Annulation du Contrat des Sous-Marins de Naval Group pour l'Australie. Pierre-Eric Pommellet prend la barre de Naval Group. Favori depuis plusieurs jours, Pierre-Eric Pommellet, qui aime beaucoup naviguer, ne s'est finalement pas laissé déborder par un concurrent au finish.
Le numéro deux de Thales a été désigné vendredi matin, ce choix de l'Etat ayant été entériné par un comité des nominations de Naval Group, réuni ce matin. A partir du moment où l'Elysée avait validé cette candidature, la réunion de ce matin n'était plus qu'un formalité. Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de Sup Aero et d'un Master of Science du MIT, Pierre-Eric Pommellet a débuté sa carrière à la direction générale pour l'armement (DGA) comme ingénieur de l'armement, puis à la DCN (devenu DCNS, puis Naval Group) avant de devenir chef de cabinet de Jean-Pierre Raffarin, alors ministre des PME du Commerce et de l'Artisanat de 1995 à 1997. Pierre Eric Pommellet a ensuite rejoint Thales. Si Pierre-Eric Pommellet, dit PEP, a toute l'expertise et l'envergure pour diriger Naval Group, sa nomination en froisse plus d'un.
Barracuda : le « Suffren » dans la dernière ligne droite. DIRECT. Emmanuel Macron est à Cherbourg pour l’inauguration du sous-marin Suffren. Le Président Emmanuel Macron est à Cherbourg-en-Cotentin, vendredi 12 juillet 2019, pour l’inauguration du sous-marin « Suffren », premier sous-marin nucléaire d’attaque de type Barracuda.
La ministre des Armées, Florence Parly, est également présente à la cérémonie. · C’est la troisième fois qu’un Président de la République assiste à l’inauguration d’un sous-marin à Cherbourg. Emmanuel Macron est à Cherbourg, vendredi 12 juillet 2019, pour le lancement du Suffren. Avant lui, Nicolas Sarkozy était venu en 2008 pour le Terrible, et Charles de Gaulle, en 1967, pour le Redoutable. Naval Group. Le sous-marin Suffren, c’est aussi Lorient. Le nouveau sous-marin à propulsion nucléaire sera dévoilé vendredi 12 juillet à Cherbourg.
Le site lorientais de Naval Group participe aussi au programme, via son activité composite. C’est un beau « bébé » de 99 mètres, signé Naval Group. Le premier engin du programme Barracuda, lancé en 1998 par la Direction générale de l’armement, qui renouvelle la composante des sous-marins nucléaires d’attaque (SNA). Jusqu’ici, celle-ci était constituée de six SNA de type Rubis, mis en service au début des années 1980. Suffren est son nom. Matériaux composites Plus connu pour la conception de frégates et corvettes, Naval Group-Lorient (2 000 collaborateurs) contribue aussi au programme Barracuda, grâce à son savoir-faire au niveau des matériaux composites.
. « Le centre d’excellence du groupe, en matière d’éléments composites, est à Lorient, appuie Laurent Moser, directeur du site local. Et Naval Group remporta le mégacontrat de chasseurs de mines belgo-néerlandais. Belgique : et si contre toute attente Naval Group remportait le contrat des chasseurs de mines. L’accord franco-australien pour construire douze sous-marins signé. Armement: l'Argentine ira-t-elle jusqu'au clash avec la France?
Incroyable...
Alors qu'un contrat de 360 millions d'euros environ portant sur la vente de quatre patrouilleurs de Naval Group était accepté par les deux parties et prêt à la signature début septembre, l'Argentine hésite ces dernières semaines à le signer. Pourtant, Naval Group a déjà gagné fin 2016 la compétition lancée par l'Argentine au printemps de la même année. Le gouvernement argentin va-t-il tenir sa parole vis-à-vis de la France ou bien lancer un nouvel appel d'offres international comme il en est question? Suspens mais la France et l'Argentine souhaiteraient trouver une solution pour sortir par le haut de ce dossier explosif. De nombreux échanges à haut niveau entre les deux pays (ministères de la Défense/Armées et Affaires étrangères) ont eu lieu ces dernières semaines pour éviter une crise entre les deux pays.
