Dix Lunes. Carnets d'un passeur. Ni sorcière ni fée... mais plutôt sage-femme. Ella et valentin. Maïa, sage femme. Les archives d'une sage-femme. Gas And Air. Le renforcement du rôle des sages-femmes réveille la bataille avec les gynécologues. Alors que les sages-femmes pourront bientôt pratiquer des IVG médicamenteuses, les gynécologues dénoncent un risque pour la « surveillance médicale des femmes » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Manon Rescan C’est une vieille bataille, dans laquelle certaines organisations de sages-femmes hésitent à s’engager.
Mardi 28 juin, six organisations de gynécologues se sont inquiétées, dans un communiqué, de récentes mesures gouvernementales en faveur de la prise en charge des patientes directement par des sages-femmes qui, selon ces médecins, « nuisent à la surveillance médicale des femmes ». Mieux connues pour leur rôle lors des accouchements, les sages-femmes pourront bientôt, à la faveur d’un décret paru le 5 juin, procéder à des interruptions volontaires de grossesse (IVG) médicamenteuses (possibles jusqu’à sept semaines d’aménorrhée). En parallèle, le ministère de la santé a lancé le 22 juin une campagne de communication pour mieux faire connaître l’éventail de leur domaine d’action.
Profession sage-femme. Les 180 sages-femmes du Québec souhaitent mettre en valeur une chose essentielle à leurs yeux : la femme doit être au centre des décisions au moment de son accouchement et s’approprier pleinement ce qui est un des plus beaux moments de la vie, celui de donner naissance.
Les sages-femmes sont des professionnelles de la santé formées et responsables des soins et des services durant toute la grossesse, l’accouchement et la période postnatale pour la mère et le nouveau-né, jusqu’à six semaines après la naissance. Elles ont une formation universitaire de quatre ans et demi donnée à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Les sages-femmes ne suivent que les femmes en bonne santé qui ont des grossesses normales. « Nous sommes encore très peu connues au Québec, même si les sages-femmes ont toujours existé. La profession est légalisée depuis 1999 et reconnue par le ministère de la Santé », explique Claudia Faille, présidente du Regroupement Les Sages-femmes du Québec. « On y va petit à petit.
Les sages-femmes, trop souvent méprisées. 10 faits sur la profession de sage-femme. Juillet 2015 OMS/Chris Black Les sages-femmes jouent un rôle essentiel pour que la grossesse et l’accouchement soient sécurisés, que les nourrissons soient en bonne santé ainsi qu'en matière de planification familiale.
Dans le monde, environ 287 000 femmes meurent chaque année de complications liées à la grossesse et à l’accouchement, 2,9 millions de nouveaux-nés meurent au cours du premier mois de vie et 2,6 millions sont mort-nés. La plupart de ces décès en grande partie évitables surviennent dans des pays à faible revenu et dans les zones rurales et pauvres. L’OMS soutient les efforts des pays pour faire en sorte que chaque femme et chaque nouveau-né reçoivent les meilleurs soins possibles. Les sages-femmes: immémoriales.
Phanarète et Phaestis….Tels étaient les noms des mères, respectivement, de Socrate et d’Aristote, et elles avaient un point commun : l’une et l’autre exerçaient le beau métier de sage-femme.
Un beau métier, puisque son lot est de mettre au monde les petites d’hommes, les petites et les petites, mais un métier qui, au long des siècles, a été beaucoup bousculé, parfois méprisé, souvent relégué dans une situation inférieure. En 2013, en France, a été lancée une grève des sages-femmes qui a duré plus d’un an, destinée à obtenir une amélioration de la place de la profession dans le système de santé et rappelant par là l’incertitude d’une situation qui m’a semblé mériter d’être éclaircie dans le long terme. Car il ne s’agit pas seulement d’évolutions médicales et de préoccupation démographiques. . - Chanson « Le retour des cigognes », interprétée par Lina MARGY en 1947. Soins pendant l’accouchement (OMS) Recommandations sur les soins intrapartum pour une expérience positive de l’accouchement (OMS) Les soins liés à un accouchement normal : guide pratique (OMS)
Accouchement normal : accompagnement de la physiologie et interventions médicales (HAS) Accueil du nouveau-né en salle de naissance (HAS) Cette fiche mémo porte sur la prise en charge immédiate du nouveau-né, né à terme, dans un contexte de liquide amniotique clair.
Elle est issue de la recommandation de bonne pratique : « Accouchement normal : accompagnement de la physiologie et interventions médicales » de décembre 2017. Les recommandations proposées visent à améliorer la qualité et la sécurité des soins du nouveau-né dans une perspective de prévention et de réduction des morbidités et de la mortalité infantiles. Ces recommandations concernent la prise en charge immédiate du nouveau-né, né à terme, dans un contexte de liquide amniotique clair. Analyse des recommandations de la HAS. Et Madame Séverine Guillard-Darque de PaMaNa, sont en désaccord, à juste titre, avec la définition de la bien- traitance de la HAS et sur un élément fondamental, le respect de la décision maternelle et parentale.
