impossible, de vivre une vie accomplie qui ne soit pas uniquement une vie de travail. (Tom Hodgkinson) Manifeste pour un retour au bien vivre, hors des contrôles horlogers et des mythes qui, depuis la révolution industrielle, relient le travail et une vie d'effort à la morale conventionnelle.
Eloge de la paresse, déjà traité par nombre d'auteurs, de Robert Louis Stevenson à Jerome K. Jerome, un appel à l'acceptation des simples plaisirs de la vie. "Le bonheur est dans la Chambre" extrait de Alexandre le bienheureux 1968. Même si nous ne faisons rien ou presque, la procrastination demeure. Nous vivons des jours passionnants. Oui, bien sur, je ne suis pas dupe : je sais bien que derrière ce coté passionnant, il y a surtout un coté effrayant, mais celui-ci, il est tellement évident que je n'ai pas besoin de développer pour vous en convaincre. 2,6 milliards d'individus à l'arrêt Mais en dehors de la menace qui rode, pour la première fois, nous voilà pour une bonne part d'entre nous complètement à l'arrêt, près de 2,6 milliards d'individus, puisque l'Inde vient de rejoindre le mouvement – ou plutôt l'absence de mouvement.
D'ailleurs la citation la plus citée du moment, la plus usée donc, est celle où Pascal explique que « Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans leur chambre ». Effectivement, si nous étions plus contemplatif, cette période serait probablement plus facile à passer. Eloge et décri de la paresse : immémoriaux... Christelle Pissavy-Yvernault : "Gaston Lagaffe est un lanceur d’alerte humaniste et idéaliste" Aujourd'hui, dans Paso Doble : Christelle Pissavy-Yvernault, conseillère scientifique de l’exposition Gaston : au-delà de Lagaffe, du 7 décembre au 10 avril 2017 à la Bibliothèque publique d’information, à Paris. Présentation de l'exposition Apparu pour la première fois le 28 février 1957 dans les pages du journal de Spirou, Gaston Lagaffe fête ses soixante ans en 2017. De la servitude moderne.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De la servitude moderne est un livre écrit par Jean-François Brient[1] en 2007[2] et publié en 2009 en Colombie[3]. En mai 2009, il bénéficie d'une adaptation cinématographique sous forme de film documentaire[4] monté par Victor León Fuentes. Une apologie des oisifs. Sortir du capitalisme - Le refus du travail dans l’Italie révoltée des années 60-70 – entretien avec Oreste Scalzone. Le refus du travail dans l’Italie révoltée des années 60-70 – entretien avec Oreste Scalzone 40 ans après l’insurrection de Bologne des 11-12 mars 1977 (et sa reconquête par des chars d’assaut), une histoire du refus du travail dans l’Italie révoltée des années 1960-1970 – avec Oreste Scalzone, protagoniste central de ces années-là. Dans cette émission consacrée à un aspect central des théories critiques et des luttes autonomes de l’Italie révoltée des années 1960-70, Oreste Scalzone nous offre d’abord un aperçu des théories critiques du travail ("refus du travail" et "lutte contre le travail") développées au sein de l'opéraïsme [1ère partie, 30 minutes].
Dans une seconde partie, il évoque quelques pratiques de « l’anti-travail » de l’Autonomie italienne ("auto-réductions", grèves des loyers, etc.) et parle de leur vision non-programmatique du communisme [2ème partie, 30 minutes]. Audio Player 1ère partie 2ème partie (disponible à partir du Lundi 13/03 au soir) Liens. Le chômage ? Une bonne nouvelle ! - Là-bas si j'y suis. Pour accéder à tous nos contenus, vous devez être abonné… L’abonnement c’est maintenant !
(et c’est très simple) Grâce aux Abonnés Modestes et Géniaux, une partie du site reste accessible à tout le monde : certains nouveaux contenus sont en accès libre, l’accès aux archives des émissions (créé par un auditeur en 2003) reste gratuit, de même que l’espace réservé aux Repaires de Là-bas. Mais l’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité.
« Je serais tellement plus utile au chômage. Notre société marche sur la tête. Un seul objectif : le plein emploi. Sans se demander si les activités créées sont utiles à la société, ou si elles sont nuisibles. Le droit à la paresse. Le manifeste des chômeurs heureux. Ce qui suit est une entorse aux principes que les Chômeurs Heureux s’étaient donnés jusqu’ici, eux qui ne prennent pas volontiers les choses par la théorie.
Ils lui préfèrent de beaucoup la propagande par le fait, le méfait et surtout le non-fait. D’ailleurs, la recherche dans le domaine du chômage heureux n’a pas encore abouti à des résultats décisifs et susceptibles d’être présentés ici. Mais quelques explications sont pourtant nécessaires, car la rumeur, qui a déjà assuré aux Chômeurs Heureux une sorte de notoriété secrète, n’est pas exempte de malentendus.
Et ceci sur des points d’importance, à savoir le bonheur, et aussi le chômage. Déjà parce qu’il est question de bonheur, la chose devient immédiatement suspecte. Paul Watzlawick a déjà traité de ce genre d’arguments dans Faites vous-mêmes votre malheur : Nos amies les miettes - Collectif d’Agitation pour un Revenu Garanti Optimal (CARGO), sonore. 4 (bonnes) raisons philosophiques d’être fainéant. « Alexandre le bienheureux », apologie de la décroissance.