De la ville historique à la ville intelligente, ambitions d’une métropole chinoise - Jérémy Leugé_Liubing Xie - Rapport UdM 2016. 10. 10. 10. Amsterdam, une ville plus intelligente que les autres ? Energie, transports, habitat, communications...
Révolutionner l'organisation urbaine grâce au numérique : l'idée fait son chemin depuis une dizaine d'années. Avant-goût à Amsterdam, métropole pionnière. C'est un péril imperceptible, et pourtant il pourrait faire sombrer Amsterdam, ville de carte postale aux canaux quatre fois centenaires, dans un cauchemar sans issue. Ce péril a un nom : le succès. On vient de toute l'Europe pour étudier à Amsterdam, y implanter une start-up ou le siège social de son entreprise — fiscalité incitative oblige. Selon les Nations unies, 75 % de la population mondiale vivront dans des villes et des conurbations en 2050. Plus efficace, moins dépensière Le bureau de Maaike Osieck donne sur le port, à l'arrière de la gare centrale.
La dénomination de smart city (en français, plutôt maladroitement, on dit « ville intelligente ») s'est imposée partout dans le monde depuis huit ans. Ecoconception et recyclage L'âge du télétravail On appelle ça la phytoremédiation. Smart Cities - Editions B2. « Comment faire vieillir les villes intelligentes ?
» Telle est la conclusion philosophique soulevée par Antoine Picon. Car il semblerait que la smart city demeure encore durablement l'imparfaite « cristallisation » des opérations humaines et matérielles qui la traversent. Pourtant, à l'image des modélisations informatiques et cartographiques, l'interaction dynamique formée entre les habitants-cyborgs et leurs terminaux nomades tend indéniablement à inventer un nouveau métabolisme. Mais confrontés aussi bien à une nécessité d'efficacité écologique et énergétique qu'à une surveillance automatique permanente, les systèmes d'exploitation des conurbations mondiales parviendront-ils à surmonter l'inquiétante entropie de notre époque ?
Antoine Picon est ingénieur, architecte et docteur en histoire. La smart city : la ville devient intelligente. Le concept de ville intelligente s'affine et se concrétise. L'accroissement de la population, notamment urbaine et les problématiques environnementales accélèrent les investissements en technologies dédiées à mettre au point les fameuses "smart cities".
Alors qu'en 2010, 8,1 milliards de dollars ont été dépensé pour la création de technologies dédiées aux villes intelligentes, ce chiffre devrait passer à 39,5 milliards de dollars en 2016. Ces données sont révélées par une étude d'ABI Research, qui compile une centaine de projets de villes intelligentes à travers le monde. La plupart des initiatives référencées prenant place en Europe (38), Amérique du Nord (35) et Asie (21). Pour Joshua Flood, Senior Analyst chez ABI Research, ce phénomène s'explique facilement.
"Il devient critique pour les villes de se développer intelligemment pour répondre aux besoins de leurs citoyens et des entreprises", explique-t-il à L'Atelier. Un besoin motivé par une population urbaine grandissante Différentes formes de villes intelligentes. La ville intelligente est-elle une utopie ? 12 10 2016 Smart Citi. Intelligente et connectée - La ville du futur ? La ville intelligente est-elle une utopie ? Les changements organisationnels, technologiques et sociétaux des villes actuelles sont induits par leur volonté d’être une partie de la réponse au changement climatique.
La smart city : la ville devient intelligente. Le concept de ville intelligente s'affine et se concrétise. Ville intelligente, ville apprenante (Smart city) Smart city : "L'intelligence d'une ville est celle de ses habitants", d'après Jean-Louis Missika. L'Usine Digitale - Quand on parle smart city, on cite Barcelone, Singapour, New York, voire Londres ou Stockholm… Mais rarement Paris.
Pourquoi ? Jean-Louis Missika - C’est un problème de communication. Le cas de Barcelone est particulier. Des expérimentations, orchestrées par des grands opérateurs, y sont particulièrement mises en valeur. Les autres sont des villes qui communiquent avec peut-être davantage de moyens. Smart Cities: How do we Build the Cities of Tomorrow: Hugh Green at TEDxEmory.
