GRCF 12 Préparer la négociation des contrats. Matrice de Kraljic : quelle stratégie pour quels fournisseurs ? La matrice de Kraljic est une méthode qui permet d’analyser et de catégoriser son portefeuille achats afin d’orienter sa stratégie.
Quatre grands types de fournisseurs se distinguent. Le principe de la matrice de Kraljic Cette méthode est théorisée pour la toute première fois par Peter Kraljic, directeur de McKinsey & Company au bureau de Düsseldorf, dans un article publié sur la Harvard Business Review en 1983. Derrière cette matrice, se trouve une méthode de classification du portefeuille achats des entreprises. Cette dernière permet d’analyser le poids stratégique des différentes familles d’achats, au sein de l’entreprise et au regard du marché, pour optimiser sa stratégie achats. La méthode consiste à classer les achats selon deux principaux critères : - L’importance des familles d’achats en interne : dans un premier temps, l’entreprise va regarder le volume de dépenses, les coûts totaux d’acquisition, la valeur ajoutée, etc. Une première cartographie globale.
CENTRALES D'ACHAT : Comment se négocient les prix ? (23) VENTE : Les négociations entre fournisseurs et distributeurs. NÉGOCIATION : Étude de cas entre un fournisseur et un distributeur. Amendement Moreau : vers la fin de la LME ?... Délais de paiement: les grands groupes mettent les PME en péril. Quelle grande entreprise respecte ses fournisseurs ?
Un classement, initié par CroissancePlus et la médiation inter-entreprises, tenant compte du respect des modalités des contrats passés, du respect des délais de paiement ou encore de la qualité du dialogue entre client et fournisseur et publié jeudi 21 janvier, décerne bons et mauvais points. Si "21% des fournisseurs perçoivent une amélioration de la qualité de leurs relations avec les grandes entreprises", l'étude note toutefois que "45% des PME interrogées constatent une hausse des délais de règlement depuis le début 2015". Des entreprises comme Numericable-SFR, déjà dernière du classement en 2013, Bouygues Telecom, Valeo et Vinci "stagnent" parmi les moins bien classées et continuent de ne pas respecter leurs fournisseurs.
Parmi les sociétés en progrès, Pierre Fabre, Lafarge et Servier gagnent 14, 9 et 13 places et se classent de la 2e à la 4e position. TRIBUNE. "Guerre des prix dans la grande distribution : il faut signer l'armistice!" 19h38 , le 4 février 2019, modifié à 20h15 , le 4 février 2019 "Dans la guerre des prix que se livrent depuis des années les mastodontes de la grande distribution en France, les premières victimes ne sont pas forcément celles que l’on croit.
Lorsque certains grands distributeurs prétendent redonner du pouvoir d’achat aux Français par une politique de prix bas toujours plus agressive sur une poignée de produits symboliques, c’est en réalité à un véritable dumping agricole auquel ils se livrent. Le problème, c’est que leurs concurrents se trouvent dans l’obligation de leur emboîter le pas sous peine de fermer boutique et c’est l’ensemble de la filière agricole française qui souffre.
En vendant à perte des produits phares des grandes marques fabriqués par des géants de l'agroalimentaire, autrement dit 'les produits d’appel', les grands distributeurs espèrent attirer le consommateur chez eux plutôt que chez un concurrent. Nous refusons cette prise en otage du consommateur. Le bio, nouvelle victime des négociations commerciales / À la une. On la croyait préservée de la guerre des prix menée entre enseignes, pourtant la filière bio subit cette pression de plein fouet.
C’est le constat que fait le Synabio, qui représente plus de 200 entreprises, dont trois-quarts de fabricants. Pour la première fois, ce réseau, présidé depuis octobre 2018 par Jean-Marc Lévêque, directeur développement durable de Triballat-Noyal, a mis en place un observatoire des négociations commerciales 2019. Le sondage a été effectué sur un échantillon d’une quarantaine d’entreprises, parmi les plus engagées en grande distribution. La hausse des matières premières non prise en compte Les résultats montrent que 28 % d’entre elles se sont vues réclamer une baisse de tarif avant toute discussion.
A cela s’ajoutent les pénalités imposées par les enseignes en cas de retard ou de rupture d’approvisionnement. Le bio et le conventionnel logés à la même enseigne Le Synabio espère que les distributeurs vont entendre le signal d'alarme.