Ce virus nous manipule ? - DBY #73. L’équipe du Pr Picard trouve de nouvelles cibles thérapeutiques contre la malaria. Le parasite de la malaria s’est particulièrement bien adapté au cours de son évolution, car il est équipé pour développer des résistances aux traitements.
Le manque de nouvelles approches thérapeutiques contribue également à la persistance de ce fléau d’envergure mondiale. Une étude conduite par Didier Picard, professeur à la Faculté des sciences de l’Université de Genève (UNIGE), décrit une nouvelle classe de molécules ciblant les deux problèmes à la fois. A l’aide d’outils informatiques de modélisation ultra sophistiqués, les chercheurs sont parvenus à identifier un type de molécules candidates toxiques pour le pathogène, mais pas pour les globules rouges humains infectés.
L’étude, menée en collaboration avec des chercheurs de l’Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne (EPGL) et de l’Université de Bâle, est publiée dans le Journal of Medicinal Chemistry. La malaria tue annuellement près d’un million de personnes, surtout des enfants Les protéines chaperonnes protègent des effets du chaud. Ce virus nous manipule ? - DBY #73. Le supplice de l'escargot - Castor Mother #24 - String Theory. Toxoplasmose : un twist final pour envahir les cellules. La toxoplasmose est une infection parasitaire qui touche l’homme – près d’un tiers de la population mondiale en est porteuse – et les animaux à sang chaud, notamment son hôte définitif, les Félidés.
Son agent est le protozoaire Toxoplasma gondii. Après avoir été ingéré, le parasite infecte les cellules de l’intestin, puis se dissémine dans les tissus profonds comme le système nerveux où il persiste toute la vie. En général bénigne voire silencieuse, l’infection est cependant dangereuse pour les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées (traitement immunosuppresseur contre le cancer ou après une transplantation d’organes, infection par le VIH, etc.), chez qui le parasite est réactivé. Cela provoque alors des dommages dans les tissus, qui peuvent être mortels s’ils ne sont pas contrôlés. En fixant des billes micrométriques à l’extrémité postérieure du parasite, les chercheurs ont empêché sa rotation et donc la fermeture de la porte. Les parasites manipulateurs. Les fourmis sont rarement immobiles.
Pourtant, il arrive que certaines d'entre elles restent figées, des heures durant, au sommet d'un brin d'herbe. De temps à autre, elles mettent patte à terre pour se nourrir, puis remontent sur leur promontoire. Ce va-et-vient se poursuit jusqu'au jour où un mouton ou une vache broute le brin d'herbe… et la fourmi. Ce « jeu de la vie » a une explication : les larves d'un ver parasite, la petite douve du foie (Dicrocœlium dendriticum), infectent l'insecte et modifient son comportement ; la fourmi devient la proie d'un herbivore, qui avale du même coup les larves de la douve.
Devenus adultes, les vers se reproduisent dans l'herbivore, et leurs œufs sont évacués dans l'environnement avec les excréments de l'animal, et ils contaminent un troisième hôte, un escargot. Les exemples abondent tel celui d'un crustacé d'eau douce et saumâtre, un gammare. La manipulation parasitaire a été soupçonnée dès les années 1950, puis démontrée au début des années 1970. Le parasite qui nous manipule. Imaginez un monde sans peur.
Quel soulagement que de pouvoir vivre l'esprit dégagé de toute appréhension ! Nous pourrions traverser les rues encombrées sans la moindre appréhension, connaître des aventures frissonnantes et voir toutes sortes de films d'horreur sans broncher. Mais à y regarder de plus près, une telle perspective apparaît plutôt inquiétante, pour ne pas dire mortelle. Car évidemment, nos peurs nous protègent en grande partie. Ne pas regarder à gauche et à droite avant de traverser réduirait fortement votre espérance de vie. Prenez les souris : en voilà qui sont protégées à chaque minute de leur vie par leur peur instinctive des chats.
L'influence de Toxoplasma gondii ne se restreint pas aux rongeurs. Toxoplasma gondii a été découvert en 1908. Chez l'homme, la souris ou d'autres animaux, le parasite se multiplie de façon asexuée par division cellulaire et se répand dans tout le corps. Pourquoi le parasite de la toxoplasmose nous manipule. Certains parasites sont capables de changer le comportement de leurs hôtes, afin de favoriser leur propagation.
C’est le cas de celui de la toxoplasmose, Toxoplasma gondi, un protozoaire qui infecte de multiples espèces mais ne peut accomplir son cycle de reproduction sexuée que chez les félins. Une souris parasitée devient alors attirée par l’urine de chat et s’expose davantage à son prédateur. Rewtoxo. Sources Compagnons. Vous, les avocats, et quelques milliers d'années. Konbini news - Toxoplasma gondii : un parasite qui manipule nos cerveaux ?