Vaccins anti-Covid : les Fake News les plus répandues sur les médias sociaux en France. Résumé brochure Critiquer l'info. Comment lutter contre la désinformation en tant qu'association étudiante ? Aujourd’hui et plus que jamais, l’accès à une information juste et vérifiée est un enjeu clé dans nos sociétés.
Avec le rôle grandissant des réseaux sociaux et les nouvelles manières de s’informer, les fake news peuvent s’immiscer dans notre quotidien et dans nos manières de penser. Animafac, Jets d’Encre, le Réseau National des Juniors Associations et Ikigai ont décidé de se saisir de cette thématique et de vous proposer un jeu et un kit d’action autour de l’éducation aux médias à l’information. On vous en dit plus ci-dessous. En tant qu’associatif·ve ou jeune engagé·e, il est capital que les informations que vous partagez dans le cadre votre engagement soient fondées, justes et vérifiées. Or, de nombreux travaux ont démontré le rôle des biais cognitifs que nous avons toutes et tous dans l’adhésion ou non à une information. Crée avec le studio Ikigai, ce jeu collaboratif permet aux joueur·se·s de découvrir les outils nécessaires à la bonne analyse de l’information. [Baromètre Kantar-La Croix] Internet et désinformation : une relation toujours ambivalente des Français envers les médias.
Par Lisa Rodrigues, MediaLab de l'Information, France Télévisions Selon le 34e Baromètre Kantar-La Croix, 67% des Français portent « un grand intérêt » au suivi de l’actualité, 8 points de plus par rapport à l’année dernière où la confiance envers les médias était au plus bas.
Une des raisons à ce regain d’intérêt est très certainement l’épidémie de coronavirus. La vérité compte. Atelier de fact-checking sur les images détournées. L’alarmante propagation des fake news sur Twitter en France. Alors que le contexte du COVID-19, en France et dans le monde entier, met en lumière la portée des fausses informations et l’importance de l’accès aux contenus fiables sur les réseaux, le gendarme de l’audiovisuel a publié un rapport décrivant leurs mécanismes.
Il faut dire qu’en cette période de grande incertitude face à un virus inédit, les réseaux sociaux sont paradoxalement devenus l’une des premières sources d’information sur la santé. Le créateur de Facebook déclarait ainsi en mars dernier : “nous savons grâce aux urgences précédentes […] qu’en temps de crise, les outils de communication sont encore plus utilisés que d’habitude”. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) nous parle de son côté d’une “infodémie”, pour désigner une toute autre pandémie, informationnelle et à fort impact sur les populations. Complétant ces rapports, celui du CSA est éclairant sur ce qui concerne Twitter.
Un rapport permis par la transparence de Twitter. « Hold-up » : les huit personnages clés qui font une bonne théorie du complot. Le 11 novembre dernier était mis en ligne le documentaire Hold-up : retour sur un chaos, pamphlet de près de 2h40 rendu possible en grande partie grâce au financement participatif.
En pleine crise sanitaire liée à la Covid-19 et à un moment de l’année critique (et donc émotionnellement fort) à la fois pour les commerçants et les familles avec l’approche des fêtes de fin d’année, Hold-up dénonce la mauvaise gestion de la pandémie par le gouvernement ainsi que les incohérences, les mensonges et manipulations de la communauté scientifique, des médias, des géants du numérique (« big tech ») ou encore des laboratoires pharmaceutiques (ou « big pharma »). En filigrane, c’est la possibilité d’un nouvel ordre mondial imminent (cher aux complotistes) – dans lequel les élites élimineraient une partie de l’humanité – qui est susurrée à l’oreille des spectateurs. Un mélange de vrai et de faux « Quand est-ce que les gens vont ouvrir les yeux ? Outils et ressources. Twitter prépare Birdwatch, un nouvel outil communautaire pour lutter contre la désinformation.