DCNS. Cinq nouvelles frégates seront construites à Lorient. Le marché des futures frégates de taille intermédiaire (FTI) va être notifié ce vendredi par la DGA à l’équipementier naval DCNS qui va les construire sur son site de Lorient.
La valeur de ce marché atteint les 4 milliards de dollars. La Norvège préfère l’Allemagne à la France pour ses nouveaux sous-marins. C’est ThyssenKrupp Marine Systems qui a remporté le contrat de 4 milliards d’euros avec la marine norvégienne.
Une revanche sur DCNS, qui avait lui remporté le « contrat du siècle » en Australie en 2016. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Dominique Gallois Au terme de dix mois d’une âpre compétition, la Norvège a préféré les sous-marins de type Unterseeboot-212 de l’allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS) aux Scorpène du français DCNS. Vendredi 3 février, Oslo a annoncé entrer en négociations finales avec Berlin pour aboutir un accord de gouvernement à gouvernement préalable à la livraison de quatre submersibles, avec une option pour deux supplémentaires, pour 4 milliards d’euros.
Ils remplaceront les six bâtiments livrés entre 1982 et 1992 qui devraient être retirés du service à l’horizon 2025. Dès le départ, TKMS était considéré comme le favori, étant déjà fournisseur de la flotte du pays. L’entrée du suédois Saab et de DCNS dans la compétition n’était pas jugée gênante. DCNS : comment les documents sur les sous-marins Scorpène indiens sont apparus en Australie - Le portail des sous-marins. Fin avril 2013, un postier de Sydney a retiré de sa sacoche une petite enveloppe contenant de nombreux documents sur les nouveaux sous-marins indiens.
Il a déposé l’enveloppe, qui portait un timbre de Singapour, dans une boite aux lettres privée et a poursuivi sa tournée. L’enveloppe, qui contenait un petit disque de données, est restée là pendant plusieurs jours entre des factures et des publicité, avant d’être récupérée le 24 avril 2013 par un homme qui l’a rapportée chez lui et a introduit le disque dans son ordinateur. Cette semaine, le contenu de ce disque a fait la une des journaux en Australie, en Inde et en France.
Fuite massive de données de DCNS sur le sous-marin Scorpène, la France enquête. Shortfin Barracuda australien: un instrument de puissance destiné aux patrouilles dans le Pacifique. Le Shortfin Barracuda que le français DCNS propose à l'Australie est un sous-marin océanique à propulsion conventionnelle conçu spécifiquement pour la marine australienne sur la base du sous-marin nucléaire français Barracuda.
D'une longueur de 97 mètres et de 4.000 tonnes pour un équipage de 60 sous-mariniers, le Shortfin Barracuda Block 1A est présenté par DCNS comme "le sous-marin à propulsion conventionnelle le plus avancé du monde" capable d'évoluer sur de longues distances et en plongée prolongée dans l'océan Pacifique. Vecteurs d'information et de dissuasion, ces sous-marins seront des instruments de puissance au service de la marine australienne.
Pour l'Australie, qui en attend les premières livraisons en 2027, il s'agit d'un élément clé de souveraineté pour remplacer la flotte de ses sous-marins vieillissants Collins, dans une région dominée par la Chine et les Etats-Unis avec ses alliés australiens et japonais. Read the article on News Republic. Quatre questions sur le contrat de 34,5 milliards d'euros remporté par DCNS en Australie. Le groupe français DCNS a remporté un "mégacontrat".
