Une publicité pour un hamburger montrant un homme frappant une femme fait scandale en Belgique. Elle n’a pas rapporté le bon hamburger à son cher et tendre et reçoit, dès lors, un coup de poing en plein visage : cette case de bande dessinée, imaginée pour une campagne publicitaire, a suscité un tollé en Belgique.
Visiblement hermétique tant au phénomène #metoo qu’aux informations sur le féminicide (38 cas en Belgique, l’an dernier) et les violences faites aux femmes, la société néerlandaise qui produit le Bicky, produit-phare des friteries belges, n’avait, semble-t-il, pas mesuré l’ampleur de la colère qu’allait déclencher son image. Celle d’un homme en costume et à la mâchoire carrée s’exclamant « Sérieux ? Un faux Bicky ! » et expédiant au tapis une jeune femme. GoodLife Foods, une société sise à Breda, s’est paraît-il entourée d’une agence dont elle préfère taire le nom pour cette campagne désastreuse. Et tout le monde s'en fout #SPÉCIAL - La culture du viol -
(20+) Agression sexuelle : six mois avec sursis requis à l'encontre du trompettiste Ibrahim Maalouf. 22h30, vendredi au tribunal de grande instance de Créteil.
Les locaux sont quasiment vides, les couloirs déjà éteints. Seule la onzième chambre correctionnelle est encore éveillée : Ibrahim Maalouf, le célèbre trompettiste franco-libanais de 38 ans, attend son jugement. Il est accusé d’avoir agressé sexuellement une mineure de 14 ans durant la semaine du 9 au 13 décembre 2013. Consent and refusal are not the only talking points in sex. Communication is essential to ethical sex.
Typically, our public discussions focus on only one narrow kind of communication: requests for sex followed by consent or refusal. But notice that we use language and communication in a wide variety of ways in negotiating sex. We flirt and rebuff, express curiosity and repulsion, and articulate fantasies. Ideally, we talk about what kind of sex we want to have, involving which activities, and what we like and don’t like. We settle whether or not we are going to have sex at all, and when we want to stop. In this essay I explore the language of sexual negotiation. For instance, consider the question: ‘Can you take the train to New York?’
All speech acts perform some sort of action, with some set of social effects. Different speech acts with different force can enable or undermine ethical, pleasurable, autonomous sex. Updates on everything new at Aeon. How does our focus on consent limit us? Association Viol-Secours. Pourquoi les violences sexuelles ?
On peut débattre longuement de l'origine de ces violences et de leur persistance. Nous sommes convaincues qu'elles ne sont ni une fatalité, ni le fait d'une prétendue "nature masculine", mais qu'elles ont des origines sociales et culturelles. L'éducation continue encore à être fondée sur des stéréotypes sexistes. Les petites filles sont, en général, éduquées à être douces, plaisantes, altruistes, dépendantes, passives, tandis que les petits garçons sont encouragés à être actifs, autonomes, conquérants, dominateurs, à imposer leur volonté à autrui et surtout aux filles, puis aux femmes.
C'est là que se construisent les rapports de domination qui caractérisent les relations entre les femmes et les hommes. Les comportements violents des hommes à l'égard des femmes découlent de ces rapports et, par un effet de cercle vicieux, les entretiennent. La dévalorisation du féminin est présente dans toutes les représentations sociales. Idées reçues… à combattre. (2) Combien y a-t-il de viols chaque année ? Combien de plaintes ? Combien de condamnations. Question posée par le 17/01/2019 Bonjour, Au sujet des violences sexuelles en France, «les chiffres sont alarmants», selon Muriel Salmona, psychiatre invitée sur le plateau de l’émission Du Grain à Moudre, sur France Culture le 16 janvier 2018.
La médecin détaille : «C’est jusqu’à 16% de femmes qui subissent des viols et des tentatives de viols.» Plus tard (à 22 minutes d’émission), elle ajoute : «C’est 93 000 femmes qui ont été violées l’an passé.» Parmi elles «10% seulement portent plainte» et «seulement 10% aboutissent en cour d’assises.» La réalité judiciaire du viol en Suisse. La petite phrase d’un prévenu sur la clémence des juges genevois en matière d’agression sexuelle, des statistiques pénales trop vite interprétées, une déclaration maladroite sur la responsabilité des femmes naïves, il n’en fallait pas plus pour faire flamber la polémique à travers tout le pays.
Le viol est-il assez sévèrement puni en Suisse? Le sujet déchaîne toujours autant les passions. Plainte pour viol, un parcours éprouvant De Rémi Gaillard au slut-shaming: la culture du viol, c'est quoi? En mimant, dans sa dernière caméra cachée, un acte sexuel sur une femme non consentante, l’humoriste Rémi Gaillard remporte la palme du beauf.
Et se voit accuser de perpétuer la « culture du viol ». C'est bien connu, les féministes n'ont pas d'humour. Le fait de mimer un acte sexuel sur une femme non consentante, dont Rémi Gaillard s'est fait une spécialité, serait en réalité à mourir de rire, et l'on s'offusquerait un peu trop vite. Pourtant, derrière la dernière blague soi-disant potache de l'humoriste, le malaise est palpable. Comme le rappelle Madmoizelle, cet acte non consenti constitue “une atteinte sexuelle commise par surprise” et donc “une agression sexuelle autre que le viol” telle que définie à l’article 222-22 du code pénal, passible de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. "Les femmes ne devraient pas s'habiller en salopes si elles ne veulent pas se faire violer" L'un des exemples les plus parlants de slut shaming remonte à août 2014.
VIOL: Cʹest quoi la culture du viol ? « La culture française, c’est celle du viol » Christine Delphy (Éd.) : Un troussage de domestique.