La lutte contre la désinformation est au coeur des préoccupations des réseaux sociaux qui, ces dernières années, multiplient les fonctionnalités pour éradiquer les fake news de leurs plateformes.
La dernière en date nous vient de chez Twitter et se nomme « Birdwatch« . Actuellement en préparation, celle-ci consiste en un système communautaire reposant sur les utilisateurs du réseau social. Différencier science et pseudoscience : pas si simple. S’il est un enjeu crucial pour l’épanouissement de nos démocraties, c’est bien celui de la lutte contre la désinformation.
Dans le contexte particulier de problématiques de nature scientifique – comme le coronavirus, la vaccination ou le réchauffement climatique –, une telle lutte ne peut prendre corps qu’au départ d’un prérequis essentiel : il importe que chacun soit en mesure d’opérer une distinction entre énoncés scientifiques (aux degrés de fiabilité divers) et énoncés pseudoscientifiques (ou, plus généralement, non scientifiques). Une telle faculté ne peut toutefois pas s’exercer « à vide », dans la mesure où il serait douteux que les êtres humains soient dotés d’une boussole mentale innée pour jauger du degré de scientificité des énoncés qu’ils rencontrent. La désinformation ne touche pas seulement les jeunes et les personnes peu diplômées - Laboratoire d'Analyse et de Décryptage du Numérique. Le débat sur la désinformation se focalise souvent sur les jeunes lecteurs, qui en seraient les premières victimes. « Il faut former les citoyens, et notamment les plus jeunes, pour les aider à reconnaître les fausses informations, à les appréhender, à s’en protéger », insistait, par exemple, Françoise Nyssen, à l’époque ministre de la culture, lors du débat sur la loi relative à la lutte contre les fausses informations à l’été 2018.
Selon une enquête réalisée par l’équipe des Décodeurs du journal Le Monde à partir des données de l’institut Médiamétrie, au mois d’avril 2020, en plein confinement, une période marquée par un fort intérêt pour l’actualité et un vrai besoin d’informations, les jeunes ne semblent pas être des cibles privilégiées pour les sites les moins fiables. Les 25-49 ans sont surreprésentés dans l’audience des sites peu fiables. Guide pédagogique Médias numériques : Développer les habiletés de pensée critique. Twitter supprime 170 000 comptes diffusant des messages favorables à la Chine. Le réseau social Twitter a annoncé, vendredi 12 juin, qu’il avait supprimé plus de 170 000 comptes liés à une opération de propagande et de désinformation en ligne soutenue par Pékin.
Ces comptes propageaient des messages favorables au gouvernement chinois, ainsi que des campagnes de désinformation concernant notamment l’épidémie de Covid-19. La firme américaine a retiré le cœur du réseau, composé de 23 750 comptes Twitter hautement actifs, ainsi que quelque 150 000 comptes périphériques chargés d’« amplifier » le contenu diffusé par les comptes principaux.
Les 23 750 comptes initiaux ont, en tout, posté plus de 348 000 Tweet sur le réseau social, précise une étude de chercheurs en cybersécurité de l’université de Stanford – avec qui Twitter a partagé, le 3 juin, ses découvertes concernant ce réseau. Épidémie d’infox : des « gestes barrières » numériques à adopter aussi. Résultats Google Recherche d'images correspondant à. Coronavirus : « Le volume sans précédent de fake news illustre la viralité de la désinformation en temps de crise », estime Camille François. Tous les vendredis, 20 Minutes propose à une personnalité de commenter un phénomène de société, dans son rendez-vous hebdomadaire « 20 Minutes avec… ».