Les représentantes des usagères préfèrent : « La bientraitance se traduit par la qualité de la relation avec la femme et l’accompagnant, la prise en compte des préférences et des attentes exprimées par la femme, au même titre que les données de la science et l’expérience clinique des soignants ». L’accompagnement global par les sages-femmes. 1 « Lorsque la grossesse se déroule sans situations à risque ou que ces situations relèvent d’un faib (...) 2 Cf. « Carnet de santé maternité » délivré par le ministère de la santé, « Synthèse des recommandati (...) 1En France, « le moment de la naissance fait l’objet d’un encadrement institutionnel intense » (Camus et al., 2011 :1).
En conséquence, le calendrier des consultations recommandées aux femmes pendant leur grossesse est particulièrement dense. Au minimum, le suivi d’une grossesse considérée à « bas risque »1 comporte sept consultations prénatales, un entretien prénatal, trois échographies, sept séances de préparation à la naissance et à la parentalité2 et un rendez-vous anesthésique. À chaque consultation, s’ajoute une prise de sang en vue d’un bilan sérologique et certains établissements exigent également une visite auprès d’un obstétricien du service pour l’ouverture du dossier de maternité. Accompagner la naissance. La grossesse et l’accouchement sont aujourd’hui hautement médicalisés, ponctués de visites régulières chez les professionnels, marqués par une surveillance technique poussée et par un processus éducatif spécifique des futurs parents.
Or, les débats autour de la naissance sont révélateurs de tensions plus larges qui traversent les questionnements sur la place de la médecine dans la société. Quel degré de médicalisation est susceptible de répondre aux attentes profanes ? Comment réguler les activités professionnelles, en particulier autour de la frontière ténue entre interventions bénéfiques et iatrogènes ? Déconstruire le paradigme obstétrical : revendiquer une science sage-femme authentique. Centre de ressources FORMAGYN. The other uproar in Germany: the midwife crisis. Before the recent historical win by Germany in the World Cup Championship and the riotous parties in the streets, there were other strong magnets to Berlin by young outsiders.
A new generation of international women have been flocking to Berlin for its green, woman-centric, and family friendly culture. Mother & midwife Professor Hannah Dahlen shares stories of midwifery, birth & loss. State of the World’s Midwifery 2014. No. of pages: 228 Publication date: 2014.
Birth in Europe in the 21st century. The Lancet: Midwifery. Midwifery and human rights: a practitioner's guide. Perinatal Mental Health Toolkit. Up to one in five women and one in ten men are affected by mental health problems during pregnancy and the first year after birth. Unfortunately, only 50% of these are diagnosed. Without appropriate treatment, the negative impact of mental health problems during the perinatal period is enormous and can have long-lasting consequences on not only women, but their partners and children too. However, this is not inevitable. When problems are diagnosed early and treatment offered promptly, these effects can be mitigated.
Informed consent and refusal in obstetrics: A practical ethical guide. Approaches to Limit Intervention During Labor and Birth - ACOG. Recommendations and Conclusions The American College of Obstetricians and Gynecologists (the College) makes the following recommendations and conclusions: For a woman who is at term in spontaneous labor with a fetus in vertex presentation, labor management may be individualized (depending on maternal and fetal condition and risks) to include techniques such as intermittent auscultation and nonpharmacologic methods of pain relief.
Admission to labor and delivery may be delayed for women in the latent phase of labor when their status and their fetuses’ status are reassuring. The women can be offered frequent contact and support, as well as nonpharmacologic pain management measures. When women are observed or admitted for pain or fatigue in latent labor, techniques such as education and support, oral hydration, positions of comfort, and nonpharmacologic pain management techniques such as massage or water immersion may be beneficial.
Safe Prevention of the Primary Cesarean Delivery - ACOG. This document was developed jointly by the American College of Obstetricians and Gynecologists (the College) and the Society for Maternal-Fetal Medicine with the assistance of Aaron B. Caughey, MD, PhD; Alison G. Cahill, MD, MSCI; Jeanne-Marie Guise, MD, MPH; and Dwight J. Rouse, MD, MSPH. A equip midwifery supervision model. Janet Balaskas: campaigner for active birth movement. Thirty years ago, a rally in Britain forced the medical profession to rethink how women should give birth.
On 4 April 1982 up to 6,000 people travelled from across the country to Hampstead Heath in north London to defend a woman's right to give birth in any position she chose. It was a key moment in what became known as the active birth movement. The action was prompted by a dispute at Hampstead's Royal Free Hospital, when one woman tried to give birth on all fours. Evidence based maternity care.