Pourquoi manger bio ?, par Claire Lecœuvre (Le Monde diplomatique, mars 2018) L’agriculture biologique rassemble des pratiques visant à favoriser la préservation des écosystèmes et l’équité envers les agriculteurs.
C’est surtout l’absence de pesticides de synthèse qui réduit considérablement son impact sur l’environnement et la santé. Fabriquées en laboratoire, les molécules qui composent les produits phytosanitaires ont accompagné la progression des rendements agricoles sur toute la planète. Mais, depuis quelques décennies, une prise de conscience grandit face aux effets de l’usage intensif de produits chimiques toujours plus variés. Cultiver sa salade sur le toit quand on habite en ville, cela n'a que des avantages. Des scientifiques de l’Inra et d’AgroParisTech ont installé un potager, à Paris, sur le toit d'un immeuble.
Après cinq ans d'expérience, ils ont non seulement réussi à faire pousser des salades, mais aussi à recycler les déchets urbains et retenir les eaux de pluies. Cultiver ses légumes en ville, c'est possible et ce n'est pas qu'une mode. Même plus besoin de jardin partagé, des chercheurs de l'Institut national de recherche agronomique (Inra) et d’AgroParisTech ont trouvé la parade : faire pousser des salades sur les toits.
L'expérience a débuté en 2012, autour de quatre points : "Quelle culture, sur quel substrat, avec quelle production et quel service écosystémique rendu", détaille Christine Aubry, chercheur à l'Inra et professeur-consultant à AgroParisTech. Valoriser les déchets de la ville. 2050 : l'agriculture du futur sera bouleversée par les drones. L'agroécologie pour lutter contre le changement climatique et la malnutrition. La faim du monde (4/4) : Nourrir 10 milliards d’êtres humains : le défi du siècle. En 2008, la hausse des prix des denrées alimentaires provoquait une série de manifestations et grèves sans précédent d’est en ouest sur le continent africain mais aussi en Asie, en Indonésie notamment.
Secrets d'info. Le Brésil prend un tournant négatif sur l’environnement et la déforestation. São Paulo (Brésil), correspondance La plus grande puissance économique d’Amérique du Sud a pour habitude de se présenter comme un « bon élève » lorsqu’il s’agit de lutte pour le climat.
En effet, le Brésil n’est responsable que de 2,48 % des émissions globales (se plaçant comme le 7e plus grand émetteur de CO2 de la planète), des chiffres plus flatteurs que ceux des autres puissances, telles que la Chine, les Etats-Unis ou l’Union européenne. Le nombre de fermes "bio" explose. Quand le monde sera privé de chocolat. What the World Eats. This interactive was built in conjunction with National Geographic’s Future of Food series.
The data was sourced from FAOSTAT. Values reflect domestic utilization for food consumption in each country or region from 1961 to 2011. Food groupings and units of measure vary slightly from those depicted on the FAOSTAT site. Download the data from here. Values for China refer to FAO’s "China, mainland. " *Measures for Russia preceding 1992 are represented with U.S.S.R. data. **"Pulses" refers to lentils, beans, and peas. This project was made possible with support from the Grace Communications Foundation. Built and designed by Fathom Information Design © National Geographic Magazine. 'Sde - Géo - Nourrir les hommes' in Des liens en Hist-Géo. Syrie, Yémen, Nigeria: agriculture décimée, la faim comme arme de guerre. TH2 - CH1 - Nourrir les hommes. Nourrir l’humanité sans détruire de nouvelles forêts. L’agriculture est la principale cause de déforestation dans le monde ; pourtant il est possible de nourrir l’humanité sans détruire de nouvelles forêts, démontre l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), dans un rapport sur la situation des forêts du monde publié lundi 18 juillet.
Entre 1990 et 2015, la superficie forestière mondiale a diminué de 129 millions d’hectares (3,1 %) et compte aujourd’hui un peu moins de 4 milliards d’hectares. Productions agricoles en 2014 et leur dynamique depuis 1990. Où en est la faim dans le monde aujourd'hui ? La 3ème révolution agricole du numérique et de la connaissance.
Ce mardi 26 Janvier 2016, le thème de la soirée est la 3ème révolution agricole du numérique et de la connaissance.
Michel Sivignon nous présente Rémi Dumery, « cultivateur expérimentateur en agriculture sociétale » et grand fan des nouvelles technologies et de l’innovation. Rémi Dumery possède une exploitation de 130 ha en Beauce, au Sud-ouest de Paris, à Boulay-les-Barres. Il cultive des céréales, mais aussi des oléagineux et des betteraves. L’agriculteur beauceron aime parler de son métier et de sa manière de travailler. Passionné d’informatique, Rémi Dumery aime surfer sur internet et tweeter ses followers sur les réseaux sociaux : c’est, pour lui, une façon de transmettre à un large public ses connaissances et ses savoir-faire en agriculture.
Car l’homme moderne est plein de paradoxes, nous explique Michel Sivignon. COMMENT NOURRIR L'HUMANITÉ AU XXIème SIÈCLE ? L'humain dans la biodiversité, conférence de Gilles Boeuf, au Cirad.