Installée au Etats-Unis, la chercheuse française Camille François traque les fausses informations en ligne, notamment pour les plateformes de la Silicon Valley, des laboratoires universitaires, des ONG ou des think tanks. Elle a mis au jour ces dernières semaines de nombreuses campagnes de désinformation en lien avec la crise du Covid-19. « On a constaté un volume sans précédent de fausses informations autour du coronavirus, illustrant la viralité de la désinformation dans les situations de crise », explique-t-elle. Elle est considérée outre-Atlantique comme une « héroïne de guerre ». Peu connue en France, la chercheuse Camille François est une référence sur la scène internationale en matière de lutte contre les fake news et les campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux. Coronavirus : C'est quoi la loi de Brandolini ? On vous l’explique dans « Oh My Fake » On l’appelle la loi de Brandolini.
Infodemic. Coronavirus et religions : fausses informations. Beaucoup de fausses informations circulent à propos de la pandémie du Coronavirus. Certaines concernent le fait religieux et portent atteinte aux principes de laïcité et au respect des religions ou émanent de groupes radicaux qui exploitent la crise sanitaire pour rallier à leur cause de nouveaux membres.
Voici quelques liens utiles pour aider les équipes éducatives à s’informer sur ces dérives et mener le cas échant des actions pédagogiques pour lutter contre elles. Les articles, documents et sites référencés ont été sélectionnés à titre informatif et ne représentent que les opinions de leurs auteurs. Deux documents du Ministère de l’Éducation nationale sur les risques de replis communautaristes et les risques de dérives sectaires aident à identifier les situations et proposent des actions pédagogiques. I comme Infodémie, par Pascal Froissart, enseignant-chercheur en (...) «En triant les articles de presse, le gouvernement tente de recréer un ministère de l’information» Coronavirus et fake news : les 10 mythes les plus populaires. Dossier : Face à l’« infodémie », des clés pour aiguiser l’esprit critique des jeunes. Juillet - septembre 2017.
Médias traditionnels en perte de vitesse, profusion d’informations sans garantie de fiabilité, frontières brouillées entre faits et opinions, éthique professionnelle défaillante… Le journalisme est « sous les feux de la critique », pour reprendre le titre du colloque international qui s’est tenu à l’UNESCO le 23 mars 2017. L’heure est venue de se demander si le quatrième pouvoir constitue encore un pouvoir. Il perd sa crédibilité, il peine à regagner la confiance du public. Les évolutions technologiques, économiques et politiques de cette dernière décennie ont fini par contaminer le champ médiatique mondial.
Les Jeux Olympiques - Le Complot. La Presse à la Une - Action pédagogique. INFO/INTOX °10 : L'intox de la photo du chef indigène Raoni "qui pleure" De l'influence à l'infox 1ère partie - (CN18-19) - Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire (C.E.M.U.) Université de Caen Normandie. Les Observateurs - France 24. La petite fabrique de l'intox. L'exposition aux "fake news" dans le monde. Info Intox ? Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Info ou intox : comment vérifier l’information sur Internet ? - Action innocence. Qu'est-ce qu'une « fake news » ? - Prim à bord. #TousFactCheckeurs : ne vous laissez plus avoir par les fake news. La mention "Photographie retouchée" devient obligatoire.
Vous avez dit fake news ? Le Décodex évolue pour mieux vous aider à identifier les informations trompeuses. Enquête sur les usines à fausses informations qui fleurissent sur Facebook. Des dizaines de pages Facebook, qui réunissent des centaines de milliers d’abonnés, reprennent sans scrupule de fausses informations pour générer des revenus publicitaires. Effet Buzz - Accueil. La désinformation : quand l’info devient intox - Education aux Médias. Cet article a été initialement diffusé dans le numéro d’avril du journal Epicure (version collège en page 15 et version lycée en page 14) La quantité d’informations que nous recevons quotidiennement augmente.
Elles nous arrivent par de nombreux canaux différents : presse écrite, radio, télévision, réseaux sociaux, internet… Comment gérer cette somme d’informations, mais surtout comment l’évaluer ? Infaux mag / ƃɐɯ oɟuI. Comment repérer un site satirique - CLEMI. Spicee - Conspi Hunter : la réaction des élèves.