Mardi 26 avril, le Premier ministre australien, Malcolm Turnbull, a annoncé la signature d'un contrat portant sur la construction de 12 sous-marins. Montant estimé de cet accord "historique", qui est la plus importante commande militaire jamais passée par l'Australie : 34 milliards d'euros. Le français DCNS remporte un contrat géant de 34 milliards d’euros pour des sous-marins. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Dominique Gallois et Caroline Taïx (Sydney, correspondance) Les Japonais étaient partis favoris, talonnés par l’allemand TKMS.
Au final, c’est le français DCNS que l’Australie a retenu mardi 26 avril pour ses futurs sous-marins. Le budget de ce programme de défense portant sur douze bâtiments, le plus important de l’histoire du pays, est estimé à 50 milliards de dollars australiens, soit 34,3 milliards d’euros, comprenant la conception, les transferts de technologie, la production, le système de combat et la maintenance pendant vingt-cinq ans.
Lire aussi : En pleine mutation, DCNS mise de plus en plus sur l’international « Il marque une avancée décisive dans le partenariat stratégique entre les deux pays, qui vont coopérer durant cinquante années sur l’élément majeur de souveraineté que représente la capacité sous-marine. » La mise en service du premier bâtiment est prévue en 2030. Comment DCNS se prépare à devenir un leader mondial dans les hydroliennes. A Cherbourg, où il emploie 2.200 salariés, DCNS a rimé depuis des décennies avec sous-marins militaires. Depuis l'invention du submersible en 1896, 100 exemplaires y ont été mis à l'eau.
Mais d'autres engins pourraient être très prochainement fabriqués par DCNS à Cherbourg. L'un des leaders mondiaux dans les systèmes navals de défense projette en effet de construire, sur le port de Cherbourg, une ou plusieurs usines d'assemblage et de fabrication d'hydroliennes, ces turbines sous-marines, qui transforment l'énergie des courants marins en électricité. A la clé, 1.000 emplois directs. DCNS enregistre un nouveau succès en Malaisie. Présidé par Patrick Boissier, DCNS enregistre un nouveau succès en Malaisie, dix ans environ après avoir vendu deux sous-marins Scorpène à Kuala Lumpur. C'est le partenaire malaisien du groupe tricolore Boustead Naval Shipyard (BNS), qui a annoncé ce contrat de 9 milliards de ringgits (2,1 milliards d'euros) portant sur la livraison de six corvettes, de type Gowind (2.400 tonnes).
Ce dernier a reçu du ministère de la Défense malaisien une LOA ("letter of agreement"). Naval Group. Naval Group est un groupe industriel français spécialisé dans l'industrie navale de défense et les énergies marines renouvelables. Le groupe emploie près de 13 000 personnes à travers dix-huit pays. Société de droit privé détenue à hauteur de 62,49 % par l’État français, de 35 % par Thales, de 1,64 % par son personnel et de 0,87 % par autocontrôle, Naval Group est l’héritier des arsenaux français et de la Direction des constructions et armes navales (DCAN), devenue la Direction des constructions navales (DCN) en 1991, DCNS en 2007 (le « S » ajouté pour la notion de système et de service)[1] et Naval Group depuis 2017.
Le groupe se diversifie dans les énergies marines renouvelables et le nucléaire civil. Histoire[modifier | modifier le code] Naissance des arsenaux[modifier | modifier le code] L'arsenal de Rochefort est fermé en 1926. Industrialisation et innovations techniques[modifier | modifier le code] Réunification des activités[modifier | modifier le code] DCNS. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. DCNS est un groupe industriel français spécialisé dans l'industrie navale militaire, l'énergie nucléaire et les infrastructures marines. Le groupe emploie plus de 13 000 personnes à travers 10 pays. Société de droit privé détenue à hauteur de 64 % par l’État français, de 35 % par Thales et de 1 % par son personnel, DCNS est l’héritier des arsenaux français et de la Direction des Constructions et Armes Navales (DCAN), devenue la Direction des Constructions Navales (DCN) en 1991.
Historique[modifier | modifier le code] Naissance des arsenaux[modifier | modifier le code]