Hairstyle and Costume of the Roman Bride. Des coiffures de femmes romaines reconstituées à partir de momies d'Egypte. Une équipe de chercheurs canadiens ont récemment publié (dans RSNA RadioGraphics)la reconstitution en 3D de coiffures de deux femmes de l'empire romain , à partir de momies de l'Egypte romaine découvertes au XIX ème siècle sur le site d'Hawara (Fayoum) et de Thèbes antique (Louxor actuelle) .
C'est également dans la nécropole du Fayoum qu'ont été découverts au XIX ème siècle , peints sur les cercueils, les célèbres portraits qui donne une image réaliste la population du site entre le Ier et le IV ème siècle de notre ère (plus de 1000 portraits établis du vivant des personnes) . Portrait d'une femme romaine du Fayoum - II ème sicèle apres JC Cette fois, il s'agit de reconstitution scientifiques de visages et de coiffures antiques qui ont été réalisées à partir des techniques issues de la police scientifique , techniques dont le réalisme des reconstitutions est saisaissant.
Une jeune femme romaine du II ème siècle après JC. Article - Hygiène, coiffure, maquillage. - Aux bains Les Romains allaient régulièrement aux bains publics, que l’on appelait également thermes.
Les villes, et même les bases militaires de l’Empire, possédaient des bains. Les Romains s’y lavaient et y retrouvaient des amis. Certains faisaient de l’exercice, jouaient au ballon ou faisaient des affaires. Hommes et femmes venaient séparément, à des heures différentes; les bains étaient ouverts aux femmes le matin et aux hommes l’après-midi, l’entrée était gratuite. Les esclaves apportaient des serviettes et des sandales à semelles de bois, indispensables car le sol était souvent chauffé par un système souterrain. Ils alimentaient aussi en permanence un feu dans les sous-sols pour chauffer l’air qui circulait dans les conduites et les briques creuses des murs. Les Romains utilisaient de l’huile d’olive en guise de savon. Les thermes comprenaient des salles de gymnastique, des jardins, des salles de réunion, des vestiaires, des saunas, divers bassins et des bibliothèques. Les Romaines et la coiffure.
La semaine dernière, je suis allée chez le coiffeur et je me suis fait couper les cheveux.
Et là, vous êtes certainement en train de vous demander : "Quel est le rapport avec l'antiquité romaine ?!! " Euh, y en pas ! Si ce n'est que, tandis que les mèches coupées tombaient allègrement à mes pieds, je me suis posé une question capitale : quid de la mode capillaire chez les Romaines ? Tous, nous avons eu l'occasion de voir des photos ou d'admirer dans des musées des statues représentant des femmes, mais il faut bien avouer que l'on ne prête pas forcément une attention démesurée à leurs coiffures.
On a bien tort : dans ce domaine, les Romaines ont une imagination fantastique ! Ovide écrit sous le règne d'Auguste, qui prônait l'austérité et n'avait pas une réputation de bout-en-train. "On ne dénombrera pas plus les glands d'un chêne touffu (...) que je ne puis fixer le nombre de styles de coiffure. chaque jour crée un arrangement nouveau. " Photos : Mary Harrsch. Coiffures ROMAINES. De plus 600 avant J-C à l’an 500.
Les textes et explications sont incomplets car ils sont la suite ou le complément de la première partie du manuel Histoires de coiffures. - Au dire d’Ovide (je ne peux suivre la mode, chaque jour introduit un style nouveau, une mode nouvelle) . - (Suivant le règne de tel ou tel empereur la coiffure est à une mode différente) . - Pour les femmes du peuple la coiffure de tous les jours est simple, le plus souvent la coiffure est naturelle, les cheveux coiffés en arrière sont légèrement bouffants souvent séparé en deux masses par une raie médiane et réunis dans la nuque en un chignon, ou en tresses descendantes le long de la nuque ou encore elles les entourent légèrement autour du visage. - A la mort d’un proche certaines femmes se coupaient les cheveux, souiller sa chevelure de cendre ou de poussière c’était le signe de grand deuil.
Place des femmes dans la Rome antique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La femme romaine est traditionnellement, c'est-à-dire selon la religion romaine, sous la dépendance de son père (pater familias), puis de son mari. À Rome, on ne conservait en général que la fille aînée. La mention de deux filles dans une famille romaine est exceptionnelle. « Tous les juristes ont relevé ce qu’on appelle la disparition forcée des cadettes[1]». Le phénomène existait aussi chez les garçons chétifs ou victimes d’une malformation. Alors que les garçons reçoivent un prénom, ce qui est une marque d’individualité, les filles ne conservent que celui du père.
Place dans la société[modifier | modifier le code] La coutume romaine donnait originellement le même statut aux femmes que celui des enfants, elles étaient soumises au pater familias qu'il soit père ou mari, de la même manière qu'un enfant.