Arcade City, le Uber-killer de la blockchain ? – Blockchain France. Un service de covoiturage décentralisé fonctionnant sur Ethereum Arcade City est une plateforme ouverte où conducteurs et passagers peuvent être mis en relation directement, sans intermédiaire.
L’idée est de contrer la centralisation des prix fixés par Uber et les 20% de commissions prélevées sur chaque trajet. Un mois après le lancement d’Arcade City mi-février, plus de 1000 trajets ont été effectués dans une centaine de villes aux Etats-Unis (dans 27 Etats différents), ainsi qu’en Australie. En novembre dernier, nous vous parlions du projet de La’Zooz ; Arcade City est un projet similaire qui vise lui aussi à utiliser la blockchain pour désintermédier les plateformes de type Uber, mais qui est à la fois bien plus récent que La’Zooz et déjà largement plus avancé. A l’origine d’Arcade City : une réglementation municipale anti-Uber L’objectif n°1 : libérer les chauffeurs de la fixation unilatérale des prix « Le talon d’Achille d’Uber et de Lyft est leur management centralisé des prix.
L'accès au Systèmes d'Informations à distance. Il dessine en 3D, soude, découpe, pyrograve : le stylo dont rêvaient les makers. (Crédit: 3Dsimo) On connaissait les stylos qui impriment en 3D.
De leur pointe sort un filament de plastique, qui durcit instantanément et permet de dessiner en trois dimensions toutes les formes imaginables. Après le succès de son premier crayon, l'entreprise tchèque 3Dsimo revient avec une nouvelle version baptisée 3Dsimo Mini. Outre sa physionomie compacte, cette version dispose de nouvelles fonctionnalités. En plus d'extruder des filaments plastiques de différentes natures (phosphorescent, flexible, transparent...), ce crayon permet également de souder, de découper du plastique ou de la mousse, et même de pyrograver vos créations.
"À l'avenir, nous ajouterons d'autres fonctionnalités au crayon, comme une perceuse, ce qui en fera un outil pratique pour tous les créatifs, quel que soit leur art. " explique son concepteur, David Paskevico, à 3ders.org. Lancée le 28 août, la campagne de financement de cet objet a déjà atteint près de trois fois son objectif initial. Libération - «Imprimer» des logements sur Mars ? Pas si simple. Vivre sur Mars, une drôle d’idée ?
Une équipe française menée par la start-up Fabulous a dévoilé dimanche un projet de construction d’habitats sur la planète rouge s’appuyant sur les techniques d’impression 3D. Est-ce bien sérieux ? Notre décryptage. Pourquoi Mars ? On se souvient du temps où Jacques Cheminade, alors candidat à l’élection présidentielle de 2012, passait pour un doux rêveur (au mieux) en appelant à coloniser Mars. Le milliardaire américain Elon Musk, patron des lanceurs spatiaux Space X et initiateur du projet Hyperloop, espère quant à lui y parvenir d’ici une bonne dizaine d’années, éventuellement en collaborant avec la Nasa. Pourquoi l’impression 3D ? Parce que tous ces projets se heurtent pour le moment à un problème majeur : transporter jusqu’à Mars le matériel nécessaire à l’établissement d’une base, à un coût et dans un espace raisonnables.
LIRE AUSSI Imprimante 3D, machine avant Comment Fabulous & Co veulent-ils s’y prendre ? Libération - Imprimante 3D, machine avant. Imprimé, c’est pesé !
Hier une prothèse de main comme celle reçue par le petit Maxence, en Isère, et demain, des maisons, des vêtements et des pizzas. Mois après mois, les possibilités offertes par l’impression 3D, cette technique de fabrication par fusion de couches successives de matériaux, ne cessent de nous surprendre. Comme les premières prothèses dentaires personnalisées paraissent loin… Aujourd’hui, on imprime avec du bois, du verre, des cellules et même du fromage - c’est plus facile quand il est américain paraît-il.
Des objets aux formes toujours plus complexes et personnalisables à souhait. Pour obtenir des matières colorées, transparentes ou conductives. On conçoit même des imprimantes capables de savoir ce qu’elles impriment et d’apprendre de leurs erreurs. Santé : une médecine perso Dira-t-on bientôt «se faire imprimer» un nouveau membre plutôt que se le faire refaire ? En attendant, les «makers» devront se contenter de médicaments. Construction : le prêt-à-monter.