[Dossier] La ville intelligente : une nouvelle façon de penser collectivement la ville. [Dossier] La ville intelligente : une nouvelle façon de penser collectivement la ville Qu’il s’agisse de la e-administration, de l’accès aux données publiques et de eur réutilisation, de la démocratie locale, de la gestion intelligente des réseaux ou des déplacements, le numérique s’invite dans la ville de demain et ce bien au-delà de la mutation technologique.
Il n’y a pas de modèle unique pour les villes intelligentes ! Croire que les technologies de l'information et de la communication (TIC) homogénéisent la planète est une erreur qui nous coûte cher - en opportunités perdues, en manque d'ouverture sur le monde, en rejet infondé de technologies disruptives ou simplement utiles.
L'honorable Thomas Friedman, chroniqueur du New York Times a contribué à cette vision pessimiste. Mes voyages m'indiquent plutôt le contraire: l'innovation étant affaire de problèmes à résoudre, de risques à prendre et d'opportunités à saisir, le mélange est toujours différent et fonctionne plutôt comme une machine à produire des diversités, même si c'est souvent avec les mêmes outils.
C'est particulièrement vrai pour les villes dans leur effort pour devenir intelligentes. Un capteur est un capteur. Les câbles de fibre optique reposent sur les mêmes principes physiques. Les cochons de Göteborg Le modèle d'affaires de Stadsjord [littéralement « terre urbaine »], la compagnie créée par Wennberg, est impeccable. La ville: ouverte et/ou intelligente. « Smart city » et « open data » : les deux approches ont en commun de mettre la donnée au coeur du fonctionnement de la ville intelligente.
Mais au-delà des questions liées à la production des données, les conditions de son partage font débat. Doit-on les ouvrir à tous, en s’appuyant sur une possible intelligence des foules ou au contraire en faire un objet de pilotage centralisé des activités urbaines, quitte à en réserver l’accès à quelques opérateurs urbains ? Illustré d’exemples français (Rennes Métropole, Grand Lyon) et internationaux (Singapour), ce billet se propose d’éclairer les évolutions en cours et les combats d’acteurs qui s’annoncent autour de ce « nouveau pétrole » que constitue la donnée urbaine… La version originale de cet article a été publiée dans le numéro 25 de la revue urbaine Place Publique Rennes. Je le reproduis ici avec leur aimable autorisation. La ville intelligente, une big mother en puissance ? Ville intelligente. Catégorie: Données, Dossier Ville intelligente, Entreprises, Grand public, Institutions, Logiciels, Marché, Réseaux/Transports, Secteur public, Uncategorized, Utilisateurs Qu’est-ce qu’une ville intelligente ?
Celle où les citoyens prennent leur destin urbain en main à l’aide de l’open data ? Celle bardée de capteurs dont la gestion est déléguée aux industriels au nom de la performance territoriale ? Entre ces deux visions caricaturales, le décryptage est nécessaire. D’autant plus que la ville intelligente ne se fera pas sans information géographique. À lire dans ce dossier Pour lire l’ensemble des articles du dossier ci-dessous (abonné à DécryptaGéo LE MAG édition papier) ou l’acheter, veuillez vous inscrire ou vous identifier en tant que Membre.
Ce contenu est réservé aux visiteurs identifiés. La Ville Intelligente. La ville intelligente est déjà là ! Les villes intelligentes, c’est maintenant. Les solutions technologiques prometteuses font parties des promesses du futur dans la plupart des récits sur les villes intelligentes, mais les changements les plus fondamentaux ont déjà eu lieu. Discrètement, d’une façon plus silencieuse que ne l’ont prévu les versions spectaculaires, les technologies en réseau ont colonisé notre vie quotidienne en tant que citoyens. Ce n'est pas seulement que nous nous soyons habitués aux routines d’une ville hybride, dans laquelle la façon dont nous travaillons, consommons, vivons et nous réunissons est désormais mêlée d’un flux constant de traces numériques, d’outils mobiles et d’objets connectés. Ce sont aussi les technologies les plus faciles d’accès que nous ayons pu imaginer depuis des années.