Comprendre comment le cerveau fait ses choix. Imaginez que vous venez d’actionner le mécanisme d’un briquet.
S’il ne s’allume pas, vous allez spontanément réessayer. Si, après la deuxième tentative, il n’y a toujours pas d’étincelle, vous recommencerez encore et encore, jusqu’à ce qu’une flamme jaillisse. À ce moment, vous saurez que votre briquet fonctionne. THERER2006changer. 1 La Theorie de l'engagement. (ou petit traité de manipulation) Nous allons essayer de voir les différentes définitions qui existent sur la théorie de l'engagement.
Il faut savoir que cette théorie existait déjà dans le domaine philosophique, bien avant sa théorisation psychologique. En philosophie, Peter Kemp définit "l'engagement comme un attachement, une action par laquelle l'homme se lie à lui-même". Colloque « Pour une refondation des enseignements de communication des organisations » - La psychologie de l'engagement ou l'art d'obtenir sans imposer. Robert-Vincent Joule, professeur des universités, directeur de la formation doctorale de psychologie, université de Provence Ce document emprunte l'essentiel à des textes déjà publiés, en particulier aux deux ouvrages de Joule et Beauvois 1 .
Comment s'y prendre pour changer les mentalités et les comportements des gens ? Si cette question n'est évidemment pas neuve, son actualité reste brûlante. Technique de manipulation : La réactance psychologique. Ravi de vous retrouver dans la rubrique « manipulation » !
Je tiens à partager avec vous une technique de manipulation originale, basée sur la réactance psychologique. Avant tout, définition… « La théorie de la réactance du psychologue Jack Brehm (1981) explique comment une personne dont la liberté personnelle est réduite ou menacée tente de vouloir retrouver une certaine marge de manœuvre. » 1) Quelques explications Chose que nous avons absolument en horreur : Perdre une liberté.
Nous déclenchons une réponse automatique lorsque nous sentons qu’elle est contrariée. Exemple avec une étude réalisée en Virginie sur des petits garçons âgés de 24 mois : « Accompagné de leur mère, ces enfants étaient conduis dans une pièce où se trouvaient deux jouets équitablement attractifs. Engagement (psychologie sociale) L'engagement peut être considéré comme une forme radicale de dissonance cognitive.
Le processus d'engagement peut se poursuivre dans un engrenage (escalation of commitment, « escalade d'engagement ») souvent mis en évidence dans le cadre des recherches sur la prise de décision dans les organisations. Dans tous les cas, c'est la situation qui détermine le comportement et non pas les attitudes ou la personnalité des participants à l'expérience. Ces derniers peuvent cependant rationaliser ou justifier ce comportement en l'attribuant à leurs opinions ou à leur volonté. NudgeFrance. THINKING, FAST AND SLOW BY DANIEL KAHNEMAN. Changement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le changement désigne le passage d'un état à un autre. L'on parlera, selon la nature, la durée et l'intensité de ce passage, d'évolution, de révolution, de transformation, de métamorphose, de modification, de mutation (ie transformation profonde et durable)... Il s'exerce dans des domaines très divers et à des niveaux très divers. Il faut distinguer le changement endogène dû à des causes internes (par exemple; les révolutions politiques), et le changement exogène dû à des causes externes (par exemple, la révolution du téléphone mobile).
Le changement suscite chez les humains les réactions les plus diverses, allant de l'espoir le plus fou (thème de l'Apocalypse) jusqu'à la crainte, voire la phobie[réf. souhaitée]. Les causes théoriques du changement par auteurs[modifier | modifier le code] Nous listerons ici uniquement les auteurs ayant une forte notoriété dont la notion de changement est au centre de leurs œuvres. Dynamique de groupe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La dynamique de groupe est l'ensemble des phénomènes, mécanismes et processus psychiques et sociologiques qui émergent et se développent dans les petits groupes sociaux appelés aussi groupes restreints, de 4 à environ 20 individus durant leur activité en commun. Plus précisément, cette expression renvoie aux pratiques suivantes : Pensée de groupe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La pensée de groupe (en anglais groupthink) est un phénomène psycho-sociologique de pseudo-consensus survenant parfois lorsqu'un groupe se réunit pour penser et prendre une décision : le groupe se donne l'illusion de penser un problème et de parvenir à une décision bonne, alors qu'en réalité la pensée individuelle et collective est paralysée par des mécanismes nocifs de dynamique de groupe. (Note : pour clarifier, on pourrait donc nommer cela non-pensée de groupe.) Le phénomène a été décrit par William H. Whyte dans Fortune en 1952. Irving Janis, en 1972, approfondit et détaille ensuite ce concept qui décrit le processus selon lequel les individus d'un groupe ont tendance (plutôt considérée comme péjorative) à rechercher prioritairement une forme d'accord global plutôt qu'à appréhender de manière réaliste la situation.
Influence minoritaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’influence minoritaire (également appelé influence sociale minoritaire ou innovation) est un processus par lequel les opinions minoritaires, les sources qui se posent comme déviantes, exercent une influence[1]. Vaidis%20&%20Halimi Falkowicz%20(2007).%20la%20dissonance%20cognitive.